La ministre des Sports était déjà montée au créneau pour soutenir l’artiste, citée pour inaugurer la soirée de lancement des Jeux avec une reprise d’Édith Piaf.
La ministre des JO en avait déjà subtilement appelé à Édith Piaf. «Peu importe comme on vous aime, chère Aya Nakamura, foutez-vous du monde entier», avait écrit Amélie Oudea-Castera sur X dimanche dernier, citant le célèbre «Hymne à l’amour» de l’artiste sorti 1950, pour défendre la chanteuse de 28 ans. Car depuis que L’Express a révélé qu’Aya Nakamura pourrait inaugurer la soirée de lancement des Jeux Olympiques avec une reprise de la «Môme», la star fait face à un déferlement de haine venu d’une partie de la classe politique.
À découvrir
Le nom de cette franco-malienne a ainsi été hué lors du meeting du parti d’Éric Zemmour, Reconquête!, dimanche à Paris, tandis que ses origines ont été pointées du doigt sur une banderole brandie par une dizaine de militants identitaires en face de la mairie de Paris. «Y’a pas moyen Aya, ici c’est Paris, pas le marché de Bamako», pouvait-on lire sur la bannière. Une référence explicite aux paroles du tube de la chanteuse «Djadja» et au slogan entonné par les supporters du PSG au Parc des Princes «Ici c’est Paris». Les organisateurs des JO de Paris n’ont pas tardé à réagir, se disant «très choqués par les attaques racistes visant Aya Nakamura ces derniers jours».
Volant de nouveau à sa rescousse lundi soir, Amélie Oudea-Castera a fermement condamné les invectives à l’encontre d’Aya Nakamura, sacrée artiste féminine de l’année aux Victoires de la musique. «Ce type d’attaques n’ont en aucune façon une place dans notre pays et à l’occasion des Jeux, ce n’est juste pas possible. Ça m’a vraiment écœurée», s’est-elle émue au micro de France 5. «Qu’il puisse y avoir des critiques, des attentes, des préoccupations sur les Jeux Olympiques, Paralympiques, tout ça est normal, à nous d’y répondre», a-t-elle ajouté. Et d’afficher son soutien en poussant la chansonnette : «Oh Djadja, oh Djadja». «J’aime bien “Djadja”, j’aime bien “Doudou”, j’aime bien “SMS”, j’aime bien “Hypé”. Il y a du rythme, il y a de la vitalité. C’est ça que j’adore», a lancé Amélie Oudea-Castera, dans un élan d’enthousiasme.
La ministre des Sports était déjà montée au créneau pour soutenir l’artiste, citée pour inaugurer la soirée de lancement des Jeux avec une reprise d’Édith Piaf.
La ministre des JO en avait déjà subtilement appelé à Édith Piaf. «Peu importe comme on vous aime, chère Aya Nakamura, foutez-vous du monde entier», avait écrit Amélie Oudea-Castera sur X dimanche dernier, citant le célèbre «Hymne à l’amour» de l’artiste sorti 1950, pour défendre la chanteuse de 28 ans. Car depuis que L’Express a révélé qu’Aya Nakamura pourrait inaugurer la soirée de lancement des Jeux Olympiques avec une reprise de la «Môme», la star fait face à un déferlement de haine venu d’une partie de la classe politique.
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Le nom de cette franco-malienne a ainsi été hué lors du meeting du parti d’Éric Zemmour, Reconquête!, dimanche à Paris, tandis que ses origines ont été pointées du doigt sur une banderole brandie par une dizaine de militants identitaires en face de la mairie de Paris. «Y’a pas moyen Aya, ici c’est Paris, pas le marché de Bamako», pouvait-on lire sur la bannière. Une référence explicite aux paroles du tube de la chanteuse «Djadja» et au slogan entonné par les supporters du PSG au Parc des Princes «Ici c’est Paris». Les organisateurs des JO de Paris n’ont pas tardé à réagir, se disant «très choqués par les attaques racistes visant Aya Nakamura ces derniers jours».
Volant de nouveau à sa rescousse lundi soir, Amélie Oudea-Castera a fermement condamné les invectives à l’encontre d’Aya Nakamura, sacrée artiste féminine de l’année aux Victoires de la musique. «Ce type d’attaques n’ont en aucune façon une place dans notre pays et à l’occasion des Jeux, ce n’est juste pas possible. Ça m’a vraiment écœurée», s’est-elle émue au micro de France 5. «Qu’il puisse y avoir des critiques, des attentes, des préoccupations sur les Jeux Olympiques, Paralympiques, tout ça est normal, à nous d’y répondre», a-t-elle ajouté. Et d’afficher son soutien en poussant la chansonnette : «Oh Djadja, oh Djadja». «J’aime bien “Djadja”, j’aime bien “Doudou”, j’aime bien “SMS”, j’aime bien “Hypé”. Il y a du rythme, il y a de la vitalité. C’est ça que j’adore», a lancé Amélie Oudea-Castera, dans un élan d’enthousiasme.
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