Jérôme Vermelin -
Elle ne va pas se laisser faire. L'ex-Miss France Vaimalama Chaves a révélé samedi sur Instagram avoir été victime d’une agression dans les rues de Paris, quelques heures plus tôt. Les auteurs ? "Une bande de moins de 18 ans, donc pas condamnables, mais ce n’est pas normal. Pourquoi devrions-nous taire ? Pourquoi devrions-nous subir ?".
Après avoir reçu des cailloux "pour rigoler", la jeune femme confronte l’un de ses agresseurs : "Ils se sont regroupés autour de moi, une quinzaine de jeunes gars qui n’ont aucune valeur, dont les parents semblent dépassés, dont les valeurs sont inexistantes. Une quinzaine de gars à qui j’aurais refait le portrait si j’avais su comment faire", s’emporte-t-elle dans l'une de ses stories.
S’il vous arrive une agression, quelle qu’elle soit, dites-le. À tout le monde, faites savoir ce qu’il se passe parce que ce n’est pas votre faute
Dans un autre message, Vaimalama Chaves explique avoir commencé à filmer son principal agresseur pour montrer les images à la police. À sa grande surprise, l’agent qui prend son appel va minimiser les faits. "Ça va, elle n’a reçu que des cailloux", lui aurait-on lancé. "Non Monsieur, je n’ai pas reçu ‘que’ des cailloux", rétorquera la jeune femme. "Ils ont essayé de me voler mon téléphone, ils se sont amusés à m’en jeter (des cailloux – ndlr) davantage lorsque je partais. Ils m’ont entourée lorsque j’essayais d’appeler le 17."
Un peu plus tard dans la soirée, Miss France 2019 a finalement annoncé avoir porté plainte : "Les choses n’en resteront pas là. Si moi j’ai vécu ça et que j’ai pu vous le montrer, des milliers d’autres subissent pareil et pire et ne disent rien. Le silence n’a pas lieu d’être", écrit-elle. "S’il vous arrive une agression, quelle qu’elle soit, dites-le. À tout le monde, faites savoir ce qu’il se passe parce que ce n’est pas votre faute."
Jérôme Vermelin -
Elle ne va pas se laisser faire. L'ex-Miss France Vaimalama Chaves a révélé samedi sur Instagram avoir été victime d’une agression dans les rues de Paris, quelques heures plus tôt. Les auteurs ? "Une bande de moins de 18 ans, donc pas condamnables, mais ce n’est pas normal. Pourquoi devrions-nous taire ? Pourquoi devrions-nous subir ?".
Après avoir reçu des cailloux "pour rigoler", la jeune femme confronte l’un de ses agresseurs : "Ils se sont regroupés autour de moi, une quinzaine de jeunes gars qui n’ont aucune valeur, dont les parents semblent dépassés, dont les valeurs sont inexistantes. Une quinzaine de gars à qui j’aurais refait le portrait si j’avais su comment faire", s’emporte-t-elle dans l'une de ses stories.
S’il vous arrive une agression, quelle qu’elle soit, dites-le. À tout le monde, faites savoir ce qu’il se passe parce que ce n’est pas votre faute
Dans un autre message, Vaimalama Chaves explique avoir commencé à filmer son principal agresseur pour montrer les images à la police. À sa grande surprise, l’agent qui prend son appel va minimiser les faits. "Ça va, elle n’a reçu que des cailloux", lui aurait-on lancé. "Non Monsieur, je n’ai pas reçu ‘que’ des cailloux", rétorquera la jeune femme. "Ils ont essayé de me voler mon téléphone, ils se sont amusés à m’en jeter (des cailloux – ndlr) davantage lorsque je partais. Ils m’ont entourée lorsque j’essayais d’appeler le 17."
Un peu plus tard dans la soirée, Miss France 2019 a finalement annoncé avoir porté plainte : "Les choses n’en resteront pas là. Si moi j’ai vécu ça et que j’ai pu vous le montrer, des milliers d’autres subissent pareil et pire et ne disent rien. Le silence n’a pas lieu d’être", écrit-elle. "S’il vous arrive une agression, quelle qu’elle soit, dites-le. À tout le monde, faites savoir ce qu’il se passe parce que ce n’est pas votre faute."
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