En plus des accusations d'agressions sexuelles, Jean-Jacques Bourdin a fait l'objet d'un nouvel article dans Le Parisien ce samedi 29 janvier où Dominique Grimault évoque son concours de conquête lors de chaque Tour de France à la fin des années 1970. Jean-Jacques Bourdin, qui travaillait chez RTL, aurait pris par à une compétition intitulée "le Slip jaune" avec deux de ses confrères, remportée par "celui qui choperait le plus de nanas possibles". "Il y avait aussi un Slip vert pour le plus rapide. (...) Les filles étaient consentantes. Personne n'a été violé, jamais", a ajouté Dominique Grimault.
Ce témoignage fait peut-être partie des articles pointés du doigt par Anne Nivat ce samedi soir sur France 2, dans On est en direct. Face à Laurent Ruquier et Léa Salamé, la journaliste a déclaré : "Il y a des fuites qui nous étonnent énormément, qui montrent que dans son entourage professionnel, il manque sérieusement de bienveillance. (...) Il y a véritablement des gens qui cherchent à nous nuire. Il y a des fuites qui se retrouvent dans Le Parisien et ça nous étonne beaucoup. (...) Un article disait que Yannick Jadot avait annulé (son interview chez Jean-Jacques Bourdin, ndlr) parce qu'il y avait cette plainte et cet article donnait les invités de la semaine suivante. Or, il y a un nombre de limité de personnes qui connaissent les invités à venir de mon mari".
Anne Nivat a également taclé les méthodes des journalistes, qui ont beaucoup recours aux sources anonymes : "C'est très facile. (...) Je respecte la possibilité de la source anonyme, mais quand il y en a trop, ça fait quand même un petit peu beaucoup". Enfin, l'invitée d'On est en direct n'a pas pu contenir son émotion en évoquant cette période très compliquée à vivre pour elle. Haussant le ton, elle s'est exclamée avec fermeté : "Je vis dans un brouillard, quand même, depuis quinze jours. (...) Tout cela m'affecte, nous affecte et affecte également la promotion de mon livre. Or, moi, je ne suis pas dans les médias toutes les cinq minutes comme tout le monde ou comme mon mari ! Moi, je n'ai pas d'émission ! C'est toute ma vie ce livre ! C'est trois ans de travail et c'est déjà difficile de faire de la promotion en temps normal et ça l'est encore plus quand on vous questionne sur votre mari".
Hugo Mallais
Read AgainEn plus des accusations d'agressions sexuelles, Jean-Jacques Bourdin a fait l'objet d'un nouvel article dans Le Parisien ce samedi 29 janvier où Dominique Grimault évoque son concours de conquête lors de chaque Tour de France à la fin des années 1970. Jean-Jacques Bourdin, qui travaillait chez RTL, aurait pris par à une compétition intitulée "le Slip jaune" avec deux de ses confrères, remportée par "celui qui choperait le plus de nanas possibles". "Il y avait aussi un Slip vert pour le plus rapide. (...) Les filles étaient consentantes. Personne n'a été violé, jamais", a ajouté Dominique Grimault.
Ce témoignage fait peut-être partie des articles pointés du doigt par Anne Nivat ce samedi soir sur France 2, dans On est en direct. Face à Laurent Ruquier et Léa Salamé, la journaliste a déclaré : "Il y a des fuites qui nous étonnent énormément, qui montrent que dans son entourage professionnel, il manque sérieusement de bienveillance. (...) Il y a véritablement des gens qui cherchent à nous nuire. Il y a des fuites qui se retrouvent dans Le Parisien et ça nous étonne beaucoup. (...) Un article disait que Yannick Jadot avait annulé (son interview chez Jean-Jacques Bourdin, ndlr) parce qu'il y avait cette plainte et cet article donnait les invités de la semaine suivante. Or, il y a un nombre de limité de personnes qui connaissent les invités à venir de mon mari".
Anne Nivat a également taclé les méthodes des journalistes, qui ont beaucoup recours aux sources anonymes : "C'est très facile. (...) Je respecte la possibilité de la source anonyme, mais quand il y en a trop, ça fait quand même un petit peu beaucoup". Enfin, l'invitée d'On est en direct n'a pas pu contenir son émotion en évoquant cette période très compliquée à vivre pour elle. Haussant le ton, elle s'est exclamée avec fermeté : "Je vis dans un brouillard, quand même, depuis quinze jours. (...) Tout cela m'affecte, nous affecte et affecte également la promotion de mon livre. Or, moi, je ne suis pas dans les médias toutes les cinq minutes comme tout le monde ou comme mon mari ! Moi, je n'ai pas d'émission ! C'est toute ma vie ce livre ! C'est trois ans de travail et c'est déjà difficile de faire de la promotion en temps normal et ça l'est encore plus quand on vous questionne sur votre mari".
Hugo Mallais
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