La comédienne s’est beaucoup intéressée au Cardinal Bustillo, ce qui n’a pas manqué de faire rire l’humoriste du talk-show de France 2.
Les invités étaient éclectiques et l’ambiance plutôt joviale ce samedi 28 octobre dans «Quelle époque !» . Nagui, Bruno Solo, Benjamin Lavernhe, François-Xavier Ménage mais aussi Clara Morgane et le Cardinal Bustillo. Assis l’un à côté de l’autre, ces derniers se tenaient ainsi aux côtés de Léa Salamé et de Christophe Dechavanne qui animent le talk-show de France 2.
À découvrir
Le Cardinal Castillo, coauteur du livre Le cœur ne se divise pas (Fayard) a été convié par la présentatrice pour son actualité. Le 30 septembre dernier, François-Xavier Bustillo, qui a longtemps officié comme évêque d’Ajaccio, a été créé Cardinal par le Pape François. Une reconnaissance dont il a expliqué les contours. L’homme d’Église a aussi partagé sa philosophie. « Le but de la vie, c'est d'aimer, a-t-il ainsi expliqué. Après, cela peut passer par la voie d'une religion, d'une tradition ou par d'autres voies. »
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Des paroles qui ont charmé Clara Morgane, sa voisine sur le plateau, venue pour présenter son spectacle cabaret «Au 7ème» et son album. « C'est tellement beau ! Je suis tellement heureuse d'entendre ça parce que cela semble sectaire et pour certaines personnes complètement impossible de vous comprendre, c'est assez fermé toutes ces institutions et vous entendre reparler d'amour simplement, c'est ce qui nous réuni tous. Avoir la foi, on l'a tous, on croit en Dieu mais peut-être dans un concept spirituel autour de l'amour. Et, moi, j'aime vous entendre parler d'amour parce qu'il n'y a que ça qui compte », s’est-elle enthousiasmée. Un enthousiasme refroidi par une vanne bien sentie de Paul de Saint-Sernin, le “sniper” du programme. « Laisse tomber il a fait vœu de chasteté ! » a-t-il lancé faisant rire toute l’assistance, y compris Clara Morgane. « C'est la meilleure vanne de toute la soirée, merci infiniment !», a-t-elle réagi.
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« Je viens de passer dix jours dans un monastère »
Clara Morgane
Un peu plus tard dans la soirée, alors que le Cardinal continue d'expliquer sa manière de pratiquer son métier, Léa Salamé remarque l'attitude très attentive de Clara Morgane : « Clara est passionnée... », dit la présentatrice. Ce à quoi l’actrice répond : « Oui, je viens de passer dix jours dans un monastère.» Devant l'étonnement des convives, elle a expliqué son expérience : « J'ai fait une retraite qui a été filmée. Je suis partie dans un esprit assez léger, revendicateur. Clara Morgane dans un couvent c'était marrant et en réalité j'ai rencontré des gens, des prêtres, j'ai rencontré une sœur que j'aime profondément et j'ai rencontré des humains. [...] J'ai l'impression que vous avez vraiment avancé par rapport à l'époque où on envoyait les homosexuels se faire soigner... »
Elle est ensuite revenue sur sa vie et son enfance en expliquant notamment que ses parents étaient stricts et qu’elle avait des origines espagnoles. Ce qui est aussi le cas du Cardinal. « On a plein de points communs... », a-t-elle lancé dans un sourire avant d’expliquer son lien avec la religion catholique. «J'ai été élevée par les dominicaines donc je connais bien la religion. C'est quelque chose d'important dans mon parcours parce que j'ai grandi avec les sœurs, tout était interdit. Je pense que les interdictions, les frustrations mènent aux extrêmes, et c'est un peu ce qu'on vit avec notre société en ce moment.»
La comédienne s’est beaucoup intéressée au Cardinal Bustillo, ce qui n’a pas manqué de faire rire l’humoriste du talk-show de France 2.
Les invités étaient éclectiques et l’ambiance plutôt joviale ce samedi 28 octobre dans «Quelle époque !» . Nagui, Bruno Solo, Benjamin Lavernhe, François-Xavier Ménage mais aussi Clara Morgane et le Cardinal Bustillo. Assis l’un à côté de l’autre, ces derniers se tenaient ainsi aux côtés de Léa Salamé et de Christophe Dechavanne qui animent le talk-show de France 2.
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Des paroles qui ont charmé Clara Morgane, sa voisine sur le plateau, venue pour présenter son spectacle cabaret «Au 7ème» et son album. « C'est tellement beau ! Je suis tellement heureuse d'entendre ça parce que cela semble sectaire et pour certaines personnes complètement impossible de vous comprendre, c'est assez fermé toutes ces institutions et vous entendre reparler d'amour simplement, c'est ce qui nous réuni tous. Avoir la foi, on l'a tous, on croit en Dieu mais peut-être dans un concept spirituel autour de l'amour. Et, moi, j'aime vous entendre parler d'amour parce qu'il n'y a que ça qui compte », s’est-elle enthousiasmée. Un enthousiasme refroidi par une vanne bien sentie de Paul de Saint-Sernin, le “sniper” du programme. « Laisse tomber il a fait vœu de chasteté ! » a-t-il lancé faisant rire toute l’assistance, y compris Clara Morgane. « C'est la meilleure vanne de toute la soirée, merci infiniment !», a-t-elle réagi.
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Clara Morgane
Un peu plus tard dans la soirée, alors que le Cardinal continue d'expliquer sa manière de pratiquer son métier, Léa Salamé remarque l'attitude très attentive de Clara Morgane : « Clara est passionnée... », dit la présentatrice. Ce à quoi l’actrice répond : « Oui, je viens de passer dix jours dans un monastère.» Devant l'étonnement des convives, elle a expliqué son expérience : « J'ai fait une retraite qui a été filmée. Je suis partie dans un esprit assez léger, revendicateur. Clara Morgane dans un couvent c'était marrant et en réalité j'ai rencontré des gens, des prêtres, j'ai rencontré une sœur que j'aime profondément et j'ai rencontré des humains. [...] J'ai l'impression que vous avez vraiment avancé par rapport à l'époque où on envoyait les homosexuels se faire soigner... »
Elle est ensuite revenue sur sa vie et son enfance en expliquant notamment que ses parents étaient stricts et qu’elle avait des origines espagnoles. Ce qui est aussi le cas du Cardinal. « On a plein de points communs... », a-t-elle lancé dans un sourire avant d’expliquer son lien avec la religion catholique. «J'ai été élevée par les dominicaines donc je connais bien la religion. C'est quelque chose d'important dans mon parcours parce que j'ai grandi avec les sœurs, tout était interdit. Je pense que les interdictions, les frustrations mènent aux extrêmes, et c'est un peu ce qu'on vit avec notre société en ce moment.»
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