
Les Rêveurs d'Isabelle Carré (Grasset)
Une chronique familiale douce-amère
Écrit le plus souvent à la première personne du singulier (la comédienne utilise la troisième pour décrire les événements auxquels elle n'a pas assisté), le roman se lit comme une chronique familiale douce-amère dans la France post soixante-huitarde. La comédienne âgée de 46 ans raconte, au fil de courts chapitres, la rencontre de ses parents, son enfance, sa jeunesse... Elle y mêle vrais souvenirs et rêveries.https://videos.francetv.fr/video/NI_1184733@Culture
Dans un des ultimes chapitres, "La partie émergée de l'iceberg" la comédienne donne quelques clefs à ses lecteurs. "J'ai l'habitude avec les journalistes, écrit-elle, d'être toujours associée à deux qualités : discrète et lumineuse!". "Comment suis-je passée si facilement entre les mailles du filet?", s'interroge-t-elle en faisant remarquer : "Je suis une actrice connue, que personne ne connaît". Son récit d'enfance, "la partie émergée", "donne seulement l'idée de l'énormité silencieuse qu'on ne verra jamais", dit-elle.
Dans sa page de remerciements, l'interprète du film de Zabou Breitman "Se souvenir des belles choses" (2002) indique avoir participé à un atelier d'écriture animé par Philippe Djian pour entamer son travail d'écrivain. Auparavant, elle noircisssait des cahiers dont elle donne à lire quelques extraits. Dans un de ces premiers cahiers, rédigé lorsqu'elle avait "onze ou douze ans", Isabelle Carré note : "plus j'écris, plus j'ai à écrire".
En 2017, le Grand prix RTL/Lire avait été attribué à Tanguy Viel pour "Article 353 du code pénal" (Minuit).

Les Rêveurs d'Isabelle Carré (Grasset)
Une chronique familiale douce-amère
Écrit le plus souvent à la première personne du singulier (la comédienne utilise la troisième pour décrire les événements auxquels elle n'a pas assisté), le roman se lit comme une chronique familiale douce-amère dans la France post soixante-huitarde. La comédienne âgée de 46 ans raconte, au fil de courts chapitres, la rencontre de ses parents, son enfance, sa jeunesse... Elle y mêle vrais souvenirs et rêveries.https://videos.francetv.fr/video/NI_1184733@Culture
Dans un des ultimes chapitres, "La partie émergée de l'iceberg" la comédienne donne quelques clefs à ses lecteurs. "J'ai l'habitude avec les journalistes, écrit-elle, d'être toujours associée à deux qualités : discrète et lumineuse!". "Comment suis-je passée si facilement entre les mailles du filet?", s'interroge-t-elle en faisant remarquer : "Je suis une actrice connue, que personne ne connaît". Son récit d'enfance, "la partie émergée", "donne seulement l'idée de l'énormité silencieuse qu'on ne verra jamais", dit-elle.
Dans sa page de remerciements, l'interprète du film de Zabou Breitman "Se souvenir des belles choses" (2002) indique avoir participé à un atelier d'écriture animé par Philippe Djian pour entamer son travail d'écrivain. Auparavant, elle noircisssait des cahiers dont elle donne à lire quelques extraits. Dans un de ces premiers cahiers, rédigé lorsqu'elle avait "onze ou douze ans", Isabelle Carré note : "plus j'écris, plus j'ai à écrire".
En 2017, le Grand prix RTL/Lire avait été attribué à Tanguy Viel pour "Article 353 du code pénal" (Minuit).
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