Disparition
AbonnésLa chanteuse israélienne de «Sans chemise, sans pantalon» devenue naturopathe inculpée, figure des plateaux télé à la Guy Lux et des conférences de développement personnel, est morte ce mercredi à 82 ans.
Pour beaucoup, Rika Zaraï n’était qu’un nom, associé dans les poussiéreux souvenirs de l’enfance à des chansons dénudées, des plateaux télé clinquants ou une bassine d’eau froide dans laquelle tremper son séant. Chanteuse, apprentie naturopathe, celle dont ce journal ne contient pas d’archive et que Jacques Brel décrivait comme «Voici le feu, voici la force, voici la terre, une autre terre que l’habitude et qui déchire par sa tendresse et sa fierté, c’est la vie qui chante, vive Rika» est morte ce mercredi. Elle avait 82 ans.
Jeune Israélienne à Paris
Née en 1938 à Jérusalem d’une mère d’origine polonaise qui a dû interrompre ses études de médecine à la suite des exactions contre les Juifs et d’un père issu d’une famille de meuniers russes qui deviendra électronicien, Rika étudie le piano au conservatoire. Durant son service militaire, effectué à 17 ans, elle participe à une comédie musicale qui devient un succès de casernes, Cinq sur cinq. Après un passage au music-hall, sur la foi d’
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Jeune Israélienne à Paris
Née en 1938 à Jérusalem d’une mère d’origine polonaise qui a dû interrompre ses études de médecine à la suite des exactions contre les Juifs et d’un père issu d’une famille de meuniers russes qui deviendra électronicien, Rika étudie le piano au conservatoire. Durant son service militaire, effectué à 17 ans, elle participe à une comédie musicale qui devient un succès de casernes, Cinq sur cinq. Après un passage au music-hall, sur la foi d’
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