En 2013, avant son histoire d'amour avec le prince Harry, Meghan Markle caressait un rêve qui, à la lumière des derniers évènement survenus dans sa vie, est pour le moins surprenant.
Meghan Markle fuit les paparazzis comme la peste - ou, devrait-on dire désormais, comme le Covid-19. La duchesse éphémère a choisi, avec le prince Harry, de s'éloigner de la famille royale, s'installer en Amérique du nord (au Canada, et en Californie, à Malibu, dont elle est originaire), gagner leur propre argent, renoncer à leur titres royaux et vivre une vie quasiment normale, loin du tumulte médiatique qui cerne la monarchie.
Meghan Markle vit désormais enfin une vie plus tranquille, comme elle en a rêvé durant ses années de mal-être à essayer vainement de rentrer dans le moule protocolaire de la famille royale britannique. A Malibu, elle se consacre aux autres et a été vue dernièrement en train de distribuer des courses et des repas pour les plus vulnérables, en pleine pandémie du coronavirus, en compagnie du prince Harry.
Pas toujours en guerre contre les tabloïds
Au même moment, on apprenait que le couple s'est lancé dans l'étape 2 dans leur guerre contre les tabloïds : ils ont annoncé dans un courrier qu'il cesserait toute collaboration avec les titres de la presse à scandale britannique- The Sun, The Daily Mail, The Mail on Sunday, The Express et The Mirror.
Meghan Markle a donc bien changé d'avis par rapport aux débuts de son idylle avec le prince Harry. Selon Katie Hind, éditorialiste britannique du Mail on Sunday citée par Fox News, la trentenaire l'aurait alors "supplié pour faire en sorte que les tabloïds parlent d'elle". Elle aurait rencontré celle qui était alors actrice en novembre 2013. A l'époque, la future épouse du prince Harry voulait à tout prix se faire un nom au Royaume-Uni. "Il est vite devenu évident que Meghan Markle était déterminée à faire parler d'elle dans les médias, même si ce n'était que par une simple mention dans une brève", a fait savoir Katie Hind.
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En 2013, avant son histoire d'amour avec le prince Harry, Meghan Markle caressait un rêve qui, à la lumière des derniers évènement survenus dans sa vie, est pour le moins surprenant.
Meghan Markle fuit les paparazzis comme la peste - ou, devrait-on dire désormais, comme le Covid-19. La duchesse éphémère a choisi, avec le prince Harry, de s'éloigner de la famille royale, s'installer en Amérique du nord (au Canada, et en Californie, à Malibu, dont elle est originaire), gagner leur propre argent, renoncer à leur titres royaux et vivre une vie quasiment normale, loin du tumulte médiatique qui cerne la monarchie.
Meghan Markle vit désormais enfin une vie plus tranquille, comme elle en a rêvé durant ses années de mal-être à essayer vainement de rentrer dans le moule protocolaire de la famille royale britannique. A Malibu, elle se consacre aux autres et a été vue dernièrement en train de distribuer des courses et des repas pour les plus vulnérables, en pleine pandémie du coronavirus, en compagnie du prince Harry.
Pas toujours en guerre contre les tabloïds
Au même moment, on apprenait que le couple s'est lancé dans l'étape 2 dans leur guerre contre les tabloïds : ils ont annoncé dans un courrier qu'il cesserait toute collaboration avec les titres de la presse à scandale britannique- The Sun, The Daily Mail, The Mail on Sunday, The Express et The Mirror.
Meghan Markle a donc bien changé d'avis par rapport aux débuts de son idylle avec le prince Harry. Selon Katie Hind, éditorialiste britannique du Mail on Sunday citée par Fox News, la trentenaire l'aurait alors "supplié pour faire en sorte que les tabloïds parlent d'elle". Elle aurait rencontré celle qui était alors actrice en novembre 2013. A l'époque, la future épouse du prince Harry voulait à tout prix se faire un nom au Royaume-Uni. "Il est vite devenu évident que Meghan Markle était déterminée à faire parler d'elle dans les médias, même si ce n'était que par une simple mention dans une brève", a fait savoir Katie Hind.
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