Pourquoi Lily-Rose Depp n'a pas peur de tourner des scènes de nu - Paris Match

Dans une nouvelle interview adressée au magazine «THE FACE», Lily-Rose Depp s'est confiée sur son approche de la nudité au cinéma, quelque chose qu'elle n'appréhende pas et qu'elle assume pleinement.

Actuellement à l'affiche du film «The King» sur Netflix, Lily-Rose Depp est sur tous les fronts et multiplie les entretiens avec la presse. Interviewée dans la nouvelle édition du magazine britannique «THE FACE», l'actrice de 20 ans s'est ainsi notamment confiée sur son approche de la nudité au cinéma, affirmant qu'elle assumait pleinement les scènes de nu. «Ce genre de chose ne me rend pas nerveuse. J'ai grandi en étant topless à la plage. J'ai été élevée par une mère française qui m'a appris qu'il n'y avait rien de honteux à propos du corps», a-t-elle glissé.

Au sujet de sa mère, Lily-Rose Depp affirme justement que Vanessa Paradis a été traitée injustement lorsqu'elle était plus jeune car elle a grandi dans un environnement qui était différent et moins compréhensif à l'époque. «Les gens ont été vraiment horribles avec elle. C'était une autre époque. Les femmes n'étaient pas célébrées pour le fait d'être à l'aise avec leur sexualité. Ma mère a pavé la voie pour les autres, vraiment. Elle m'a appris beaucoup sur la confiance en soi», a-t-elle ajouté.

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Être quelqu'un d'intelligent, de bienveillant, est plus important que d'être beau
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Plus loin, Lily-Rose Depp s'est également confiée sur l'acceptation de soi. «En grandissant, j'essaye de plus me concentrer sur la personne que je suis, de cultiver mon esprit et mes connaissances. Être quelqu'un d'intelligent, de bienveillant, est plus important que d'être beau. Mais j'ai 20 ans, j'ai évidemment des tonnes d'insécurités, comme tout le monde», a-t-elle poursuivi.

Celle qui a pour petit ami l'acteur franco-américain Timothée Chalamet a également fait quelque confidences sur sa vie privée et son besoin de préserver son intimité. «Je ne parle pas de ma famille, je ne parle pas de mes amis, je ne parle pas de la couleur de vernis que je porte sur mes orteils. (...) J'ai été élevée avec l'idée que la notion de vie privée était très particulière, à cause de la situation dans laquelle j'ai grandi. On m'a toujours appris que la vie privée était quelque chose qu'il fallait valoriser et garder le plus possible pour soi. Je préférerais que les gens pensent que je suis rasoir plutôt que les gens en sachent trop sur ma vie. Je veux bien être rasoir tous les jours», a-t-elle conclu.

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