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Bernard Tapie : sa fille Sophie réagit aux révélations de Paris Match sur sa mère - Le Parisien

« Oh toi l’autrice si prodigieuse, comment es-tu tombée si bas ? » Sophie Tapie, une des filles de Bernard Tapie a réagi de façon très lyrique ce jeudi à un article de Paris Match affirmant que le milliardaire décédé en octobre, a laissé une montagne de dettes à sa mère Dominique Tapie. Dans un poème publié sur les réseaux sociaux, la chanteuse dénonce « des coups bas » rédigés dans « des pages monstrueuses » dans le but d’« attirer de nouvelles proies ».

« Je t’imaginais plus talentueuse », lance la fille de Dominique Tapie à la journaliste de Paris Match Sophie Des Déserts dans son texte offensif. « La souffrance est souvent silencieuse et la dignité ne s’achète pas. Et par pudeur elle ne s’étale pas », conclut-elle.

« 600 millions d’euros de dette »

Dans un article de huit pages, publié dans l’édition du 10 au 16 février de Paris Match, la journaliste dresse un portrait malheureux de Dominique Tapie, la veuve de l’ex-président de l’OM. Cette dernière serait contrainte selon l’hebdomadaire de rembourser près de 600 millions d’euros de dettes léguées par son mari à sa mort. Il s’agirait du montant réclamé par le CDR, le Consortium de réalisation, structure ad hoc chargée de gérer le passif du Crédit lyonnais.

L’article dépeint une femme qui n’aurait « même plus de quoi régler l’abonnement du téléphone » et serait « contrainte de compter les sous, de vendre ses sacs Hermès ». « Même l’appartement que Mme Tapie avait hérité de sa grand-mère, un 90-mètres carrés rue de Grenelle, ne lui appartient plus », écrit Sophie Des Déserts. Une situation économique délicate que même la vente de l’hôtel de Cavoye, célèbre hôtel particulier de la rue des Saints-Pères, ayant rapporté 80 millions d’euros, n’a pu changer.

Au fil des lignes, Bernard Tapie apparaît comme inconscient des risques de faillite, la journaliste citant les achats dans les années 2010 de la Mandala, une villa de 500 m2 à Saint-Tropez, du Moulin du Breuil, aux portes de Paris et d’un yacht à 40 millions d’euros. Des dépenses alors même que sa femme lui conseillait de ne « pas trop étaler » mais de « sécuriser ».

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« Oh toi l’autrice si prodigieuse, comment es-tu tombée si bas ? » Sophie Tapie, une des filles de Bernard Tapie a réagi de façon très lyrique ce jeudi à un article de Paris Match affirmant que le milliardaire décédé en octobre, a laissé une montagne de dettes à sa mère Dominique Tapie. Dans un poème publié sur les réseaux sociaux, la chanteuse dénonce « des coups bas » rédigés dans « des pages monstrueuses » dans le but d’« attirer de nouvelles proies ».

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« 600 millions d’euros de dette »

Dans un article de huit pages, publié dans l’édition du 10 au 16 février de Paris Match, la journaliste dresse un portrait malheureux de Dominique Tapie, la veuve de l’ex-président de l’OM. Cette dernière serait contrainte selon l’hebdomadaire de rembourser près de 600 millions d’euros de dettes léguées par son mari à sa mort. Il s’agirait du montant réclamé par le CDR, le Consortium de réalisation, structure ad hoc chargée de gérer le passif du Crédit lyonnais.

L’article dépeint une femme qui n’aurait « même plus de quoi régler l’abonnement du téléphone » et serait « contrainte de compter les sous, de vendre ses sacs Hermès ». « Même l’appartement que Mme Tapie avait hérité de sa grand-mère, un 90-mètres carrés rue de Grenelle, ne lui appartient plus », écrit Sophie Des Déserts. Une situation économique délicate que même la vente de l’hôtel de Cavoye, célèbre hôtel particulier de la rue des Saints-Pères, ayant rapporté 80 millions d’euros, n’a pu changer.

Au fil des lignes, Bernard Tapie apparaît comme inconscient des risques de faillite, la journaliste citant les achats dans les années 2010 de la Mandala, une villa de 500 m2 à Saint-Tropez, du Moulin du Breuil, aux portes de Paris et d’un yacht à 40 millions d’euros. Des dépenses alors même que sa femme lui conseillait de ne « pas trop étaler » mais de « sécuriser ».

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