Ces 10 films où vous n'avez pas pu manquer Etienne Chicot
"Le Plein de super" (1976)
Road-movie "pas ordinaire" (c'est l'affiche qui le dit), "Le plein de super" raconte la virée vers le midi de deux hommes partis du nord de la France. Fuyant la pluie et l'ombre des corons, ils ramassent deux passagers supplémentaires. Tous les quatre foncent alors vers la côte sur un itinéraire jalonné de rencontres en tous genre.
Monsieur Klein (1976)
Difficile de porter un prénom et un nom de famille répandus. Pour Robert Klein, en tout cas, affairiste alsacien qui fait fortune en rachetant à vil prix les affaires de Juifs en fuite en plein Paris occupé, ça le devient. Car, en cette année 1942, il découvre par hasard qu'il existe un homonyme, juif et résistant de surcroît, vivement recherché par la police (notamment le personnage joué par Etienne Chicot) et les services de Vichy. Tous les deux arrêtés en marge de la Rafle du Vel d'Hiv, le résistant et le profiteur finissent tous les deux déportés, victimes d'un système aussi kafkaïen qu'inhumain.
La guerre des polices (1979)
Un matin, quelques minutes avant six heures, l'équipe du commissaire Ballestrat, dont Larue, incarné par Etienne Chicot, s'apprête à piéger l'ennemi public numéro 1, Sarlat. Mais c'est compter sans les hommes de l'anti-gang, dirigés par Fush, qui montent leur propre embuscade. L'affaire s'envenime, un policier est tué, et l'hostilité entre les deux services s'intensifie en même temps que la chasse à l'homme. Un classique.
"Je te tiens, tu me tiens par la barbichette" (1979)
L'inspecteur Chodaque enquête sur l'enlèvement d'un animateur vedette de la télévision, Patrice Rengain. Se rendant compte que l'homme n'était guère apprécié par ses collègues, le policier décide d'enquêter au coeur des studios. C'est l'occasion pour Jean Yanne, qui réalise cette comédie satirique, de livrer sa propre vision des coulisses de la télévision grand public, machine à abêtir selon lui. Dans une scène d'anthologie, Etienne Chicot caricature un chanteur yéyé le temps d'une chanson anti-flicaille qui ne laisse pas de marbre l'enquêteur.
"36 Fillette" (1988)
Dans "36 Fillette", Etienne Chicot tenait l'affiche avec Delphine Zentout
Premier film de Delphine Zentout, alors âgée de 17 ans, "36 Fillette" raconte les vacances de la jeune Lili au bord de la mer. Pendant que d'autres s'adonnent à la bronzette, elle préfère jouer au chat et à la souris avec Maurice, incarné par Etienne Chicot, de plus de trente ans son aîné. Un film qui, de nos jours, rappelle désagréablement les affaires Polanski ou Allen.
"Impair, Passe et Manque - Who missed who ?" (1997)
C'est bien connu : il n'y a pas toujours besoin de dialogues ou de longues heures d'exposition pour provoquer l'émotion. Dans ce court-métrage muet de Charlotte Walior, une relation muette et étrange s'installe dans une ame de métro entre le personnage repoussant d'Etienne Chicot et une jeune femme. La chute, qui nous prend à revers, prouve que le drame n'a guère besoin de paroles.
"Les Portes de la Gloire" (2001)
Dur métier que celui de VRP. En tout cas, pour l'équipe de Régis Demanet, campé par Benoît Poelvoorde, c'est loin d'être une partie de plaisir. Lorsque le futur gendre de son patron, Jérôme, débarque dans son équipe, Régis y voit le moyen de réaliser ses ambitions et impose un rythme encore plus effrené à ses subordonnés, notamment Patrick Sergent, incarné par Etienne Chicot. Une plongée drôle mais acide dans un monde du travail impitoyable, entre dictature du chiffre et ambitions personnelles.
Ecoute le temps (2007)
Peut-on entendre le passé ? Charlotte, en tout cas, oui. Cette jeune ingénieure du son se retrouve ainsi à enquêter sur le meurtre de sa mère. Alors que l'enquête policière piétine, Charlotte découvre petit à petit de nouveaux indices au coeur de cette campagne où tous les habitants, dont l'un est campé par Etienne Chicot, se connaissent. Et où les secrets sont bien enfouis.
Sandrine s'ennuie. Alors, Sandrine décide de tout plaquer. S'ensuit l'aventure qui fait le titre du film, riche de rencontres philosophiques, amoureuses et charnelles. Le personnage d'Etienne Chicot n'a pas de prénom, s'intitulant sobrement "Le Vieux". Plus "film français", tu meurs.
"O Matador" (2017)
Il s'agit du dernier film dans lequel vous avez pu voir Etienne Chicot. Ce western brésilien suit un tueur dans l'Etat de Pernambuco. Elevé en pleine nature par un bandit, il se confronte en ville au tyrannique Monsieur Blanchard, incarné par Etienne Chicot. Ce dernier dirige le trafic de pierres précieuses d'une main de fer, et chercher justement à employer un tueur à gages...
