Ce qu’il faut savoir :
- Pour la 4e fois, le Nord – Pas-de-Calais accueille une miss France chez lui. Ève Gilles, va marcher dans les pas de Maëva Coucke, Camille Cerf et Iris Mittenaere.
- Arrivée mercredi matin à la gare Lille-Flandres, la nouvelle miss France 2024 a ensuite pris la route pour Quaëdypre où elle a été accueillie en début de matinée par le maire, quelques familles et beaucoup de journalistes.
En direct :
16h36. «Je suis venu de Lens pour la voir»
Un homologue de Miss France, Sullyvan Baralle, 26 ans, mister France « beau en forme » 2024, (concours dédié aux personnes de taille 42 et plus) a fait de la route pour voir miss France 2024 : « Ève c’est la fierté de tout le Nord et le Pas-de-Calais, je suis venu de Lens pour la voir, j’ai fait une heure et demie de route et j’ai réussi à faire une photo avec elle. »
16h30. Même le boucher du village est venu rencontrer Ève
Le boucher du village a tenu à saluer la miss. Son magasin est sur la route de la parade, il est sorti juste au moment où il a entendu la musique
16h20. Une famille a sorti les pancartes pour Ève
Natifs du village Julie, Gauthier, Margaux et Justin ont tout prévu pour partager leur joie avec la miss.
16h15. Son ancienne prof d’anglais parle d’une élève «facile et très discrète»
16h10. «Ève est super avec le public»
De Calais, Lenaig elle a eu son selfie avec Ève et ne cache pas son bonheur : « Cette parade, c’est juste exceptionnel, très chaleureux, très familial, à l’image du Nord - Pas-de-Calais. Et Ève est super avec le public »
16h04. « On va se faire rouler sur les pieds ! »
Toutes les stratégies sont bonnes pour ceux qui ne craignent pas la bousculade pour atteindre la voiture de miss France. C’est plus compliqué pour les familles avec enfants qui essaient de percer la cohue, les plus petits dans les bras. « On va se faire rouler sur les pieds ! »
Certaines familles repartent à la salle face à la difficulté de se frayer un passage dans le cortège. « On lui a marché sur les pieds, j’ai eu le temps de la reprendre contre moi. Mais elle n’a rien vu », raconte Elodie Werquin au sujet d’une fillette de 7 ans, Lana. C’est dommage car on vient de Bray-Dunes et on n’a pas eu l’occasion de voir miss France, pour les petites filles c’est dommage. »
15h59. Fierté et village qui revit
« On est super contents d’être là, d’avoir pu amener trois géants en 48heures de temps ! c’est une fierté pour le Dunkerquois, la région mais surtout pour la Flandre », confie Didier Deram, responsable des amis des géants wormhoutois.
De son côté ; André Vernieuwe, 70 ans et né ici est heureux que « ça ramène du peuple au village. Ça le fait revivre, il n’y a plus beaucoup de magasins au centre du village, il n’y a qu’un boucher, grâce à Miss France, c’est animé ».
15h53. Les anciens camarades de classe d’Ève sont aussi là
15h49. « Une belle fête populaire »
Jean-Claude Dekeister, le maire de Quaëdypre : « C’est une belle fête populaire, j’espère qu’il ne va pas pleuvoir entre deux. Et c’est difficile d’avancer car les gens se penchent sur la voiture. » Pour rappel, 5 000 personnes étaient attendues, mais ce sont environ 1000 personnes présentes dont beaucoup de jeunes. Comme quoi pas si démodé que ça le concours Miss France pour cette génération.
15h37. 1000 personnes sont venues à la rencontre d’Ève
« On n’a jamais vu autant de monde comme ça devant la mairie, dans le village, signale Christian Degrand, DGS de Quädypre. Il y a environ 1000 personnes. » Un vrai bain de foule, les gens s’accrochent à la voiture pour prendre des photos, l’Alpine peine à se frayer un passage.
15h35. Les larmes d’Ève Quelques minutes après le début de la parade et face à une foule dense, miss France « pleure de joie ». La fanfare de Renescure ferme le défilé sur une chanson de Dalida.
