En décembre, Jamel Debbouze sera de retour sur scène avec son spectacle Maintenant ou Jamel, après plusieurs années d'absence. En pleine tournée promotion, l'humoriste était l'invité de RMC, jeudi 19 octobre, et s'est laissé aller à quelques confessions. "On m’a proposé d’être secrétaire d’État, secrétaire d’État à la… comment ça s’appelle", explique-t-il dans un rire, sans préciser de quel secrétariat il s'agit, ni quel président lui a fait cette proposition.
"Bien sûr, j'ai refusé", affirme-t-il. "Ce n’est évidemment pas mon métier, parce que je m’y ennuierais à mourir, parce que c’est là où je serai le moins efficace, le plus figé et le plus critiqué", s'est justifié celui qui avait apporté son soutien à Ségolène Royal en 2007, puis Martine Aubry en 2011.
"Quand on gagne une Coupe du monde, la jeunesse trouve du travail derrière. Là, on est super utile. Quand je monte sur scène et que je fais l’Olympia ou le Zénith, j’ai le sentiment d’être utile. 'Il vient d’en bas, il a une main dans la poche, il se retrouve là'… Il y a une forme d’espoir quelque part. Pareil pour Omar Sy (...) Notre acte politique, c’est de continuer à faire ce qu’on fait dans les meilleures conditions", a ajouté Jamel Debbouze.
Il plaide la cause de Benzema face à Le Graët
Interrogé sur l'actualité sportive, Jamel a évoqué l'absence de Karim Benzema en équipe de France depuis décembre 2015. "J’ai été voir le patron de la Fédération, Noël Le Graët, pour lui demander, presque à genoux, pour qu’il revienne", a-t-il confié. "Je n’ai aucune légitimité là-dedans mais j’aime le football, j’aime Karim. C’est un symbole, comme Ben Arfa peut l’être."
Le comédien a également pris la défense du joueur du Real. "Ce que l’on a fait à Valbuena, c’est regrettable évidemment et on doit rendre justice à cet endroit. Mais si, comme ça a l’air de se profiler, Karim Benzema n’a rien à voir ou alors de très loin : c’est trop lourd, trop cher."
En décembre, Jamel Debbouze sera de retour sur scène avec son spectacle Maintenant ou Jamel, après plusieurs années d'absence. En pleine tournée promotion, l'humoriste était l'invité de RMC, jeudi 19 octobre, et s'est laissé aller à quelques confessions. "On m’a proposé d’être secrétaire d’État, secrétaire d’État à la… comment ça s’appelle", explique-t-il dans un rire, sans préciser de quel secrétariat il s'agit, ni quel président lui a fait cette proposition.
"Bien sûr, j'ai refusé", affirme-t-il. "Ce n’est évidemment pas mon métier, parce que je m’y ennuierais à mourir, parce que c’est là où je serai le moins efficace, le plus figé et le plus critiqué", s'est justifié celui qui avait apporté son soutien à Ségolène Royal en 2007, puis Martine Aubry en 2011.
"Quand on gagne une Coupe du monde, la jeunesse trouve du travail derrière. Là, on est super utile. Quand je monte sur scène et que je fais l’Olympia ou le Zénith, j’ai le sentiment d’être utile. 'Il vient d’en bas, il a une main dans la poche, il se retrouve là'… Il y a une forme d’espoir quelque part. Pareil pour Omar Sy (...) Notre acte politique, c’est de continuer à faire ce qu’on fait dans les meilleures conditions", a ajouté Jamel Debbouze.
Il plaide la cause de Benzema face à Le Graët
Interrogé sur l'actualité sportive, Jamel a évoqué l'absence de Karim Benzema en équipe de France depuis décembre 2015. "J’ai été voir le patron de la Fédération, Noël Le Graët, pour lui demander, presque à genoux, pour qu’il revienne", a-t-il confié. "Je n’ai aucune légitimité là-dedans mais j’aime le football, j’aime Karim. C’est un symbole, comme Ben Arfa peut l’être."
Le comédien a également pris la défense du joueur du Real. "Ce que l’on a fait à Valbuena, c’est regrettable évidemment et on doit rendre justice à cet endroit. Mais si, comme ça a l’air de se profiler, Karim Benzema n’a rien à voir ou alors de très loin : c’est trop lourd, trop cher."
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