- Romain Duris et Pio Marmaï jouent Aramis et Porthos, deux des « Trois Mousquetaires » de Martin Bourboulon.
- Ils racontent à 20 Minutes comment ils ont suivi, tout comme leurs partenaires François Civil (D’Artagnan) et Vincent Cassel (Athos), un entraînement sérieux pour devenir des as en équitation comme en escrime.
On pourrait presque croire qu’Alexandre Dumas a écrit Les Trois Mousquetaires pour Vincent Cassel (Athos), François Civil (D’Artagnan), Pio Marmaï (Porthos) et Romain Duris (Aramis), tant nos quatre acteurs sont à leur aise dans D’Artagnan, premier volet d’un diptyque qui remet les célèbres héros de films de cape et d’épée au goût du jour.
« C’est filmé comme un western, raconte Romain Duris à 20 Minutes. Sur Eiffel, déjà, j’avais apprécié le dynamisme et la précision de la mise en scène de Martin Bourboulon. » Le rythme effréné du film entraîne le spectateur dans des intrigues menées par la vénéneuse Milady, une aventurière jouée par Eva Green.
Modernité et tradition
« Il y a un équilibre parfait entre modernité et tradition, insiste Pio Marmaï. Par exemple, Porthos, que j’incarne, est montré comme bisexuel ce qui extrapole quelque peu ce que décrivait Dumas, mais cela correspond bien à ce bon vivant, gourmand de toutes les bonnes choses. » Pio Marmaï a pris dix kilos pour devenir cet épicurien, mais cela ne l’empêche pas de manier la rapière de façon très convaincante.
Combats et poursuites taillés au cordeau sont au programme de cette fresque luxueuse qui envoie nos quatre héros défendre l’honneur de la reine, menacée par les manigances du perfide cardinal de Richelieu.
« On a tous suivi un entraînement intense tant pour l’escrime que pour l’équitation, se souvient Romain Duris. C’était indispensable pour paraître crédibles dans l’action, mais aussi pour forger le lien qui unit nos personnages. »
De nombreux plans-séquences ont contraint les acteurs à effectuer eux-mêmes des scènes musclées où ils galopent et ferraillent de façon virtuose. « C’était un peu comme retomber en enfance quand on jouait à être des héros avec de fausses épées, admet Pio Marmaï. Même s’il fallait rester concentrés pour éviter les blessures. »
Pendant que Vincent Cassel et François Civil discutent avec d’autres journalistes, ces deux-là racontent tous leurs exploits avec un enthousiasme communicatif. On meurt déjà d’envie de voir la suite de ce premier épisode sous-titré D’Artagnan. Mais il va falloir patienter jusqu’au 13 décembre pour découvrir Milady, la conclusion de ces aventures.
- Romain Duris et Pio Marmaï jouent Aramis et Porthos, deux des « Trois Mousquetaires » de Martin Bourboulon.
- Ils racontent à 20 Minutes comment ils ont suivi, tout comme leurs partenaires François Civil (D’Artagnan) et Vincent Cassel (Athos), un entraînement sérieux pour devenir des as en équitation comme en escrime.
On pourrait presque croire qu’Alexandre Dumas a écrit Les Trois Mousquetaires pour Vincent Cassel (Athos), François Civil (D’Artagnan), Pio Marmaï (Porthos) et Romain Duris (Aramis), tant nos quatre acteurs sont à leur aise dans D’Artagnan, premier volet d’un diptyque qui remet les célèbres héros de films de cape et d’épée au goût du jour.
« C’est filmé comme un western, raconte Romain Duris à 20 Minutes. Sur Eiffel, déjà, j’avais apprécié le dynamisme et la précision de la mise en scène de Martin Bourboulon. » Le rythme effréné du film entraîne le spectateur dans des intrigues menées par la vénéneuse Milady, une aventurière jouée par Eva Green.
Modernité et tradition
« Il y a un équilibre parfait entre modernité et tradition, insiste Pio Marmaï. Par exemple, Porthos, que j’incarne, est montré comme bisexuel ce qui extrapole quelque peu ce que décrivait Dumas, mais cela correspond bien à ce bon vivant, gourmand de toutes les bonnes choses. » Pio Marmaï a pris dix kilos pour devenir cet épicurien, mais cela ne l’empêche pas de manier la rapière de façon très convaincante.
Combats et poursuites taillés au cordeau sont au programme de cette fresque luxueuse qui envoie nos quatre héros défendre l’honneur de la reine, menacée par les manigances du perfide cardinal de Richelieu.
« On a tous suivi un entraînement intense tant pour l’escrime que pour l’équitation, se souvient Romain Duris. C’était indispensable pour paraître crédibles dans l’action, mais aussi pour forger le lien qui unit nos personnages. »
De nombreux plans-séquences ont contraint les acteurs à effectuer eux-mêmes des scènes musclées où ils galopent et ferraillent de façon virtuose. « C’était un peu comme retomber en enfance quand on jouait à être des héros avec de fausses épées, admet Pio Marmaï. Même s’il fallait rester concentrés pour éviter les blessures. »
Pendant que Vincent Cassel et François Civil discutent avec d’autres journalistes, ces deux-là racontent tous leurs exploits avec un enthousiasme communicatif. On meurt déjà d’envie de voir la suite de ce premier épisode sous-titré D’Artagnan. Mais il va falloir patienter jusqu’au 13 décembre pour découvrir Milady, la conclusion de ces aventures.
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