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"J’aime les flics", soutien aux forces de l’ordre et texte choc du réalisateur Olivier Marchal [direct] - Charente Libre

11h30: "J’aime les flics", Olivier Marchal affirme son soutien aux forces de l’ordre

"J’aime les flics, et je suis là pour dire que j’aime les flics et que ce métier, je le respecte", a déclaré Olivier Marchal sur BFMTV lundi soir. Dans un texte diffusé sur Twitter (voir ci-dessous), l’ancien policier s’insurge contre "la horde de petits marquis qui hurlent à la mort du fond de leurs appartements bourgeois des arrondissements les plus huppés de la capitale."

11h: Philippe à Evry pour échanger avec des policiers

Edouard Philippe a rencontré mardi matin à Evry (Essonne) des policiers puis des membres d’une association d’insertion, au lendemain d’annonces du gouvernement pour améliorer la déontologie des forces de l’ordre.

Accompagné des ministres de l’Intérieur Christophe Castaner et du Logement Julien Denormandie, le Premier ministre doit faire une déclaration à la mi-journée, dans le contexte de la vague internationale d’indignation liée à la mort de George Floyd aux Etats-Unis et de la mobilisation en France contre les violences policières.
 

10h18: les rassemblements prévus aujourd’hui tolérés, explique Castaner

Les rassemblements prévus mardi en France pour saluer la mémoire de George Floyd et "combattre le racisme dans la police", bien qu’interdits par la loi en raison de la crise sanitaire, sont tolérés et ne donneront pas lieu à des sanctions, a déclaré le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner. 

10h09: trente enquêtes judiciaires en 2019 sur des policiers pour propos racistes

En 2019, "une trentaine d’enquêtes judiciaires ont été engagées contre des policiers sur des propos racistes", a déclaré mardi le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner qui souhaite désormais qu’une suspension administrative soit engagée systématiquement dans ces cas-là. "Huit de ces enquêtes judiciaires ont été classées sans suite et 22 ont été transmises à la justice", a-t-il précisé.
 

10h: l’Inspection générale de la gendarmerie saisie de 100 nouvelles enquêtes en 2019

L’Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) a été saisie en 2019 de 100 nouvelles enquêtes judiciaires mettant en cause des gendarmes, selon son rapport annuel dévoilé de façon inédite lundi, en pleine polémique sur les violences policières.

Charente Libre

Les chiffres de l’IGGN, habituellement gardés secrets, ont été mis en ligne en même temps que ceux de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), qui s’est vu confier 1.460 enquêtes judiciaires en 2019, en hausse de 23,7%. 

Côté gendarmes, la vingtaine d’enquêteurs chargée de mener les enquêtes judiciaires a eu une activité stable par rapport à l’an passé avec seulement une saisine de plus.

Près d’un tiers (31) concernait des affaires de violences avec ou sans armes. Douze visaient des violences commises dans le cadre d’opérations de maintien de l’ordre, dont onze en relation avec le mouvement des "gilets jaunes", après usage de lanceurs de balles de défense ou de grenades notamment.
 

9h45: témoignage de Gabriel, 14 ans, interpellé à Bondy

Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner s’est dit "troublé" lundi par les "témoignage autour de l’arrestation à Bondy (Seine-Saint-Denis), le 25 mai, du jeune Gabriel, 14 ans, qui accuse les policiers de l’avoir frappé en le blessant gravement à l’oeil.

L’affaire Gabriel "a marqué de nombreux Français", a déclaré M. Castaner. "Je suis moi-même troublé par les témoignages que j’entends", a-t-il ajouté. "La lumière sera faite et les déclarations des policiers sont en ce moment confrontées aux expertises médicales".

L’adolescent avait été interpellé par un équipage de quatre policiers, dans la nuit du 25 au 26 mai, alors qu’il tentait de voler un scooter. Selon une source policière, il aurait "fait une chute" et se serait "rebellé" lors de son arrestation.

