L’ex-enfant terrible de la famille</a> royale se range, et le royaume, en plein « Brexit blues », va désormais vivre</a> au rythme des préparatifs d’un mariage royal. A 33 ans, le très rouquin prince Harry, deuxième fils de Lady Diana et du prince Charles, épousera au printemps Meghan Markle, une actrice et mannequin de trois ans son aînée. Ils s’étaient embrassés publiquement pour la première fois en septembre 2016.
« Son altesse royale le prince de Galles est ravi d’annoncer les fiançailles du prince Harry et de Mlle Meghan Markle », indique le communiqué publié lundi matin de la Clarence House, la résidence royale du couple Charles-Camilla. La grand-mère du futur marié, la reine Elizabeth, a pris le thé avec le couple en octobre, où lui a été présentée la fiancée. Seul un avertissement du 10 Downing Street aurait d’ailleurs pu l’amener à y faire</a> obstacle.
La première ministre, Theresa May, a immédiatement adressé ses « plus chaleureuses félicitations » au couple, en lui souhaitant « beaucoup de joie à venir ». Jeremy Corbyn, de son côté, dont l’attachement à la famille royale est controversé, s’est permis une blague : « Ayant rencontré Harry un certain nombre de fois, je suis certain qu’ils vont bien s’amuser ensemble. » Le couple, qui se fréquente, dit-on, depuis seize mois, devait se prêter</a>, dès ce lundi après-midi, à sa première séance officielle de photographies à Kensington Palace, la demeure princière où ils doivent s’installer aux côtés du couple William et Kate et de leurs deux enfants, George et Charlotte. Dès ce soir, ils mettront en scène leurs fiançailles lors d’une interview à la BBC.
L’un des membres les plus populaires de la famille royale
La nouvelle met fin, pour l’heure à la chronique des frasques du plus déluré des membres de la famille royale. En 2005, le prince Harry avait défrayé la chronique en posant déguisé en officier</a> nazi ; en 2012, il avait confirmé son bon goût avec des photos où il apparaissait nu, en pleine euphorie, à Las Vegas (Nevada), lors d’une partie de « strip billard » avec des jeunes femmes également dévêtues. Mais ses missions en Afghanistan</a> comme pilote d’hélicoptère ou, plus récemment, ses confessions d’enfant blessé par la mort de sa mère et son engagement pour les Jeux</a> Invictus, compétition sportive pour soldats handicapés, ont fait de lui l’un des membres les plus populaires de la famille royale.
C’est lors de la cérémonie d’ouverture 2016 de ces Jeux, qu’il est apparu publiquement pour la première fois avec sa nouvelle girl-friend, Meghan Markle. Le profil de l’heureuse élue devrait apporter</a> un certain renouvellement dans la famille royale et permettre</a> en même temps d’afficher un certain libéralisme. Belle, américaine, catholique, fille d’un couple mixte, divorcée, la fiancée du prince Harry « retient la lumière ». Elevée à Los Angeles, vivant à Toronto, la jeune femme est la fille Doria Ragland, travailleuse sociale et professeur de yoga noire, et de Thomas Markle, un éclairagiste de télévision blanc réputé, d’origine irlandaise et néerlandaise. Ses parents se sont séparés lorsqu’elle avait 7 ans.
Elle-même a été mariée de 2011 à 2013 à un producteur télévision, Trevor Engelson qu’elle a épousé lors d’une somptueuse cérémonie de mariage de quatre jours, célébrée à la Jamaïque</a>. Aux Etats-Unis, elle est célèbre pour son rôle dans Suits (Avocats sur mesure), une série télé où elle interprète une assistante d’un cabinet d’avocats dont l’une des membres les plus brillants n’a fait aucune étude de droit et tente de le faire oublier (série diffusée en 2014 sur France</a> 4). Meghan Markle vient de renoncer</a> à ce rôle, de même qu’à The Tig, un site spécialisé dans l’art de vivre qu’elle dirigeait. L’actrice s’est aussi fait connaître</a> pour son engagement humanitaire, notamment auprès de l’ONG canadienne World vision spécialisée dans la défense</a> des droits des enfants, ainsi que pour sa promotion de l’égalité hommes-femmes. « Ma vie oscille entre camps de réfugiés et tapis rouge, et j’ai choisi les deux parce que ces deux mondes peuvent en réalité coexister », a-t-elle déclaré.
