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«Ce n’est pas une collab, c’est du vol» : le dernier album de Beyoncé ciblé par la chanteuse Kelis - Le Parisien

À peine sorti, «Renaissance», le dernier album de Beyoncé est déjà noirci par une polémique. La chanteuse Kelis accuse la star du RnB d’avoir utilisé un extrait de sa chanson « Milkshake », sortie en 2003, sans son autorisation et sans même l’avoir mentionnée dans les crédits de l’album.

Dévoilé vendredi, « Renaissance » se distingue par les nombreux hommages à la dance music des années 1990, sous la forme de samples (échantillons). Parmi ces références, on reconnaît sur le titre « Energy » un extrait de « Milkshake », produit par Pharrell Williams et Chad Hugo du groupe The Neptunes, relève BFMTV.

Un « hommage » qui a courroucé la principale interprète du tube. « Je suis époustouflée par le niveau d’irrespect et d’ignorance totale des trois parties impliquées, a-t-elle réagi dans une vidéo, postée sur son compte Instagram. J’ai découvert ce sample de la même manière que tout le monde. Rien n’est jamais ce qu’il paraît, certaines personnes dans ce business n’ont pas d’âme ou d’intégrité et ils ont dupé tout le monde. »

Répondant à un fan sur Instagram qui avait fait l’éloge de cette collaboration présente sur le nouveau disque de Beyoncé, Kelis a ajouté : « Ce n’est pas une collab, c’est du vol. »

Ce n’est pas la première fois que Kelis dénonce des problèmes de droits et de redevances sur sa musique composée avec The Neptunes, précise BFM. Dans une interview au Guardian en 2020, l’artiste avait affirmé qu’elle n’avait rien touché sur ses deux premiers albums, « Kaleidoscope » (1999) et « Wanderland » (2001), produits par Pharrell Williams et Chad Hugo.

En colère, et réfutant les accusations « absurdes » de jalousie puisqu’il s’agit de « [sa] propre chanson », Kelis compte exiger des réparations. « Il y a beaucoup d’hypocrisie et d’absurdités, et quelqu’un doit en parler. (…) Cela arrive à plein d’artistes et ça doit changer. »

Kelis cible-t-elle ainsi directement Beyoncé ou regrette-t-elle le manque de transparence de ses anciens partenaires, qui auraient donné leur aval sans lui en parler ? Pour utiliser un sample, un artiste est censé en demander l’autorisation aux ayants droit. Si l’on ne respecte pas leurs conditions, la reproduction de l’œuvre est rigoureusement interdite.

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À peine sorti, «Renaissance», le dernier album de Beyoncé est déjà noirci par une polémique. La chanteuse Kelis accuse la star du RnB d’avoir utilisé un extrait de sa chanson « Milkshake », sortie en 2003, sans son autorisation et sans même l’avoir mentionnée dans les crédits de l’album.

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Un « hommage » qui a courroucé la principale interprète du tube. « Je suis époustouflée par le niveau d’irrespect et d’ignorance totale des trois parties impliquées, a-t-elle réagi dans une vidéo, postée sur son compte Instagram. J’ai découvert ce sample de la même manière que tout le monde. Rien n’est jamais ce qu’il paraît, certaines personnes dans ce business n’ont pas d’âme ou d’intégrité et ils ont dupé tout le monde. »

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Ce n’est pas la première fois que Kelis dénonce des problèmes de droits et de redevances sur sa musique composée avec The Neptunes, précise BFM. Dans une interview au Guardian en 2020, l’artiste avait affirmé qu’elle n’avait rien touché sur ses deux premiers albums, « Kaleidoscope » (1999) et « Wanderland » (2001), produits par Pharrell Williams et Chad Hugo.

En colère, et réfutant les accusations « absurdes » de jalousie puisqu’il s’agit de « [sa] propre chanson », Kelis compte exiger des réparations. « Il y a beaucoup d’hypocrisie et d’absurdités, et quelqu’un doit en parler. (…) Cela arrive à plein d’artistes et ça doit changer. »

Kelis cible-t-elle ainsi directement Beyoncé ou regrette-t-elle le manque de transparence de ses anciens partenaires, qui auraient donné leur aval sans lui en parler ? Pour utiliser un sample, un artiste est censé en demander l’autorisation aux ayants droit. Si l’on ne respecte pas leurs conditions, la reproduction de l’œuvre est rigoureusement interdite.

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