Jamais deux sans trois. La saga de La Planète des singes ne déroge pas à la règle, puisque le dernier volet de la trilogie sort dans les salles françaises ce mercredi 2 août. Après La Planète des singes : Les Origines (2011) et La Planète des singes : L'Affrontement (2014), les primates les plus célèbres du Septième Art reviennent une dernière fois devant la caméra de Matt Reeves.
Les super-productions Marvel Studios, Spider-Man : Homecoming récemment, et les adaptations D.C Comics, Wonder-Woman, sont de sérieuses concurrentes à l'univers de la Planète des Singes, qui mêle fantastique et anticipation.
Mais le film a réussi son pari. Encensé par la critique américaine, qui salue la qualité des effets spéciaux et le côté visionnaire de l'intrigue, le long-métrage veut rivaliser avec les films à gros budgets sortis ces derniers mois.
1. Le troisième volet d'une saga
La Planète des singes : Suprématie ne sort pas de nulle part, elle est la suite logique des deux premiers films, qui avaient le même protagoniste principal du côté des primates, César. Le premier long-métrage, sorti en 2011, était lui même une nouvelle adaptation du tout premier film La Planète des singes, réalisé en 1968 par Franklin J. Schaffner.
Dans Les Origines, une équipe de scientifiques, qui fait des recherches sur la maladie d'Alzheimer, inocule un rétrovirus dans ses cobayes chimpanzés et augmentent ainsi leurs capacités cognitives. Une des cobayes met bas un chimpanzé qui est recueilli par l'un des scientifiques, César. Le primate va alors développer des capacités cognitives extraordinaires et la transmettre à ses semblables grâce aux échantillons dont sa mère a elle-même bénéficié.
Les spectateurs retrouvent César en 2014 dans L'Affrontement, qui situe l'intrigue dix ans après les événements du premier film. La grippe simienne a alors décimé une partie de l'humanité et un groupe de survivants de San Francisco tente d'établir un contact avec le monde extérieur mais doit pour cela accéder au territoire de singes, menés par César.
Suprématie reprend où les spectateurs ont laissé les singes, pendant un affrontement contre les Hommes. César assiste au massacre de ses semblables et décide de se venger. Un conflit qui déterminera, une fois pour toute, qui du groupe des singes ou de celui des Hommes, dominera la planète.
Le premier volet de la trilogie, en tant que reboot du film originel, est une adaptation directe d'un livre éponyme de l'écrivain Pierre Boulle. Considéré comme un classique de la science-fiction, le roman connaît un grand succès lors de sa publication en 1963. Si aucune des adaptations cinématographiques n'est entièrement fidèle au roman, qui tient beaucoup plus du second degré que de l'anticipation.
2. Des effets spéciaux époustouflants
Les effets spéciaux sont l'atout principal de La Planète des singes : Suprématie. Leur qualité et la prouesse technique qu'ils représentent ont été largement salué par les critiques. Comme pour les deux films précédents, les effets spéciaux ont été entièrement conçus par le studio de post-production Weta Digital, fondé par le réalisateur Peter Jackson.
L'équipe en charge du film a décidé dès le premier volet d'animer les singes par la capture de mouvement qui permet d'enregistrer les positions et les rotations d'êtres vivants pour ensuite les contrôler sur ordinateur. Déjà très réalistes dans les deux premiers longs-métrages, les singes le sont cette fois-ci encore plus : César se tient plus droit et se sert encore plus de ses mains. Un comportement qui le rapproche encore plus des hommes, qu'il affronte directement.
3. Andy Serkis dans le rôle de César
Le réalisme de César n'aurait pas été possible sans le jeu d'Andy Serkis, grand maître de la capture de mouvement. L'acteur britannique est un habitué du procédé, auquel il a déjà prêté ses traits et sa physionomie dans la trilogie Le Seigneur des Anneaux et Le Hobbit dans le rôle de Gollum.
Le procédé lui a aussi permis d'être le Capitaine Haddock dans Les Aventures de Tintin : Le Secret de La Licorne de Steven Spielberg et dernièrement le suprême leader Snoke dans Star Wars, épisode VII : Le Réveil de la Force. Ses prestations sont acclamées par ses paires et par les critiques, qui réclament souvent sa nomination aux Oscars. Cette fois-ci, peut être ?