Le souvenir</a> présent de Lady Diana
Dans un entretien au magazine Elle, elle a évoqué ses choix identitaires : « Mes origines mixtes ont sans doute créé une zone grise autour de la façon dont je me définis, comme si j’avais un pied de chaque côté de la barrière, mais j’en suis venue à l’accepter. En affirmant qui je suis, en faisant savoir</a> d’où je viens, en proclamant ma fierté d’être une femme d’origine mélangée, forte et pleine de confiance. »
Jusqu’à récemment, le fait d’épouser une catholique aurait exclu Harry, cinquième dans l’ordre de succession monarchique, de cette succession. Mais de nouvelles règles adoptées en 2015 permettent à des membres de la famille royale d’épouser un(e) catholique tout en devenant roi ou reine. N’étant pas de « sang royal », Meghan Markle ne deviendra pas automatiquement « la princesse Meghan » pas plus que Diana Spencer n’a été nommée officiellement « princesse Diana » (mais princesse de Galles pendant son mariage avec Charles). Mais si, comme c’est probable, la reine attribue un duché au prince Harry au moment de son mariage, il deviendra « duc de Sussex », et son épouse « duchesse de Sussex ».
Symboliquement, le souvenir de Lady Diana est déjà présent au sein du nouveau couple princier. Selon US Weekly,la bague de fiançailles offertes par le prince Harry à sa promise a été confectionnée avec deux diamants que sa mère – morte en 1997 alors qu’il avait 12 ans – portait sur une broche. Le mariage pourrait être</a> célébré en avril 2018. William, le frère aîné de Harry et son épouse, Kate, attendent en effet un heureux événement – la naissance de leur troisième enfant – pour avril. Le bonheur des Windsor devrait occuper</a> la « une » des tabloïds pendant tout le printemps.
Read AgainL’ex-enfant terrible de la famille</a> royale se range, et le royaume, en plein « Brexit blues », va désormais vivre</a> au rythme des préparatifs d’un mariage royal. A 33 ans, le très rouquin prince Harry, deuxième fils de Lady Diana et du prince Charles, épousera au printemps Meghan Markle, une actrice et mannequin de trois ans son aînée. Ils s’étaient embrassés publiquement pour la première fois en septembre 2016.
« Son altesse royale le prince de Galles est ravi d’annoncer les fiançailles du prince Harry et de Mlle Meghan Markle », indique le communiqué publié lundi matin de la Clarence House, la résidence royale du couple Charles-Camilla. La grand-mère du futur marié, la reine Elizabeth, a pris le thé avec le couple en octobre, où lui a été présentée la fiancée. Seul un avertissement du 10 Downing Street aurait d’ailleurs pu l’amener à y faire</a> obstacle.
La première ministre, Theresa May, a immédiatement adressé ses « plus chaleureuses félicitations » au couple, en lui souhaitant « beaucoup de joie à venir ». Jeremy Corbyn, de son côté, dont l’attachement à la famille royale est controversé, s’est permis une blague : « Ayant rencontré Harry un certain nombre de fois, je suis certain qu’ils vont bien s’amuser ensemble. » Le couple, qui se fréquente, dit-on, depuis seize mois, devait se prêter</a>, dès ce lundi après-midi, à sa première séance officielle de photographies à Kensington Palace, la demeure princière où ils doivent s’installer aux côtés du couple William et Kate et de leurs deux enfants, George et Charlotte. Dès ce soir, ils mettront en scène leurs fiançailles lors d’une interview à la BBC.