15h30. La parade démarre !
Le moteur de la voiture de collection gronde. L’harmonie batterie municipale de Bergues lance les premières notes de la parade. Géants et fanfares : c’est une fête typique du nord de la France.
15h25. Miss Nord – Pas-de-Calais avant tout Nathalie Teeten, bénévole des Géants Lensois, « n’est pas venue soutenir une Miss France du Nord mais bien du Nord – Pas-de-Calais ! », dit-elle.
15h19. La petite Léonie est venue de Bergues pour apercevoir miss France
Venue de Bergues avec sa maman, Léonie s’est endormie samedi soir devant l’émission. Quand elle a appris le lendemain que c’était la miss de Quaëdypre qui avait gagné, elle a sauté de joie. Et maintenant elle a son drapeau !
15h14. La foule attend patiemment le début de la parade Le cortège se prépare, les téléphones sont de sortie et certaines petites filles attendent depuis un moment.
15h. Retour en images sur la matinée d’Ève Gilles dans le Nord.
14h54. La parade se prépare Les géants représentant le Nord et le Pas-de-Calais sont sur place dans le village comme des centaines de personnes qui attendent aux abords de la mairie pour le défilé qui doit commencer à 15h.
14h. « Le plus important pour nous c’est qu’elle garde les pieds sur terre. »
Le père d’Ève, Bruno, suit bien évidemment sa fille dans cette journée. « C’est difficile de montrer à notre fille combien on l’aime devant autant de monde. Le plus important pour nous c’est qu’elle garde les pieds sur terre. Qu’elle garde sa bonhomie actuelle, son franc-parler. C’est quelqu’un qui s’exprime en son propre nom, qui a plein de convictions, qui a plein de choses à dire et qui adore aller vers les gens. Et ce qu’on veut surtout, c’est qu’elle garde son côté très nature : on ne veut pas qu’elle se stéréotype et qu’elle se laisse prendre par le tourbillon. »
Même s’il ne côtoie pas le monde de Miss France depuis très longtemps, il est rassuré de savoir sa fille entourée de « gens gentils » qui seront « aptes à lui dire : attention rappelle-toi d’où tu viens ».
13h. Déjeuner privé dans un resto local Après la mairie, direction un restaurant local pour un déjeuner privé, avant une grande parade programmée dans les rues du village de Quaëdypre, à 15h. Un orchestre et des géants sont attendus.
12h30. Un rapport privilégié avec Maëva Coucke La nouvelle miss s’est confiée sur sa relation avec les autres miss, notamment Maëva Coucke, miss Nord-Pas-de-Calais 2017 puis Miss France 2018. « Elle est encore plus à l’écoute, elle est vraiment tout le temps là pour moi. Le jour où j’ai découvert mon appartement, elle a mangé avec moi et le comité Nord – Pas-de-Calais. Elle est restée pendant des heures pour m’expliquer ce qui va se passer, pour me soutenir, pour être moralement et physiquement là […] C’est vraiment une bonne personne. »
12h28. « Au départ, je n’étais pas ‘fan’ des miss » Sur le concours en lui-même, la jeune femme explique qu’elle a toujours adoré Miss France « mais plus pour le show. C’était ça qui me faisait vraiment rêver. J’ai vraiment commencé à aller voir le parcours des miss une fois que j’étais rentrée dans le concours […] Mais c’est vrai qu’au départ, je n’étais pas ‘fan’ des miss »
12h25. « Quaëdypre, c’est la chaleur humaine » Expliquant que, dans le village, c’est l’entraide qui prédomine, Ève Gilles continue de parler de Quaëdypre comme un « endroit très chaleureux ». Elle explique ce qui lui tient à cœur en tant qu’habitante d’un petit village du Nord : « C’est important pour moi de soutenir les petits villages, nos petits commerçants. Ce sont des valeurs fortes qui doivent être mises en avant par le concours Miss France ».
