Léa Salamé en pleurs sur France Inter : vive émotion après une chronique - Pure People

C'est une séquence d'une rare intensité qu'ont vécu les auditeurs de la matinale de France Inter ce mardi 15 mars lors de la chronique de Sonia Devillers sur la guerre en Ukraine. Face à elle, les deux journalistes Nicolas Demorand et Léa Salamé n'ont pas pu retenir leurs larmes...

Léa Salamé, 42 ans, ne pouvait pas imaginer qu'elle finirait en pleurs lorsqu'elle a invité sa consoeur à prendre la parole dans la matinale de France Inter. "Vous revenez ce matin sur deux photos déchirantes. Deux femmes enceintes fuyant la maternité de Marioupol sous les bombes ont été photographiées. L'une a accouché. L'autre est morte", a dans un premier temps annoncé la compagne de Raphael Glucksmann.

Sonia Devillers a alors débuté sa chronique dans une ambiance grave, à la mesure de son sujet atroce, celui de la guerre en Ukraine initiée par le clivant président russe Vladimir Poutine. "Leurs visages blafards, leur ventre proéminent, ont fait le tour du monde. Un photographe ukrainien, Evgeniy Maloletka les a saisis. La première descendant un escalier à moitié en ruines, une couverture sur le dos, un énorme sac mauve accroché au bras et surtout, un pyjama d'hiver beige à gros pois noirs qui permet de la reconnaître sur les clichés suivants ; l'autre n'est plus en état de marcher", a-t-elle débuté avant de déclamer la totalité de son texte.

Dans la foulée c'est Nicolas Demorand qui reprend la parole, les yeux mouillés par l'émotion, tout juste capable de s'éclaircir la voix pour déclarer : "On est écrasés dans ce studio, avec, tous, les larmes aux yeux."

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C'est une séquence d'une rare intensité qu'ont vécu les auditeurs de la matinale de France Inter ce mardi 15 mars lors de la chronique de Sonia Devillers sur la guerre en Ukraine. Face à elle, les deux journalistes Nicolas Demorand et Léa Salamé n'ont pas pu retenir leurs larmes...

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Sonia Devillers a alors débuté sa chronique dans une ambiance grave, à la mesure de son sujet atroce, celui de la guerre en Ukraine initiée par le clivant président russe Vladimir Poutine. "Leurs visages blafards, leur ventre proéminent, ont fait le tour du monde. Un photographe ukrainien, Evgeniy Maloletka les a saisis. La première descendant un escalier à moitié en ruines, une couverture sur le dos, un énorme sac mauve accroché au bras et surtout, un pyjama d'hiver beige à gros pois noirs qui permet de la reconnaître sur les clichés suivants ; l'autre n'est plus en état de marcher", a-t-elle débuté avant de déclamer la totalité de son texte.

Dans la foulée c'est Nicolas Demorand qui reprend la parole, les yeux mouillés par l'émotion, tout juste capable de s'éclaircir la voix pour déclarer : "On est écrasés dans ce studio, avec, tous, les larmes aux yeux."

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