Dans Sparring, il monte sur le ring. En entretien, aussi. Il frappe, esquive, balance un uppercut, baisse la garde, relève la tête. Rencontre sportive avec un acteur qui ne mâche rien.
C'est l'homme qui. Qui n'aime pas les interviews, qui balance contre le cinéma français, qui joue dans l'excellente série Le Bureau des légendes, qui a réalisé l'inoubliable La Haine, qui dénonce les flics, qui doute des thèses officielles, qui a travaillé avec Spielberg et Audiard, qui boxe, qui prend des coups et en donne, qui ne dit rien puis s'emporte, qui fait la gueule puis sourit, qui déteste les photos mais fait le boulot, qui en a marre mais qui continue, qui se dit ni misanthrope ni ermite mais punk et transgressif, qui sort peu, fait la cuisine, le ménage, mais préside le jury du Festival international du film fantastique de Gérardmer, qui se dit bon technicien plus qu'artiste, qui ne regrette rien, non rien de rien. Et la liste pourrait courir jusqu'à la fin de la page.

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Dans Sparring, il monte sur le ring. En entretien, aussi. Il frappe, esquive, balance un uppercut, baisse la garde, relève la tête. Rencontre sportive avec un acteur qui ne mâche rien.
C'est l'homme qui. Qui n'aime pas les interviews, qui balance contre le cinéma français, qui joue dans l'excellente série Le Bureau des légendes, qui a réalisé l'inoubliable La Haine, qui dénonce les flics, qui doute des thèses officielles, qui a travaillé avec Spielberg et Audiard, qui boxe, qui prend des coups et en donne, qui ne dit rien puis s'emporte, qui fait la gueule puis sourit, qui déteste les photos mais fait le boulot, qui en a marre mais qui continue, qui se dit ni misanthrope ni ermite mais punk et transgressif, qui sort peu, fait la cuisine, le ménage, mais préside le jury du Festival international du film fantastique de Gérardmer, qui se dit bon technicien plus qu'artiste, qui ne regrette rien, non rien de rien. Et la liste pourrait courir jusqu'à la fin de la page.

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