12h20. « Maintenant les gens sauront placer Quaëdypre sur une carte » Ève Gilles ne cache pas son fort attachement à son village d’enfance où elle vit toujours. « Maintenant les gens sauront placer Quaëdypre sur une carte et peut-être qu’on sera mieux desservi au niveau des bus et des transports en commun ! » lance-t-elle avec le sourire à la salle.
12h. Conférence de presse en mairie Après s’être préparée à la mairie de son village, Ève Gilles a donné une conférence aux côtés du maire où elle a parlé de Quaëdypre et de son attachement à la ruralité.
10h30. Arrivée à la mairie de Quaëdypre Ève Gilles est arrivée peu après 10h à Quaëdypre où elle a été accueillie par quelques familles, des enfants et beaucoup de journalistes. « On a déclenché le plan Ève 2024 » a lancé le maire du village Jean-Claude Dekeister.
9h30. Souvenir d’étudiante Tout de rouge vêtue, tout comme Cindy Fabre, Miss France 2005 et directrice du comité Miss France, la nouvelle Miss France semblait ravie de rentrer à la maison, dans sa région. « Ça fait du bien, après une bonne nuit de sommeil, je vais enfin pouvoir revoir le Nord, les habitants et mes parents. Ce soir, on va reformer le petit cocon familial avec mes parents. Lille symbolise mes deux années d’études, les deux dernières années de ma vie. Et d’habitude, quand je sortais du train, je rentrais plus rapidement chez moi ! ».
9h18. Ève Gilles arrive en train à Lille-Flandres
Il n’y avait pas de comité d’accueil à l’arrivée de Miss France ce mercredi à la sortie du TGV Paris-Lille de 9h18 mais il a suffi qu’Ève Gilles sorte du train pour que les badauds dégainent les smartphones pour une série de selfies. « Bon retour parmi nous ! », lancent deux jeunes filles.
DIRECT. Loi immigration : «Il y a des choses que je n’aime pas» dans le texte, souligne Emmanuel Macron
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Un arnaqueur de compteurs Linky condamné à dix mois de prison avec sursis
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Ce qu’il faut savoir :
- Pour la 4e fois, le Nord – Pas-de-Calais accueille une miss France chez lui. Ève Gilles, va marcher dans les pas de Maëva Coucke, Camille Cerf et Iris Mittenaere.
- Arrivée mercredi matin à la gare Lille-Flandres, la nouvelle miss France 2024 a ensuite pris la route pour Quaëdypre où elle a été accueillie en début de matinée par le maire, quelques familles et beaucoup de journalistes.
En direct :
16h36. «Je suis venu de Lens pour la voir»
Un homologue de Miss France, Sullyvan Baralle, 26 ans, mister France « beau en forme » 2024, (concours dédié aux personnes de taille 42 et plus) a fait de la route pour voir miss France 2024 : « Ève c’est la fierté de tout le Nord et le Pas-de-Calais, je suis venu de Lens pour la voir, j’ai fait une heure et demie de route et j’ai réussi à faire une photo avec elle. »
16h30. Même le boucher du village est venu rencontrer Ève
Le boucher du village a tenu à saluer la miss. Son magasin est sur la route de la parade, il est sorti juste au moment où il a entendu la musique
16h20. Une famille a sorti les pancartes pour Ève
Natifs du village Julie, Gauthier, Margaux et Justin ont tout prévu pour partager leur joie avec la miss.
