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«Valérian», top technologique

La grosse production de Luc Besson est aussi un pari technologique «made in France». A découvrir si possible dans des cinémas à l'équipement dernier cri, comme le Mega CGR Blagnac ou le Gaumont Labège.

Pas moins de 15 salles diffusaient la semaine dernière «Valérian et la cité des mille planètes» à Toulouse et dans l'agglomération, soit deux voire trois à la fois, dans certains cinémas, en 2D et en 3D. Avides de découvrir le pari de Luc Besson, adapté de la bande dessinée de Christin et Mézières (et très très inspiré d'«Avatar» et de «Star Wars»), les spectateurs ont été sensibles aux offres technologiques des multiplexes. Le Mega CGR Blagnac est celui qui tire le mieux son épingle du jeu. Il bénéficie à plein du «plus produit» que représente sa salle ICE, ouverte en décembre 2016 et bénéficiant de tout ce que peut apporter le numérique dernière génération. On le constate rapidement, dès les premières scènes du Besson : l'image est impeccable, lumineuse, et les effets relief saisissants sans être perturbants. Le bonus, ce sont les lumières et les ambiances visuelles que renvoient les murs latéraux en complément de l'écran. L'immersion est encore favorisée par un son Dolby Atmos aussi puissant que précis, très enveloppant sans être agressif. Une qualité tous azimuts qui a un impact commercial fort pour les films à grand spectacle. «Pour Rogue One, le premier film diffusé en Ice, nous avions 16 % de part de marché, comptabilise Jean-Baptiste Salvat, le directeur du Mega CGR Blagnac. Avec Valérian, nous avons atteint 26 %.»

Au Gaumont Labège, Florian Clochard relativise l'impact de la technologie sur la décision d'achat du public, tout au moins pour un film aussi familial que le Besson. «Les gens se décident d'abord pour les horaires, explique le directeur du multiplexe. Même si Valérian est sorti chez nous dans la plus grande salle, de 454 places, l'aspect spectacle, on le vit plutôt avec Dunkerque, de Christopher Nolan, que nous projetons dans notre salle Imax (1). Le réalisateur est fan de cette technologie. Il a tourné certaines scènes avec une caméra spécifique. L'écran étant plus près qu'habituellement, on est en plein dans l'action. Quant au mixage son, ils sont très sportifs. Quand ça canarde, les grosses basses font leur effet !»

«Dunkerque» est encore programmé en Imax pendant deux semaines. Quant à «Valérian», vous pourrez encore le déguster en Ice pendant trois semaines.

(1) Société canadienne qui a inventé le concept de l'immersion maximum.

Tarifs Ice au Mega CGR Blagnac : de 8€ à 15€. Tarifs Imax au Gaumont Labège : de 8€ à 14,80€.


Moins fort que Moi, moche 3

Il s'en est fallu de quelques centaines d'entrées mais «Valérian» ne sera pas le plus gros succès de l'été 2017, tout au moins en termes de démarrage. Pour sa première semaine d'exploitation, le film de Luc Besson a attiré 38 879 spectateurs dans les cinémas de Toulouse et de l'agglomération. C'est environ 1 000 entrées de moins que «Moi, moche et méchant 3», également sur sa première semaine, début juillet.

Quant aux «As de la jungle», issus des studios toulousains de TAT, ils approchent des 6 000 entrées pour leurs 7 premiers jours, dans deux fois moins de salles que «Valerian».

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La grosse production de Luc Besson est aussi un pari technologique «made in France». A découvrir si possible dans des cinémas à l'équipement dernier cri, comme le Mega CGR Blagnac ou le Gaumont Labège.

Pas moins de 15 salles diffusaient la semaine dernière «Valérian et la cité des mille planètes» à Toulouse et dans l'agglomération, soit deux voire trois à la fois, dans certains cinémas, en 2D et en 3D. Avides de découvrir le pari de Luc Besson, adapté de la bande dessinée de Christin et Mézières (et très très inspiré d'«Avatar» et de «Star Wars»), les spectateurs ont été sensibles aux offres technologiques des multiplexes. Le Mega CGR Blagnac est celui qui tire le mieux son épingle du jeu. Il bénéficie à plein du «plus produit» que représente sa salle ICE, ouverte en décembre 2016 et bénéficiant de tout ce que peut apporter le numérique dernière génération. On le constate rapidement, dès les premières scènes du Besson : l'image est impeccable, lumineuse, et les effets relief saisissants sans être perturbants. Le bonus, ce sont les lumières et les ambiances visuelles que renvoient les murs latéraux en complément de l'écran. L'immersion est encore favorisée par un son Dolby Atmos aussi puissant que précis, très enveloppant sans être agressif. Une qualité tous azimuts qui a un impact commercial fort pour les films à grand spectacle. «Pour Rogue One, le premier film diffusé en Ice, nous avions 16 % de part de marché, comptabilise Jean-Baptiste Salvat, le directeur du Mega CGR Blagnac. Avec Valérian, nous avons atteint 26 %.»

Au Gaumont Labège, Florian Clochard relativise l'impact de la technologie sur la décision d'achat du public, tout au moins pour un film aussi familial que le Besson. «Les gens se décident d'abord pour les horaires, explique le directeur du multiplexe. Même si Valérian est sorti chez nous dans la plus grande salle, de 454 places, l'aspect spectacle, on le vit plutôt avec Dunkerque, de Christopher Nolan, que nous projetons dans notre salle Imax (1). Le réalisateur est fan de cette technologie. Il a tourné certaines scènes avec une caméra spécifique. L'écran étant plus près qu'habituellement, on est en plein dans l'action. Quant au mixage son, ils sont très sportifs. Quand ça canarde, les grosses basses font leur effet !»

«Dunkerque» est encore programmé en Imax pendant deux semaines. Quant à «Valérian», vous pourrez encore le déguster en Ice pendant trois semaines.

(1) Société canadienne qui a inventé le concept de l'immersion maximum.

Tarifs Ice au Mega CGR Blagnac : de 8€ à 15€. Tarifs Imax au Gaumont Labège : de 8€ à 14,80€.


Moins fort que Moi, moche 3

Il s'en est fallu de quelques centaines d'entrées mais «Valérian» ne sera pas le plus gros succès de l'été 2017, tout au moins en termes de démarrage. Pour sa première semaine d'exploitation, le film de Luc Besson a attiré 38 879 spectateurs dans les cinémas de Toulouse et de l'agglomération. C'est environ 1 000 entrées de moins que «Moi, moche et méchant 3», également sur sa première semaine, début juillet.

Quant aux «As de la jungle», issus des studios toulousains de TAT, ils approchent des 6 000 entrées pour leurs 7 premiers jours, dans deux fois moins de salles que «Valerian».

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