L’artiste et romancière Claudie Hunzinger a remporté lundi 7 novembre le prix Femina du roman français avec Un chien à ma table (Grasset). Réuni au musée Carnavalet à Paris, le jury exclusivement féminin a choisi sa lauréate au premier tour, par six voix contre trois à Grégoire Bouillier pour Le cœur ne cède pas (Flammarion). Un chien à ma table raconte comment l’arrivée d’une jeune chienne va changer la vie d’un jeune couple au fin fond des Vosges.
Claudie Hunzinger, 82 ans, également artiste plasticienne, avait remporté en 2019 le prix Décembre avec son précédent roman, Les Grands Cerfs (Grasset).
Le prix Femina du roman étranger est allé à la Britannique Rachel Cusk pour La Dépendance (Gallimard). Cette fiction raconte un huis clos entre trois couples gagnés par l’orgueil. Le prix Femina de l’essai a été attribué à l’historienne Annette Wieviorka pour Tombeaux, autobiographie de ma famille (Seuil). Un prix spécial a été remis pour l’ensemble de son œuvre au Franco-Polonais Krzysztof Pomian, auteur d’une somme en trois volumes, Le Musée, une histoire mondiale (Gallimard). Deux derniers grands prix littéraires d’automne doivent être remis cette semaine : le Médicis, mardi, et l’Interallié, mercredi.
L’artiste et romancière Claudie Hunzinger a remporté lundi 7 novembre le prix Femina du roman français avec Un chien à ma table (Grasset). Réuni au musée Carnavalet à Paris, le jury exclusivement féminin a choisi sa lauréate au premier tour, par six voix contre trois à Grégoire Bouillier pour Le cœur ne cède pas (Flammarion). Un chien à ma table raconte comment l’arrivée d’une jeune chienne va changer la vie d’un jeune couple au fin fond des Vosges.
Claudie Hunzinger, 82 ans, également artiste plasticienne, avait remporté en 2019 le prix Décembre avec son précédent roman, Les Grands Cerfs (Grasset).
Le prix Femina du roman étranger est allé à la Britannique Rachel Cusk pour La Dépendance (Gallimard). Cette fiction raconte un huis clos entre trois couples gagnés par l’orgueil. Le prix Femina de l’essai a été attribué à l’historienne Annette Wieviorka pour Tombeaux, autobiographie de ma famille (Seuil). Un prix spécial a été remis pour l’ensemble de son œuvre au Franco-Polonais Krzysztof Pomian, auteur d’une somme en trois volumes, Le Musée, une histoire mondiale (Gallimard). Deux derniers grands prix littéraires d’automne doivent être remis cette semaine : le Médicis, mardi, et l’Interallié, mercredi.
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