16h15. Son ancienne prof d’anglais parle d’une élève «facile et très discrète»
16h10. «Ève est super avec le public»
De Calais, Lenaig elle a eu son selfie avec Ève et ne cache pas son bonheur : « Cette parade, c’est juste exceptionnel, très chaleureux, très familial, à l’image du Nord - Pas-de-Calais. Et Ève est super avec le public »
16h04. « On va se faire rouler sur les pieds ! »
Toutes les stratégies sont bonnes pour ceux qui ne craignent pas la bousculade pour atteindre la voiture de miss France. C’est plus compliqué pour les familles avec enfants qui essaient de percer la cohue, les plus petits dans les bras. « On va se faire rouler sur les pieds ! »
Certaines familles repartent à la salle face à la difficulté de se frayer un passage dans le cortège. « On lui a marché sur les pieds, j’ai eu le temps de la reprendre contre moi. Mais elle n’a rien vu », raconte Elodie Werquin au sujet d’une fillette de 7 ans, Lana. C’est dommage car on vient de Bray-Dunes et on n’a pas eu l’occasion de voir miss France, pour les petites filles c’est dommage. »
15h59. Fierté et village qui revit
« On est super contents d’être là, d’avoir pu amener trois géants en 48heures de temps ! c’est une fierté pour le Dunkerquois, la région mais surtout pour la Flandre », confie Didier Deram, responsable des amis des géants wormhoutois.
De son côté ; André Vernieuwe, 70 ans et né ici est heureux que « ça ramène du peuple au village. Ça le fait revivre, il n’y a plus beaucoup de magasins au centre du village, il n’y a qu’un boucher, grâce à Miss France, c’est animé ».
15h53. Les anciens camarades de classe d’Ève sont aussi là
15h49. « Une belle fête populaire »
Jean-Claude Dekeister, le maire de Quaëdypre : « C’est une belle fête populaire, j’espère qu’il ne va pas pleuvoir entre deux. Et c’est difficile d’avancer car les gens se penchent sur la voiture. » Pour rappel, 5 000 personnes étaient attendues, mais ce sont environ 1000 personnes présentes dont beaucoup de jeunes. Comme quoi pas si démodé que ça le concours Miss France pour cette génération.
15h37. 1000 personnes sont venues à la rencontre d’Ève
« On n’a jamais vu autant de monde comme ça devant la mairie, dans le village, signale Christian Degrand, DGS de Quädypre. Il y a environ 1000 personnes. » Un vrai bain de foule, les gens s’accrochent à la voiture pour prendre des photos, l’Alpine peine à se frayer un passage.
15h35. Les larmes d’Ève Quelques minutes après le début de la parade et face à une foule dense, miss France « pleure de joie ». La fanfare de Renescure ferme le défilé sur une chanson de Dalida.
15h30. La parade démarre !
Le moteur de la voiture de collection gronde. L’harmonie batterie municipale de Bergues lance les premières notes de la parade. Géants et fanfares : c’est une fête typique du nord de la France.
15h25. Miss Nord – Pas-de-Calais avant tout Nathalie Teeten, bénévole des Géants Lensois, « n’est pas venue soutenir une Miss France du Nord mais bien du Nord – Pas-de-Calais ! », dit-elle.
15h19. La petite Léonie est venue de Bergues pour apercevoir miss France
Venue de Bergues avec sa maman, Léonie s’est endormie samedi soir devant l’émission. Quand elle a appris le lendemain que c’était la miss de Quaëdypre qui avait gagné, elle a sauté de joie. Et maintenant elle a son drapeau !
15h14. La foule attend patiemment le début de la parade Le cortège se prépare, les téléphones sont de sortie et certaines petites filles attendent depuis un moment.
15h. Retour en images sur la matinée d’Ève Gilles dans le Nord.
14h54. La parade se prépare Les géants représentant le Nord et le Pas-de-Calais sont sur place dans le village comme des centaines de personnes qui attendent aux abords de la mairie pour le défilé qui doit commencer à 15h.
14h. « Le plus important pour nous c’est qu’elle garde les pieds sur terre. »
Le père d’Ève, Bruno, suit bien évidemment sa fille dans cette journée. « C’est difficile de montrer à notre fille combien on l’aime devant autant de monde. Le plus important pour nous c’est qu’elle garde les pieds sur terre. Qu’elle garde sa bonhomie actuelle, son franc-parler. C’est quelqu’un qui s’exprime en son propre nom, qui a plein de convictions, qui a plein de choses à dire et qui adore aller vers les gens. Et ce qu’on veut surtout, c’est qu’elle garde son côté très nature : on ne veut pas qu’elle se stéréotype et qu’elle se laisse prendre par le tourbillon. »
Même s’il ne côtoie pas le monde de Miss France depuis très longtemps, il est rassuré de savoir sa fille entourée de « gens gentils » qui seront « aptes à lui dire : attention rappelle-toi d’où tu viens ».
