Search

« The Sadness » : Ils ne sont pas tristes, ces morts-vivants avides de sexe et de chair humaine - 20 Minutes

On ne va pas se raconter d’histoires : The Sadness de Robert Jabbaz n’est pas à mettre devant tous les yeux. Ce film de  zombies taïwanais, qui a fait scandale au  Festival de Gérardmer, n’a pas volé son interdiction aux moins de 16 ans ! Non seulement il est gorissime mais il présente des morts vivants dont la libido débordante présente des séquences à réserver aux âmes bien trempées.

« Imaginez une sorte de rage intérieure qui ne cesserait de croître dans votre esprit, jusqu’à ce qu’un jour, apparaisse un virus qui vous autorise à tout laisser sortir, et vous permette d’assouvir toutes vos pulsions inavouées », explique le réalisateur dans le dossier de presse. C’est ce que font les zombies du film touchés par un virus mystérieux.

Fous de sexe et sadiques

On est loin de La Nuit des morts-vivants, de 28 jours après, de Dernier train pour Busan ou de la série Walking Dead que The Sadness ferait passer pour des bluettes ! Ici, les créatures prennent un plaisir sadique à commettre leurs forfaits. Leur air rigolard est bien fait pour hanter les cauchemars du spectateur sidéré par tant de violence. Les amateurs de cinéma extrême seront, en revanche, à la fête, en découvrant orgies sexuelles, mutilations en tous genres et gastronomie à base de victimes plus ou moins appétissantes. L’ensemble a tôt-fait de tourner à la farce par ses excès et son sens de l’humour macabre.

Charge des frustrations d’une population mal dans sa peau qui se lâchent soudain sur fond de pandémie, The Sadness n’a pas pour vocation de donner dans la légèreté. Sa folie furieuse en fait une œuvre intense en même temps qu’une expérience de cinéma hors du commun.

Adblock test (Why?)

Read Again

On ne va pas se raconter d’histoires : The Sadness de Robert Jabbaz n’est pas à mettre devant tous les yeux. Ce film de  zombies taïwanais, qui a fait scandale au  Festival de Gérardmer, n’a pas volé son interdiction aux moins de 16 ans ! Non seulement il est gorissime mais il présente des morts vivants dont la libido débordante présente des séquences à réserver aux âmes bien trempées.

« Imaginez une sorte de rage intérieure qui ne cesserait de croître dans votre esprit, jusqu’à ce qu’un jour, apparaisse un virus qui vous autorise à tout laisser sortir, et vous permette d’assouvir toutes vos pulsions inavouées », explique le réalisateur dans le dossier de presse. C’est ce que font les zombies du film touchés par un virus mystérieux.

Fous de sexe et sadiques

On est loin de La Nuit des morts-vivants, de 28 jours après, de Dernier train pour Busan ou de la série Walking Dead que The Sadness ferait passer pour des bluettes ! Ici, les créatures prennent un plaisir sadique à commettre leurs forfaits. Leur air rigolard est bien fait pour hanter les cauchemars du spectateur sidéré par tant de violence. Les amateurs de cinéma extrême seront, en revanche, à la fête, en découvrant orgies sexuelles, mutilations en tous genres et gastronomie à base de victimes plus ou moins appétissantes. L’ensemble a tôt-fait de tourner à la farce par ses excès et son sens de l’humour macabre.

Charge des frustrations d’une population mal dans sa peau qui se lâchent soudain sur fond de pandémie, The Sadness n’a pas pour vocation de donner dans la légèreté. Sa folie furieuse en fait une œuvre intense en même temps qu’une expérience de cinéma hors du commun.

Adblock test (Why?)



Bagikan Berita Ini

0 Response to "« The Sadness » : Ils ne sont pas tristes, ces morts-vivants avides de sexe et de chair humaine - 20 Minutes"

Post a Comment

Powered by Blogger.