Gabriel assure quant à lui avoir reçu trois à quatre coups de pieds au visage par un policier, alors qu’il était au sol, maitrisé et menotté. Il dit aussi avoir reçu un coup à l’arrière du crâne sans pouvoir identifier précisément l’auteur. Voir son témoignage ci-dessous

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"J’aime les flics, et je suis là pour dire que j’aime les flics et que ce métier, je le respecte", a déclaré Olivier Marchal sur BFMTV lundi soir. Dans un texte diffusé sur Twitter (voir ci-dessous), l’ancien policier s’insurge contre "la horde de petits marquis qui hurlent à la mort du fond de leurs appartements bourgeois des arrondissements les plus huppés de la capitale."

11h: Philippe à Evry pour échanger avec des policiers

Edouard Philippe a rencontré mardi matin à Evry (Essonne) des policiers puis des membres d’une association d’insertion, au lendemain d’annonces du gouvernement pour améliorer la déontologie des forces de l’ordre.

Accompagné des ministres de l’Intérieur Christophe Castaner et du Logement Julien Denormandie, le Premier ministre doit faire une déclaration à la mi-journée, dans le contexte de la vague internationale d’indignation liée à la mort de George Floyd aux Etats-Unis et de la mobilisation en France contre les violences policières.
 

10h18: les rassemblements prévus aujourd’hui tolérés, explique Castaner

Les rassemblements prévus mardi en France pour saluer la mémoire de George Floyd et "combattre le racisme dans la police", bien qu’interdits par la loi en raison de la crise sanitaire, sont tolérés et ne donneront pas lieu à des sanctions, a déclaré le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner. 

10h09: trente enquêtes judiciaires en 2019 sur des policiers pour propos racistes

En 2019, "une trentaine d’enquêtes judiciaires ont été engagées contre des policiers sur des propos racistes", a déclaré mardi le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner qui souhaite désormais qu’une suspension administrative soit engagée systématiquement dans ces cas-là. "Huit de ces enquêtes judiciaires ont été classées sans suite et 22 ont été transmises à la justice", a-t-il précisé.
 

10h: l’Inspection générale de la gendarmerie saisie de 100 nouvelles enquêtes en 2019

L’Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) a été saisie en 2019 de 100 nouvelles enquêtes judiciaires mettant en cause des gendarmes, selon son rapport annuel dévoilé de façon inédite lundi, en pleine polémique sur les violences policières.

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Les chiffres de l’IGGN, habituellement gardés secrets, ont été mis en ligne en même temps que ceux de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), qui s’est vu confier 1.460 enquêtes judiciaires en 2019, en hausse de 23,7%. 

Côté gendarmes, la vingtaine d’enquêteurs chargée de mener les enquêtes judiciaires a eu une activité stable par rapport à l’an passé avec seulement une saisine de plus.

Près d’un tiers (31) concernait des affaires de violences avec ou sans armes. Douze visaient des violences commises dans le cadre d’opérations de maintien de l’ordre, dont onze en relation avec le mouvement des "gilets jaunes", après usage de lanceurs de balles de défense ou de grenades notamment.
 

9h45: témoignage de Gabriel, 14 ans, interpellé à Bondy

Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner s’est dit "troublé" lundi par les "témoignage autour de l’arrestation à Bondy (Seine-Saint-Denis), le 25 mai, du jeune Gabriel, 14 ans, qui accuse les policiers de l’avoir frappé en le blessant gravement à l’oeil.

L’affaire Gabriel "a marqué de nombreux Français", a déclaré M. Castaner. "Je suis moi-même troublé par les témoignages que j’entends", a-t-il ajouté. "La lumière sera faite et les déclarations des policiers sont en ce moment confrontées aux expertises médicales".

L’adolescent avait été interpellé par un équipage de quatre policiers, dans la nuit du 25 au 26 mai, alors qu’il tentait de voler un scooter. Selon une source policière, il aurait "fait une chute" et se serait "rebellé" lors de son arrestation.

Gabriel assure quant à lui avoir reçu trois à quatre coups de pieds au visage par un policier, alors qu’il était au sol, maitrisé et menotté. Il dit aussi avoir reçu un coup à l’arrière du crâne sans pouvoir identifier précisément l’auteur. Voir son témoignage ci-dessous

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