«Des messages intolérables, inqualifiables, abjects, révoltants et condamnables à l’encontre des aventuriers de #kohlanta sur les réseaux sociaux. Ça suffit.» Le post twitter est signé Denis Brogniart, figure tutélaire du jeu de survie de TF1, ce vendredi.
La veille, la production de Koh-Lanta a signalé à la justice des menaces de mort visant des candidats sur les réseaux sociaux à cause d’une affaire de tricherie qui secoue cette très populaire émission de télé-réalité, a indiqué son avocat ce vendredi. «Compte tenu de l’émotion suscitée par ces menaces de mort au sein des équipes de production et de notre devoir de protéger les candidats, des signalements au procureur de la République sont effectués par ALP [Adventure Line Productions, ndlr]», a précisé l’avocat de cette société de production Mathias Chichportich au Parisien-Aujourd’hui en France.
Selon le journal, plusieurs candidats ont eux-mêmes porté plainte. «J’ai porté plainte pour montrer qu’on peut être puni», explique une candidate, Coumba, en disant avoir été la cible de menaces de mort et d’injures racistes sur les réseaux sociaux. «Je suis allée déposer plainte mercredi», indique une autre candidate, Christelle, qui dit avoir hâte que la diffusion de l’émission s’achève car «les réseaux nous gâchent l’aventure».
«Aucun aventurier n’a dénoncé Teheiura»
Selon elle, ces menaces sont liées à une affaire de tricherie révélée le 9 novembre. Lors de l’épisode diffusé ce soir-là, l’un des candidats emblématiques, Teheiura, a avoué avoir obtenu de la nourriture de l’extérieur, dont un steak-frites. C’est strictement interdit par le règlement de cette émission à succès sur TF1, qui met en scène la survie de candidats isolés dans des endroits lointains et en pleine nature.
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Selon la société de production ALP, les menaces de mort visent en particulier des coéquipiers du Polynésien, accusés à tort par des internautes anonymes de l’avoir dénoncé. «Aucun aventurier n’a dénoncé Teheiura sur le fait qu’il a reçu de la nourriture sur le camp. Teheiura a avoué seul son moment d’égarement. Aucun événement lié à ce jeu ne donne le droit à l’envoi d’injures, de menaces et de messages haineux. Nous dénonçons fermement ce genre de comportement et conseillons aux aventuriers de déposer plainte», avait indiqué ALP dans un message diffusé mardi sur Twitter.
L’édition actuellement diffusée rassemble des candidats qui avaient déjà participé par le passé à l’émission. Elle a été tournée en Polynésie, d’où est originaire Teheiura, qui a été éliminé après son aveu.
«Des messages intolérables, inqualifiables, abjects, révoltants et condamnables à l’encontre des aventuriers de #kohlanta sur les réseaux sociaux. Ça suffit.» Le post twitter est signé Denis Brogniart, figure tutélaire du jeu de survie de TF1, ce vendredi.
La veille, la production de Koh-Lanta a signalé à la justice des menaces de mort visant des candidats sur les réseaux sociaux à cause d’une affaire de tricherie qui secoue cette très populaire émission de télé-réalité, a indiqué son avocat ce vendredi. «Compte tenu de l’émotion suscitée par ces menaces de mort au sein des équipes de production et de notre devoir de protéger les candidats, des signalements au procureur de la République sont effectués par ALP [Adventure Line Productions, ndlr]», a précisé l’avocat de cette société de production Mathias Chichportich au Parisien-Aujourd’hui en France.
Selon le journal, plusieurs candidats ont eux-mêmes porté plainte. «J’ai porté plainte pour montrer qu’on peut être puni», explique une candidate, Coumba, en disant avoir été la cible de menaces de mort et d’injures racistes sur les réseaux sociaux. «Je suis allée déposer plainte mercredi», indique une autre candidate, Christelle, qui dit avoir hâte que la diffusion de l’émission s’achève car «les réseaux nous gâchent l’aventure».
«Aucun aventurier n’a dénoncé Teheiura»
Selon elle, ces menaces sont liées à une affaire de tricherie révélée le 9 novembre. Lors de l’épisode diffusé ce soir-là, l’un des candidats emblématiques, Teheiura, a avoué avoir obtenu de la nourriture de l’extérieur, dont un steak-frites. C’est strictement interdit par le règlement de cette émission à succès sur TF1, qui met en scène la survie de candidats isolés dans des endroits lointains et en pleine nature.
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Selon la société de production ALP, les menaces de mort visent en particulier des coéquipiers du Polynésien, accusés à tort par des internautes anonymes de l’avoir dénoncé. «Aucun aventurier n’a dénoncé Teheiura sur le fait qu’il a reçu de la nourriture sur le camp. Teheiura a avoué seul son moment d’égarement. Aucun événement lié à ce jeu ne donne le droit à l’envoi d’injures, de menaces et de messages haineux. Nous dénonçons fermement ce genre de comportement et conseillons aux aventuriers de déposer plainte», avait indiqué ALP dans un message diffusé mardi sur Twitter.
L’édition actuellement diffusée rassemble des candidats qui avaient déjà participé par le passé à l’émission. Elle a été tournée en Polynésie, d’où est originaire Teheiura, qui a été éliminé après son aveu.
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