Le leader du groupe Indochine a déclaré au Parisien ne plus «jamais vouloir retourner au Bataclan» et a jugé «ignoble» la réouverture de la salle parisienne après les attentats du 13 novembre. Au micro d'Europe 1, ce matin, il est revenu sur la motivation de ses propos.
Une sortie médiatique qui a volé la vedette. Si Indochine pensait créer l'événement avec son dernier album, 13, c'était sans compter sur les propos virulents de Nicola Sirkis concernant le Bataclan, dans les colonnes du Parisien. Le leader du groupe français a déclaré ne plus «jamais vouloir retourner au Bataclan» et a jugé «ignoble» la réouverture de la salle parisienne après les attentats du 13 novembre.
Loin de regretter ses paroles, le chanteur est revenu aujourd'hui vendredi 8 septembre sur ses déclarations dans Melting-Pot, l'émission culturelle de la matinale d'Europe 1.
«J'ai joué deux ou trois fois au Bataclan, mais je ne me sens pas de rejouer dans cette salle, ni de revoir un concert là-bas», explique Nicola Sirkis. Avant d'ajouter: «Je n'ai aucune légitimité à le dire, si ce n'est mon opinion et je l'assume. Je ne suis pas en adéquation avec le fait de jouer dans cette salle. Je trouve cela délicat par rapport aux événements qui s'y sont passés.»
Selon lui, la salle de concert du XIe arrondissement doit rester «un lieu de respect et de mémoire, un sanctuaire ou un monument». Un avis qui n'est pas partagé par tous les artistes. En effet, Sting, le leader du groupe Police, n'a pas hésité à remonter sur la mythique scène, étant le premier à s'y produire, la veille du premier anniversaire des attentats.
«C'est dommage que les propos que j'ai tenus deviennent un titre leitmotiv», déplore Nicola Sirkis, qui aurait voulu qu'on se focalise davantage sur la sortie de son album. Pas d'inquiétude néanmoins à avoir pour la formation française. Le premier single de 13, La vie est belle , a été très bien accueilli par les fans, qui pourront prochainement écouter l'ensemble de l'album en live dans les grandes villes de France, lors de sa tournée qui commence le 10 février à Épernay. Pour les Parisiens, rendez-vous les 16, 17 et 18 février à l'AccorHotels Arena.
Le leader du groupe Indochine a déclaré au Parisien ne plus «jamais vouloir retourner au Bataclan» et a jugé «ignoble» la réouverture de la salle parisienne après les attentats du 13 novembre. Au micro d'Europe 1, ce matin, il est revenu sur la motivation de ses propos.
Une sortie médiatique qui a volé la vedette. Si Indochine pensait créer l'événement avec son dernier album, 13, c'était sans compter sur les propos virulents de Nicola Sirkis concernant le Bataclan, dans les colonnes du Parisien. Le leader du groupe français a déclaré ne plus «jamais vouloir retourner au Bataclan» et a jugé «ignoble» la réouverture de la salle parisienne après les attentats du 13 novembre.
Loin de regretter ses paroles, le chanteur est revenu aujourd'hui vendredi 8 septembre sur ses déclarations dans Melting-Pot, l'émission culturelle de la matinale d'Europe 1.
«J'ai joué deux ou trois fois au Bataclan, mais je ne me sens pas de rejouer dans cette salle, ni de revoir un concert là-bas», explique Nicola Sirkis. Avant d'ajouter: «Je n'ai aucune légitimité à le dire, si ce n'est mon opinion et je l'assume. Je ne suis pas en adéquation avec le fait de jouer dans cette salle. Je trouve cela délicat par rapport aux événements qui s'y sont passés.»
Selon lui, la salle de concert du XIe arrondissement doit rester «un lieu de respect et de mémoire, un sanctuaire ou un monument». Un avis qui n'est pas partagé par tous les artistes. En effet, Sting, le leader du groupe Police, n'a pas hésité à remonter sur la mythique scène, étant le premier à s'y produire, la veille du premier anniversaire des attentats.
«C'est dommage que les propos que j'ai tenus deviennent un titre leitmotiv», déplore Nicola Sirkis, qui aurait voulu qu'on se focalise davantage sur la sortie de son album. Pas d'inquiétude néanmoins à avoir pour la formation française. Le premier single de 13, La vie est belle , a été très bien accueilli par les fans, qui pourront prochainement écouter l'ensemble de l'album en live dans les grandes villes de France, lors de sa tournée qui commence le 10 février à Épernay. Pour les Parisiens, rendez-vous les 16, 17 et 18 février à l'AccorHotels Arena.
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