13h. Déjeuner privé dans un resto local Après la mairie, direction un restaurant local pour un déjeuner privé, avant une grande parade programmée dans les rues du village de Quaëdypre, à 15h. Un orchestre et des géants sont attendus.
12h30. Un rapport privilégié avec Maëva Coucke La nouvelle miss s’est confiée sur sa relation avec les autres miss, notamment Maëva Coucke, miss Nord-Pas-de-Calais 2017 puis Miss France 2018. « Elle est encore plus à l’écoute, elle est vraiment tout le temps là pour moi. Le jour où j’ai découvert mon appartement, elle a mangé avec moi et le comité Nord – Pas-de-Calais. Elle est restée pendant des heures pour m’expliquer ce qui va se passer, pour me soutenir, pour être moralement et physiquement là […] C’est vraiment une bonne personne. »
12h28. « Au départ, je n’étais pas ‘fan’ des miss » Sur le concours en lui-même, la jeune femme explique qu’elle a toujours adoré Miss France « mais plus pour le show. C’était ça qui me faisait vraiment rêver. J’ai vraiment commencé à aller voir le parcours des miss une fois que j’étais rentrée dans le concours […] Mais c’est vrai qu’au départ, je n’étais pas ‘fan’ des miss »
12h25. « Quaëdypre, c’est la chaleur humaine » Expliquant que, dans le village, c’est l’entraide qui prédomine, Ève Gilles continue de parler de Quaëdypre comme un « endroit très chaleureux ». Elle explique ce qui lui tient à cœur en tant qu’habitante d’un petit village du Nord : « C’est important pour moi de soutenir les petits villages, nos petits commerçants. Ce sont des valeurs fortes qui doivent être mises en avant par le concours Miss France ».
12h20. « Maintenant les gens sauront placer Quaëdypre sur une carte » Ève Gilles ne cache pas son fort attachement à son village d’enfance où elle vit toujours. « Maintenant les gens sauront placer Quaëdypre sur une carte et peut-être qu’on sera mieux desservi au niveau des bus et des transports en commun ! » lance-t-elle avec le sourire à la salle.
12h. Conférence de presse en mairie Après s’être préparée à la mairie de son village, Ève Gilles a donné une conférence aux côtés du maire où elle a parlé de Quaëdypre et de son attachement à la ruralité.
10h30. Arrivée à la mairie de Quaëdypre Ève Gilles est arrivée peu après 10h à Quaëdypre où elle a été accueillie par quelques familles, des enfants et beaucoup de journalistes. « On a déclenché le plan Ève 2024 » a lancé le maire du village Jean-Claude Dekeister.
9h30. Souvenir d’étudiante Tout de rouge vêtue, tout comme Cindy Fabre, Miss France 2005 et directrice du comité Miss France, la nouvelle Miss France semblait ravie de rentrer à la maison, dans sa région. « Ça fait du bien, après une bonne nuit de sommeil, je vais enfin pouvoir revoir le Nord, les habitants et mes parents. Ce soir, on va reformer le petit cocon familial avec mes parents. Lille symbolise mes deux années d’études, les deux dernières années de ma vie. Et d’habitude, quand je sortais du train, je rentrais plus rapidement chez moi ! ».
9h18. Ève Gilles arrive en train à Lille-Flandres
Il n’y avait pas de comité d’accueil à l’arrivée de Miss France ce mercredi à la sortie du TGV Paris-Lille de 9h18 mais il a suffi qu’Ève Gilles sorte du train pour que les badauds dégainent les smartphones pour une série de selfies. « Bon retour parmi nous ! », lancent deux jeunes filles.
DIRECT. Loi immigration : «Il y a des choses que je n’aime pas» dans le texte, souligne Emmanuel Macron
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Un arnaqueur de compteurs Linky condamné à dix mois de prison avec sursis
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