Quelques mots avant la grande finale. La chanteuse La Zarra, qui va représenter la France à l’Eurovision ce samedi soir, a donné une interview sur RMC quelques heures avant la compétition, qui aura lieu à Liverpool. « Ça fait des semaines qu’on attend ce grand jour, on est très concentrés », a confié l’interprète du titre « Évidemment ».
Une heure avant la représentation, « il va y avoir beaucoup, beaucoup de stress », a-t-elle anticipé. Mais « c’est normal. (…) Et dès qu’on monte sur scène (…) on devient à l’aise ». La chanteuse québécoise, qui a fait parler d’elle dans toute l’Europe après l’annulation d’un concert à Amsterdam, a d’ailleurs dévoilé ses habitudes avant d’entrer en piste. Dans les loges, « on met de la musique, on danse, on rigole », a-t-elle expliqué, ajoutant faire « une petite prière juste avant de monter » sur scène.
Au sujet de sa prestation à venir, La Zarra a fait savoir au micro de RMC qu’elle voulait « donner aux téléspectateurs une espèce de tableau, une sculpture à regarder. Que ça fasse un peu un effet wouah ». Elle a décrit sa chanson comme un titre qui a « besoin d’être transcendé » car « émotif ».
« Concentrée sur l’essentiel »
La chanteuse a également fait part de son engouement pour le concours, qu’elle décrit comme « un monde à part », qui lui a permis de rencontrer « de nombreux artistes », de « lier des amitiés » et même de discuter « d’éventuelles collaborations ».
Si les bookmakers donnent la représentante de la France dans le groupe de tête, la principale concernée préfère éviter les spéculations. « C’est important de ne pas trop regarder » les prévisions, a-t-elle commenté. « J’essaie de rester concentrée sur l’essentiel ». Parmi les soutiens, La Zarra pourra compter sur sa famille, qui sera présente à Liverpool ce samedi soir.
« Je me suis toujours battue dans ma carrière et je vais me battre, on va donner le maximum », a-t-elle conclu. Il faudra attendre la fin de soirée pour découvrir si cela suffira pour qu’elle prenne la suite du groupe ukrainien Kalush Orchestra, qui avait triomphé l’année dernière avec « Stefania », chanson mêlant hip-hop et musique traditionnelle.
Quelques mots avant la grande finale. La chanteuse La Zarra, qui va représenter la France à l’Eurovision ce samedi soir, a donné une interview sur RMC quelques heures avant la compétition, qui aura lieu à Liverpool. « Ça fait des semaines qu’on attend ce grand jour, on est très concentrés », a confié l’interprète du titre « Évidemment ».
Une heure avant la représentation, « il va y avoir beaucoup, beaucoup de stress », a-t-elle anticipé. Mais « c’est normal. (…) Et dès qu’on monte sur scène (…) on devient à l’aise ». La chanteuse québécoise, qui a fait parler d’elle dans toute l’Europe après l’annulation d’un concert à Amsterdam, a d’ailleurs dévoilé ses habitudes avant d’entrer en piste. Dans les loges, « on met de la musique, on danse, on rigole », a-t-elle expliqué, ajoutant faire « une petite prière juste avant de monter » sur scène.
Au sujet de sa prestation à venir, La Zarra a fait savoir au micro de RMC qu’elle voulait « donner aux téléspectateurs une espèce de tableau, une sculpture à regarder. Que ça fasse un peu un effet wouah ». Elle a décrit sa chanson comme un titre qui a « besoin d’être transcendé » car « émotif ».
« Concentrée sur l’essentiel »
La chanteuse a également fait part de son engouement pour le concours, qu’elle décrit comme « un monde à part », qui lui a permis de rencontrer « de nombreux artistes », de « lier des amitiés » et même de discuter « d’éventuelles collaborations ».
Si les bookmakers donnent la représentante de la France dans le groupe de tête, la principale concernée préfère éviter les spéculations. « C’est important de ne pas trop regarder » les prévisions, a-t-elle commenté. « J’essaie de rester concentrée sur l’essentiel ». Parmi les soutiens, La Zarra pourra compter sur sa famille, qui sera présente à Liverpool ce samedi soir.
« Je me suis toujours battue dans ma carrière et je vais me battre, on va donner le maximum », a-t-elle conclu. Il faudra attendre la fin de soirée pour découvrir si cela suffira pour qu’elle prenne la suite du groupe ukrainien Kalush Orchestra, qui avait triomphé l’année dernière avec « Stefania », chanson mêlant hip-hop et musique traditionnelle.
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