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« Mask Singer » : Qui se cachait dans les costumes de bébé et de bonhomme de pain d'épices ? - 20 Minutes

« Le port du masque est toujours obligatoire dans cette émission », a plaisanté Camille Combal en ouvrant la quatrième saison de Mask Singer, mardi soir sur TF1. Il n’empêche, le masque est tombé pour deux des six personnalités passées sur la scène lors de cette première.

C’est d’abord l’immense bébé potelé sanglé dans son trotteur qui a dû révéler son identité. Il avait semé le doute auprès des enquêteurs - Vitaa, Chantal Ladesou, Jeff Panacloc et Kev Adams - en interprétant Mon papa à moi est un gangster de Stomy Bugsy, puis Blue Suede Shoes d’Elvis Presley… Le quatuor était bien en peine de mettre un visage sur cette voix : Olivier Minne ? Laurent Baffie ? Ou un sportif ? Or, le poupon maous n’était autre que… Marianne James ! L’artiste a bien fait diversion en se concentrant sur les tonalités graves. Parmi les indices donnés pour aider à deviner son identité, il y avait la référence aux « enfant prodiges » - elle a animé Prodiges sur France 2 –, ou le fait d’avoir « toujours un truc à dire » et « pas toujours de filtre », une référence à son rôle de jurée dans Nouvelle Star et La France a un incroyable talent sur M6. Autre indice, le chiffre 1172, comme le nombre de représentations qu’elle a donné de son Ultima Recital, écrit avec des coquillettes, un clin d’œil à son spectacle Tata Jambon et ses Coquillettes.

L’éléphant pompier et la souris de cabaret poursuivent l’aventure

En toute fin d’émission, le bonhomme de pain d’épices s’est fait croquer après avoir chanté Ça plane pour moi et J’aurais voulu être un artiste. Dans le costume se trouvait Frédéric Diefenthal dont la couverture a été grillée bien plus facilement.

Le magnéto tourné dans une casse automobile et la référence aux « virages à 360 » mettaient sur la voie de la saga Taxi qui l’a rendu célèbre. « Au début, je n’étais pas du tout parti pour la scène, la lumière, les projecteurs », disait le personnage alors qu’une toque de chef apparaissait à l’écran : une référence à son expérience, à l’adolescence, comme apprenti dans l’hôtellerie.

La toque pouvait aussi évoquer la série quotidienne de TF1 Ici tout commence où le comédien incarne le proviseur d’une école de cuisine. Avant d’entamer sa carrière, il a été brièvement coiffeur : on a vu le pain d’épices se chamailler avec un bodyguard muni d’une brosse à cheveux.

Les quatre autres personnages qui ont chanté mardi soir - le dalmatien drag-queen, la souris de cabaret, le pharaon et l’éléphant pompier poursuivent quant à eux l’aventure. Mardi prochain, ce sera au tour de six autres personnalités de tenter leur chance.

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« Le port du masque est toujours obligatoire dans cette émission », a plaisanté Camille Combal en ouvrant la quatrième saison de Mask Singer, mardi soir sur TF1. Il n’empêche, le masque est tombé pour deux des six personnalités passées sur la scène lors de cette première.

C’est d’abord l’immense bébé potelé sanglé dans son trotteur qui a dû révéler son identité. Il avait semé le doute auprès des enquêteurs - Vitaa, Chantal Ladesou, Jeff Panacloc et Kev Adams - en interprétant Mon papa à moi est un gangster de Stomy Bugsy, puis Blue Suede Shoes d’Elvis Presley… Le quatuor était bien en peine de mettre un visage sur cette voix : Olivier Minne ? Laurent Baffie ? Ou un sportif ? Or, le poupon maous n’était autre que… Marianne James ! L’artiste a bien fait diversion en se concentrant sur les tonalités graves. Parmi les indices donnés pour aider à deviner son identité, il y avait la référence aux « enfant prodiges » - elle a animé Prodiges sur France 2 –, ou le fait d’avoir « toujours un truc à dire » et « pas toujours de filtre », une référence à son rôle de jurée dans Nouvelle Star et La France a un incroyable talent sur M6. Autre indice, le chiffre 1172, comme le nombre de représentations qu’elle a donné de son Ultima Recital, écrit avec des coquillettes, un clin d’œil à son spectacle Tata Jambon et ses Coquillettes.

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En toute fin d’émission, le bonhomme de pain d’épices s’est fait croquer après avoir chanté Ça plane pour moi et J’aurais voulu être un artiste. Dans le costume se trouvait Frédéric Diefenthal dont la couverture a été grillée bien plus facilement.

Le magnéto tourné dans une casse automobile et la référence aux « virages à 360 » mettaient sur la voie de la saga Taxi qui l’a rendu célèbre. « Au début, je n’étais pas du tout parti pour la scène, la lumière, les projecteurs », disait le personnage alors qu’une toque de chef apparaissait à l’écran : une référence à son expérience, à l’adolescence, comme apprenti dans l’hôtellerie.

La toque pouvait aussi évoquer la série quotidienne de TF1 Ici tout commence où le comédien incarne le proviseur d’une école de cuisine. Avant d’entamer sa carrière, il a été brièvement coiffeur : on a vu le pain d’épices se chamailler avec un bodyguard muni d’une brosse à cheveux.

Les quatre autres personnages qui ont chanté mardi soir - le dalmatien drag-queen, la souris de cabaret, le pharaon et l’éléphant pompier poursuivent quant à eux l’aventure. Mardi prochain, ce sera au tour de six autres personnalités de tenter leur chance.

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