"Cette affaire est un mensonge de A à Z". Dans un entretien exclusif accordé à BFMTV (diffusé en intégralité ce mardi 8 octobre, à 21h), Luc Besson se confie notamment sur les plaintes dont il a été l'objet, de femmes l'accusant de viols. En février dernier, la plainte de l'actrice Sand Van Roy a été classée sans suite. En mars, cette même plaignante s'est constituée partie civile dans cette affaire. Ce vendredi 4 octobre, la juge d’instruction Laurence Lazerges a décidé de reprendre les investigations sous forme d'une information judiciaire.
Évoquant un mensonge, le producteur et réalisateur assure qu'il "n'a pas violé cette femme". "Je n'ai jamais violé une femme de ma vie. Je n'ai jamais levé ma main sur une femme. Je n'ai jamais menacé une femme", confie-t-il à Apolline de Malherbe. "Je n'ai jamais contraint physiquement ou moralement une femme à quoi que ce soit", poursuit le producteur. "Je n'ai jamais drogué une femme. Ceci est un mensonge".
Il confesse cependant avoir eu "une relation avec cette jeune personne, pendant deux ans". "Une relation qui était une relation affective." Et Luc Besson fait toutefois un mea culpa, notamment en direction de sa famille. "J'ai des responsabilités. J'ai commis des erreurs et j'ai fait des fautes", glisse-t-il. "Et j'ai aussi menti moi-même." Le réalisateur indique avoir menti à sa femme et à ses enfants, au sujet de relations avec d'autres femmes, à plusieurs reprises.
>> Un entretien à retrouver en intégralité ce mardi 8 octobre, à 21h, sur BFMTV.
Read Again"Cette affaire est un mensonge de A à Z". Dans un entretien exclusif accordé à BFMTV (diffusé en intégralité ce mardi 8 octobre, à 21h), Luc Besson se confie notamment sur les plaintes dont il a été l'objet, de femmes l'accusant de viols. En février dernier, la plainte de l'actrice Sand Van Roy a été classée sans suite. En mars, cette même plaignante s'est constituée partie civile dans cette affaire. Ce vendredi 4 octobre, la juge d’instruction Laurence Lazerges a décidé de reprendre les investigations sous forme d'une information judiciaire.
Évoquant un mensonge, le producteur et réalisateur assure qu'il "n'a pas violé cette femme". "Je n'ai jamais violé une femme de ma vie. Je n'ai jamais levé ma main sur une femme. Je n'ai jamais menacé une femme", confie-t-il à Apolline de Malherbe. "Je n'ai jamais contraint physiquement ou moralement une femme à quoi que ce soit", poursuit le producteur. "Je n'ai jamais drogué une femme. Ceci est un mensonge".
Il confesse cependant avoir eu "une relation avec cette jeune personne, pendant deux ans". "Une relation qui était une relation affective." Et Luc Besson fait toutefois un mea culpa, notamment en direction de sa famille. "J'ai des responsabilités. J'ai commis des erreurs et j'ai fait des fautes", glisse-t-il. "Et j'ai aussi menti moi-même." Le réalisateur indique avoir menti à sa femme et à ses enfants, au sujet de relations avec d'autres femmes, à plusieurs reprises.
>> Un entretien à retrouver en intégralité ce mardi 8 octobre, à 21h, sur BFMTV.
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