Road-movie "pas ordinaire" (c'est l'affiche qui le dit), "Le plein de super" raconte la virée vers le midi de deux hommes partis du nord de la France. Fuyant la pluie et l'ombre des corons, ils ramassent deux passagers supplémentaires. Tous les quatre foncent alors vers la côte sur un itinéraire jalonné de rencontres en tous genre.
Monsieur Klein (1976)
Difficile de porter un prénom et un nom de famille répandus. Pour Robert Klein, en tout cas, affairiste alsacien qui fait fortune en rachetant à vil prix les affaires de Juifs en fuite en plein Paris occupé, ça le devient. Car, en cette année 1942, il découvre par hasard qu'il existe un homonyme, juif et résistant de surcroît, vivement recherché par la police (notamment le personnage joué par Etienne Chicot) et les services de Vichy. Tous les deux arrêtés en marge de la Rafle du Vel d'Hiv, le résistant et le profiteur finissent tous les deux déportés, victimes d'un système aussi kafkaïen qu'inhumain.
La guerre des polices (1979)
Un matin, quelques minutes avant six heures, l'équipe du commissaire Ballestrat, dont Larue, incarné par Etienne Chicot, s'apprête à piéger l'ennemi public numéro 1, Sarlat. Mais c'est compter sans les hommes de l'anti-gang, dirigés par Fush, qui montent leur propre embuscade. L'affaire s'envenime, un policier est tué, et l'hostilité entre les deux services s'intensifie en même temps que la chasse à l'homme. Un classique.
"Je te tiens, tu me tiens par la barbichette" (1979)
L'inspecteur Chodaque enquête sur l'enlèvement d'un animateur vedette de la télévision, Patrice Rengain. Se rendant compte que l'homme n'était guère apprécié par ses collègues, le policier décide d'enquêter au coeur des studios. C'est l'occasion pour Jean Yanne, qui réalise cette comédie satirique, de livrer sa propre vision des coulisses de la télévision grand public, machine à abêtir selon lui. Dans une scène d'anthologie, Etienne Chicot caricature un chanteur yéyé le temps d'une chanson anti-flicaille qui ne laisse pas de marbre l'enquêteur.
"36 Fillette" (1988)
Dans "36 Fillette", Etienne Chicot tenait l'affiche avec Delphine Zentout
Premier film de Delphine Zentout, alors âgée de 17 ans, "36 Fillette" raconte les vacances de la jeune Lili au bord de la mer. Pendant que d'autres s'adonnent à la bronzette, elle préfère jouer au chat et à la souris avec Maurice, incarné par Etienne Chicot, de plus de trente ans son aîné. Un film qui, de nos jours, rappelle désagréablement les affaires Polanski ou Allen.
"Impair, Passe et Manque - Who missed who ?" (1997)
C'est bien connu : il n'y a pas toujours besoin de dialogues ou de longues heures d'exposition pour provoquer l'émotion. Dans ce court-métrage muet de Charlotte Walior, une relation muette et étrange s'installe dans une ame de métro entre le personnage repoussant d'Etienne Chicot et une jeune femme. La chute, qui nous prend à revers, prouve que le drame n'a guère besoin de paroles.
"Les Portes de la Gloire" (2001)
Dur métier que celui de VRP. En tout cas, pour l'équipe de Régis Demanet, campé par Benoît Poelvoorde, c'est loin d'être une partie de plaisir. Lorsque le futur gendre de son patron, Jérôme, débarque dans son équipe, Régis y voit le moyen de réaliser ses ambitions et impose un rythme encore plus effrené à ses subordonnés, notamment Patrick Sergent, incarné par Etienne Chicot. Une plongée drôle mais acide dans un monde du travail impitoyable, entre dictature du chiffre et ambitions personnelles.
Ecoute le temps (2007)
Peut-on entendre le passé ? Charlotte, en tout cas, oui. Cette jeune ingénieure du son se retrouve ainsi à enquêter sur le meurtre de sa mère. Alors que l'enquête policière piétine, Charlotte découvre petit à petit de nouveaux indices au coeur de cette campagne où tous les habitants, dont l'un est campé par Etienne Chicot, se connaissent. Et où les secrets sont bien enfouis.
Sandrine s'ennuie. Alors, Sandrine décide de tout plaquer. S'ensuit l'aventure qui fait le titre du film, riche de rencontres philosophiques, amoureuses et charnelles. Le personnage d'Etienne Chicot n'a pas de prénom, s'intitulant sobrement "Le Vieux". Plus "film français", tu meurs.
"O Matador" (2017)
Il s'agit du dernier film dans lequel vous avez pu voir Etienne Chicot. Ce western brésilien suit un tueur dans l'Etat de Pernambuco. Elevé en pleine nature par un bandit, il se confronte en ville au tyrannique Monsieur Blanchard, incarné par Etienne Chicot. Ce dernier dirige le trafic de pierres précieuses d'une main de fer, et chercher justement à employer un tueur à gages...
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