Mardi soir, tu as tourné pour la première fois. Après avoir engrangé beaucoup de théorie, comment ça s'est passé dans la pratique ?
On ne peut pas anticiper ce que les gens nous disent, comment ils répondent. Hier, je me suis pris un gros vent ! Donc Denis et Christophe se sont moqués de moi ! A un moment, j'étais hyper motivée, j'ai demandé à quelqu'un (elle se met à crier très fort, ndlr) "Allez, un petit cri de guerre !" et il m'a répondu "Euh non". D'accord ! Alors pas de cri de guerre ! (Rires) On ne peut pas prévoir ce que les candidats vont répondre, mais j'apprends quand même leur bio par coeur pour en savoir le plus possible sur eux et leur poser des questions en adéquation avec leur personnalité.
Tu as une oreillette ?
Oui, j'ai une oreillette, j'ai les fiches candidats, j'ai le prompteur. C'est ça qui n'est pas facile au début, donc j'apprends à lire sur les prompteurs, à écouter l'oreillette et à écouter aussi ce qu'on me répond. Et à sourire ! Tout ça en même temps. (Rires)
Que t'ont conseillé Denis et Christophe ?
Ils m'ont dit de ne pas me prendre la tête, de rester naturelle. Je me prenais beaucoup la tête avec ma voix. J'ai une voix qui, de base, n'est pas très agréable, et ça me stressait pas mal. Ils m'ont dit qu'il était plus important d'avoir une bonne interview, en posant des questions pertinentes et en étant sympa que d'avoir une super voix et de poser une question débile qui ne provoque aucune réaction. Ils m'ont conseillé de tout oublier une fois que j'étais face au candidat, de lui poser des questions évidentes, des questions que je me pose en le regardant. Donc c'est ce que j'essaie de faire.
Pas trop difficile de supporter les blagues de Christophe Beaugrand ?
Les deux n'arrêtent pas de parler ! C'est impressionnant ! Dès qu'il y a une pause, je m'assois, je bois un peu d'eau, je ne parle pas. Mais eux sont tout le temps en train de faire des blagues, avec le micro, donc tout le monde est mort de rire. Ils n'arrêtent jamais de parler ! Mais au moins, ça détend. Et puis ils me chouchoutent, ils s'occupent bien de moi, j'ai beaucoup de chance. Ils sont très bienveillants.
Mardi soir, tu as tourné pour la première fois. Après avoir engrangé beaucoup de théorie, comment ça s'est passé dans la pratique ?
On ne peut pas anticiper ce que les gens nous disent, comment ils répondent. Hier, je me suis pris un gros vent ! Donc Denis et Christophe se sont moqués de moi ! A un moment, j'étais hyper motivée, j'ai demandé à quelqu'un (elle se met à crier très fort, ndlr) "Allez, un petit cri de guerre !" et il m'a répondu "Euh non". D'accord ! Alors pas de cri de guerre ! (Rires) On ne peut pas prévoir ce que les candidats vont répondre, mais j'apprends quand même leur bio par coeur pour en savoir le plus possible sur eux et leur poser des questions en adéquation avec leur personnalité.
Tu as une oreillette ?
Oui, j'ai une oreillette, j'ai les fiches candidats, j'ai le prompteur. C'est ça qui n'est pas facile au début, donc j'apprends à lire sur les prompteurs, à écouter l'oreillette et à écouter aussi ce qu'on me répond. Et à sourire ! Tout ça en même temps. (Rires)
Que t'ont conseillé Denis et Christophe ?
Ils m'ont dit de ne pas me prendre la tête, de rester naturelle. Je me prenais beaucoup la tête avec ma voix. J'ai une voix qui, de base, n'est pas très agréable, et ça me stressait pas mal. Ils m'ont dit qu'il était plus important d'avoir une bonne interview, en posant des questions pertinentes et en étant sympa que d'avoir une super voix et de poser une question débile qui ne provoque aucune réaction. Ils m'ont conseillé de tout oublier une fois que j'étais face au candidat, de lui poser des questions évidentes, des questions que je me pose en le regardant. Donc c'est ce que j'essaie de faire.
Pas trop difficile de supporter les blagues de Christophe Beaugrand ?
Les deux n'arrêtent pas de parler ! C'est impressionnant ! Dès qu'il y a une pause, je m'assois, je bois un peu d'eau, je ne parle pas. Mais eux sont tout le temps en train de faire des blagues, avec le micro, donc tout le monde est mort de rire. Ils n'arrêtent jamais de parler ! Mais au moins, ça détend. Et puis ils me chouchoutent, ils s'occupent bien de moi, j'ai beaucoup de chance. Ils sont très bienveillants.
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