Jamais deux sans trois. La saga de La Planète des singes ne déroge pas à la règle, puisque le dernier volet de la trilogie sort dans les salles françaises ce mercredi 2 août. Après La Planète des singes : Les Origines (2011) et La Planète des singes : L'Affrontement (2014), les primates les plus célèbres du Septième Art reviennent une dernière fois devant la caméra de Matt Reeves.
Les super-productions Marvel Studios, Spider-Man : Homecoming récemment, et les adaptations D.C Comics, Wonder-Woman, sont de sérieuses concurrentes à l'univers de la Planète des Singes, qui mêle fantastique et anticipation.
Mais le film a réussi son pari. Encensé par la critique américaine, qui salue la qualité des effets spéciaux et le côté visionnaire de l'intrigue, le long-métrage veut rivaliser avec les films à gros budgets sortis ces derniers mois.
1. Le troisième volet d'une saga
La Planète des singes : Suprématie ne sort pas de nulle part, elle est la suite logique des deux premiers films, qui avaient le même protagoniste principal du côté des primates, César. Le premier long-métrage, sorti en 2011, était lui même une nouvelle adaptation du tout premier film La Planète des singes, réalisé en 1968 par Franklin J. Schaffner.
Dans Les Origines, une équipe de scientifiques, qui fait des recherches sur la maladie d'Alzheimer, inocule un rétrovirus dans ses cobayes chimpanzés et augmentent ainsi leurs capacités cognitives. Une des cobayes met bas un chimpanzé qui est recueilli par l'un des scientifiques, César. Le primate va alors développer des capacités cognitives extraordinaires et la transmettre à ses semblables grâce aux échantillons dont sa mère a elle-même bénéficié.
Les spectateurs retrouvent César en 2014 dans L'Affrontement, qui situe l'intrigue dix ans après les événements du premier film. La grippe simienne a alors décimé une partie de l'humanité et un groupe de survivants de San Francisco tente d'établir un contact avec le monde extérieur mais doit pour cela accéder au territoire de singes, menés par César.
Suprématie reprend où les spectateurs ont laissé les singes, pendant un affrontement contre les Hommes. César assiste au massacre de ses semblables et décide de se venger. Un conflit qui déterminera, une fois pour toute, qui du groupe des singes ou de celui des Hommes, dominera la planète.
Le premier volet de la trilogie, en tant que reboot du film originel, est une adaptation directe d'un livre éponyme de l'écrivain Pierre Boulle. Considéré comme un classique de la science-fiction, le roman connaît un grand succès lors de sa publication en 1963. Si aucune des adaptations cinématographiques n'est entièrement fidèle au roman, qui tient beaucoup plus du second degré que de l'anticipation.
2. Des effets spéciaux époustouflants
Les effets spéciaux sont l'atout principal de La Planète des singes : Suprématie. Leur qualité et la prouesse technique qu'ils représentent ont été largement salué par les critiques. Comme pour les deux films précédents, les effets spéciaux ont été entièrement conçus par le studio de post-production Weta Digital, fondé par le réalisateur Peter Jackson.
L'équipe en charge du film a décidé dès le premier volet d'animer les singes par la capture de mouvement qui permet d'enregistrer les positions et les rotations d'êtres vivants pour ensuite les contrôler sur ordinateur. Déjà très réalistes dans les deux premiers longs-métrages, les singes le sont cette fois-ci encore plus : César se tient plus droit et se sert encore plus de ses mains. Un comportement qui le rapproche encore plus des hommes, qu'il affronte directement.
3. Andy Serkis dans le rôle de César
Le réalisme de César n'aurait pas été possible sans le jeu d'Andy Serkis, grand maître de la capture de mouvement. L'acteur britannique est un habitué du procédé, auquel il a déjà prêté ses traits et sa physionomie dans la trilogie Le Seigneur des Anneaux et Le Hobbit dans le rôle de Gollum.
Le procédé lui a aussi permis d'être le Capitaine Haddock dans Les Aventures de Tintin : Le Secret de La Licorne de Steven Spielberg et dernièrement le suprême leader Snoke dans Star Wars, épisode VII : Le Réveil de la Force. Ses prestations sont acclamées par ses paires et par les critiques, qui réclament souvent sa nomination aux Oscars. Cette fois-ci, peut être ?
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