Après ses propos contre Emmanuel Macron, qui ont abouti à l’ouverture d’une enquête pour «provocation publique à commettre un crime ou un délit» à son encontre, la chanteuse Izïa Higelin est revenue sur ses déclarations et a affirmé n’inciter «ni à la violence ni à la haine».
Il ne s’agissait pas d’une prise de position politique, mais d’une improvisation artistique. Après le tollé provoqué par ses propos sur Emmanuel Macron lors d’un concert à Beaulieu-sur-Mer, la chanteuse Izïa Higelin est revenue dans une interview pour Ouest-France sur la polémique.
«Je suis bien désolée que cela ait été mal interprété, décontextualisé. À aucun moment évidemment, je n’ai voulu inciter à la violence ou à la haine. C’est une histoire, un liant improvisé et surréaliste entre deux titres qui parle de tout et de rien et qu’il ne faut surtout pas prendre au premier degré», a-t-elle déclaré au quotidien. «À aucun moment dans mes concerts, je n’incite à la violence ou à la haine. Ce sont toujours des lieux de bienveillance et d’amour, de folie et d’improvisation. C’est juste ça, purement et simplement», a-t-elle ajouté.
À la question «Regrettez-vous ces paroles ?», l’artiste a répondu : «Cela reste une histoire fantasmée, un moment partagé d’esprit libre, artistique. Ce n’est pas dirigé dans quelque direction que ce soit.»
Si elle affirme que sa diatribe n’était pas un appel à la haine, ni dirigée contre qui que ce soit, une enquête visant la chanteuse Izïa Higelin pour «provocation publique à commettre un crime ou un délit» a toutefois été ouverte par le parquet de Nice.
Par ailleurs, la mairie de Marcq-en-Baroeul, dans le Nord, a pris la décision d’annuler le concert de la chanteuse prévu le 13 juillet, en raison des propos jugés «scandaleux» et «d'une grande violence» contre Emmanuel Macron. Sa prestation aux Francofolies de La Rochelle ce mercredi 12 juillet est quant à elle toujours d’actualité.
Après ses propos contre Emmanuel Macron, qui ont abouti à l’ouverture d’une enquête pour «provocation publique à commettre un crime ou un délit» à son encontre, la chanteuse Izïa Higelin est revenue sur ses déclarations et a affirmé n’inciter «ni à la violence ni à la haine».
Il ne s’agissait pas d’une prise de position politique, mais d’une improvisation artistique. Après le tollé provoqué par ses propos sur Emmanuel Macron lors d’un concert à Beaulieu-sur-Mer, la chanteuse Izïa Higelin est revenue dans une interview pour Ouest-France sur la polémique.
«Je suis bien désolée que cela ait été mal interprété, décontextualisé. À aucun moment évidemment, je n’ai voulu inciter à la violence ou à la haine. C’est une histoire, un liant improvisé et surréaliste entre deux titres qui parle de tout et de rien et qu’il ne faut surtout pas prendre au premier degré», a-t-elle déclaré au quotidien. «À aucun moment dans mes concerts, je n’incite à la violence ou à la haine. Ce sont toujours des lieux de bienveillance et d’amour, de folie et d’improvisation. C’est juste ça, purement et simplement», a-t-elle ajouté.
À la question «Regrettez-vous ces paroles ?», l’artiste a répondu : «Cela reste une histoire fantasmée, un moment partagé d’esprit libre, artistique. Ce n’est pas dirigé dans quelque direction que ce soit.»
Si elle affirme que sa diatribe n’était pas un appel à la haine, ni dirigée contre qui que ce soit, une enquête visant la chanteuse Izïa Higelin pour «provocation publique à commettre un crime ou un délit» a toutefois été ouverte par le parquet de Nice.
Par ailleurs, la mairie de Marcq-en-Baroeul, dans le Nord, a pris la décision d’annuler le concert de la chanteuse prévu le 13 juillet, en raison des propos jugés «scandaleux» et «d'une grande violence» contre Emmanuel Macron. Sa prestation aux Francofolies de La Rochelle ce mercredi 12 juillet est quant à elle toujours d’actualité.
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