Après Emmanuel Macron, c’est au tour de Carole Bouquet, ex-compagne de Gérard Depardieu, de voler à la rescousse de l’acteur visé par plusieurs plaintes pour viols et agressions sexuelles.
Après Emmanuel Macron, Julie Depardieu ou encore Fanny Ardant, c’est Carole Bouquet qui a pris la parole en défense de Gérard Depardieu, dénonçant un « tribunal médiatique ». L’actrice avait partagé la vie de l’acteur pendant dix ans, entre 1996 et 2005. Aujourd’hui, le Français de 74 ans est visé par plusieurs plaintes pour viols et agressions sexuelles.
« J’ai peur pour lui », a déclaré Carole Bouquet, jeudi 21 décembre, sur le plateau de « Quotidien » sur TMC. Depuis la révélation des différentes plaintes déposées contre Gérard Depardieu, et un épisode de « Complément d’enquête » révélant ses propos à caractère sexuel envers des Coréennes, dont une petite fille faisant de l’équitation, l’acteur a vu sa statue de cire retirée du Musée Grévin.
De plus, la Ministre de la Culture Rima Abdul Malak a déclaré que « faisant honte à la France », Gérard Depardieu devait perdre sa légion d’honneur, et qu’elle allait entamer « la procédure disciplinaire » pour un éventuel retrait de la médaille.
Carole Bouquet réagit aux accusations
« J’ai un vrai problème avec ce qui est en train de se passer avec Gérard en ce moment… Ce tribunal médiatique continue, ça fait des mois que ça dure et c’est en train de tuer un homme », a poursuivi Carole Bouquet face à Yann Barthès. « Je ne peux pas le supporter. Je n’ai aucune tendresse possible pour quelqu’un qui se révélerait être un monstre, mais ce n’est pas le cas de Gérard. »
Revenant sur leur relation longue d’une décennie, l’actrice a ajouté que sous son humour « grossier » et « parfois limite », Gérard Depardieu était « incapable de faire du mal à une femme » : « Arrêtons la délectation. »
Mercredi dernier, c’est Emmanuel Macron lui-même qui avait dénoncé une « chasse à l’homme », confiant être « un grand admirateur » de l’artiste « immense acteur » : « Ce n’est pas sur la base d’un reportage qu’on enlève une légion d’honneur », avait-il répondu dans « C à Vous », réagissant à la proposition de la Ministre de la Culture.
Des propos qui avaient aussi été tenus par Julie Depardieu, fille de l’accusé. Elle estimait que les paroles de son père lancées dans le reportage de France 2 étaient loin des agressions reprochées à l’acteur : « Ce n’est pas Bertrand Cantat qui a tué quelqu’un sur un radiateur. Ce sont des mots, des paroles un peu choquantes. »
Après Emmanuel Macron, c’est au tour de Carole Bouquet, ex-compagne de Gérard Depardieu, de voler à la rescousse de l’acteur visé par plusieurs plaintes pour viols et agressions sexuelles.
Après Emmanuel Macron, Julie Depardieu ou encore Fanny Ardant, c’est Carole Bouquet qui a pris la parole en défense de Gérard Depardieu, dénonçant un « tribunal médiatique ». L’actrice avait partagé la vie de l’acteur pendant dix ans, entre 1996 et 2005. Aujourd’hui, le Français de 74 ans est visé par plusieurs plaintes pour viols et agressions sexuelles.
« J’ai peur pour lui », a déclaré Carole Bouquet, jeudi 21 décembre, sur le plateau de « Quotidien » sur TMC. Depuis la révélation des différentes plaintes déposées contre Gérard Depardieu, et un épisode de « Complément d’enquête » révélant ses propos à caractère sexuel envers des Coréennes, dont une petite fille faisant de l’équitation, l’acteur a vu sa statue de cire retirée du Musée Grévin.
De plus, la Ministre de la Culture Rima Abdul Malak a déclaré que « faisant honte à la France », Gérard Depardieu devait perdre sa légion d’honneur, et qu’elle allait entamer « la procédure disciplinaire » pour un éventuel retrait de la médaille.
Carole Bouquet réagit aux accusations
« J’ai un vrai problème avec ce qui est en train de se passer avec Gérard en ce moment… Ce tribunal médiatique continue, ça fait des mois que ça dure et c’est en train de tuer un homme », a poursuivi Carole Bouquet face à Yann Barthès. « Je ne peux pas le supporter. Je n’ai aucune tendresse possible pour quelqu’un qui se révélerait être un monstre, mais ce n’est pas le cas de Gérard. »
Revenant sur leur relation longue d’une décennie, l’actrice a ajouté que sous son humour « grossier » et « parfois limite », Gérard Depardieu était « incapable de faire du mal à une femme » : « Arrêtons la délectation. »
Mercredi dernier, c’est Emmanuel Macron lui-même qui avait dénoncé une « chasse à l’homme », confiant être « un grand admirateur » de l’artiste « immense acteur » : « Ce n’est pas sur la base d’un reportage qu’on enlève une légion d’honneur », avait-il répondu dans « C à Vous », réagissant à la proposition de la Ministre de la Culture.
Des propos qui avaient aussi été tenus par Julie Depardieu, fille de l’accusé. Elle estimait que les paroles de son père lancées dans le reportage de France 2 étaient loin des agressions reprochées à l’acteur : « Ce n’est pas Bertrand Cantat qui a tué quelqu’un sur un radiateur. Ce sont des mots, des paroles un peu choquantes. »
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