L’un des membres les plus populaires de la famille royale
La nouvelle met fin, pour l’heure à la chronique des frasques du plus déluré des membres de la famille royale. En 2005, le prince Harry avait défrayé la chronique en posant déguisé en officier</a> nazi ; en 2012, il avait confirmé son bon goût avec des photos où il apparaissait nu, en pleine euphorie, à Las Vegas (Nevada), lors d’une partie de « strip billard » avec des jeunes femmes également dévêtues. Mais ses missions en Afghanistan</a> comme pilote d’hélicoptère ou, plus récemment, ses confessions d’enfant blessé par la mort de sa mère et son engagement pour les Jeux</a> Invictus, compétition sportive pour soldats handicapés, ont fait de lui l’un des membres les plus populaires de la famille royale.
C’est lors de la cérémonie d’ouverture 2016 de ces Jeux, qu’il est apparu publiquement pour la première fois avec sa nouvelle girl-friend, Meghan Markle. Le profil de l’heureuse élue devrait apporter</a> un certain renouvellement dans la famille royale et permettre</a> en même temps d’afficher un certain libéralisme. Belle, américaine, catholique, fille d’un couple mixte, divorcée, la fiancée du prince Harry « retient la lumière ». Elevée à Los Angeles, vivant à Toronto, la jeune femme est la fille Doria Ragland, travailleuse sociale et professeur de yoga noire, et de Thomas Markle, un éclairagiste de télévision blanc réputé, d’origine irlandaise et néerlandaise. Ses parents se sont séparés lorsqu’elle avait 7 ans.
Elle-même a été mariée de 2011 à 2013 à un producteur télévision, Trevor Engelson qu’elle a épousé lors d’une somptueuse cérémonie de mariage de quatre jours, célébrée à la Jamaïque</a>. Aux Etats-Unis, elle est célèbre pour son rôle dans Suits (Avocats sur mesure), une série télé où elle interprète une assistante d’un cabinet d’avocats dont l’une des membres les plus brillants n’a fait aucune étude de droit et tente de le faire oublier (série diffusée en 2014 sur France</a> 4). Meghan Markle vient de renoncer</a> à ce rôle, de même qu’à The Tig, un site spécialisé dans l’art de vivre qu’elle dirigeait. L’actrice s’est aussi fait connaître</a> pour son engagement humanitaire, notamment auprès de l’ONG canadienne World vision spécialisée dans la défense</a> des droits des enfants, ainsi que pour sa promotion de l’égalité hommes-femmes. « Ma vie oscille entre camps de réfugiés et tapis rouge, et j’ai choisi les deux parce que ces deux mondes peuvent en réalité coexister », a-t-elle déclaré.
Le souvenir</a> présent de Lady Diana
Dans un entretien au magazine Elle, elle a évoqué ses choix identitaires : « Mes origines mixtes ont sans doute créé une zone grise autour de la façon dont je me définis, comme si j’avais un pied de chaque côté de la barrière, mais j’en suis venue à l’accepter. En affirmant qui je suis, en faisant savoir</a> d’où je viens, en proclamant ma fierté d’être une femme d’origine mélangée, forte et pleine de confiance. »
Jusqu’à récemment, le fait d’épouser une catholique aurait exclu Harry, cinquième dans l’ordre de succession monarchique, de cette succession. Mais de nouvelles règles adoptées en 2015 permettent à des membres de la famille royale d’épouser un(e) catholique tout en devenant roi ou reine. N’étant pas de « sang royal », Meghan Markle ne deviendra pas automatiquement « la princesse Meghan » pas plus que Diana Spencer n’a été nommée officiellement « princesse Diana » (mais princesse de Galles pendant son mariage avec Charles). Mais si, comme c’est probable, la reine attribue un duché au prince Harry au moment de son mariage, il deviendra « duc de Sussex », et son épouse « duchesse de Sussex ».
Symboliquement, le souvenir de Lady Diana est déjà présent au sein du nouveau couple princier. Selon US Weekly,la bague de fiançailles offertes par le prince Harry à sa promise a été confectionnée avec deux diamants que sa mère – morte en 1997 alors qu’il avait 12 ans – portait sur une broche. Le mariage pourrait être</a> célébré en avril 2018. William, le frère aîné de Harry et son épouse, Kate, attendent en effet un heureux événement – la naissance de leur troisième enfant – pour avril. Le bonheur des Windsor devrait occuper</a> la « une » des tabloïds pendant tout le printemps.
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