Search

Johnny Hallyday : toute sa vie il a adoré les luxueuses villas

Johnny Hally­day était le roi des flam­beurs. Le rockeur n'était pas du genre à écono­mi­ser, un trait de carac­tère qui se mani­feste dans les splen­dides villas qu'il a habi­tées dans les quatre coins du monde, toutes aussi luxueuses les unes que les autres. La Savan­nah, à Marnes-la-Coquette, demeure dans laquelle il a poussé son dernier souffle le 6 décembre dernier, s'étale sur 900 mètres carré de surface habi­table, déco­­rés par l'archi­­tecte Philippe Puron. Pour occu­per la star durant son temps libre, il y a aménagé une salle de cinéma, qui peut rece­voir une ving­taine de personnes, mais aussi un court de tennis et une piscine sur le domaine de 5 500 mètres carré. De son vivant, Johnny Hally­day voulait pour­tant s'en sépa­rer, il avait mis en vente sa fantasque maison entre 15 et 18 millions d'euros, selon le Figaro, avant de se rési­gner à la garder, n'ayant pas trouvé d'ache­teurs. Aujourd'hui foyer de trop doulou­reux souve­nirs pour Laeti­cia Hally­day, la Savan­nah a été remise sur le marché.

Le rockeur chéris­sait parti­cu­liè­re­ment Saint-Barth, où il passait des vacances de rêve entouré de sa famille et où il a choisi de se faire inhu­mer. Après l'enter­re­ment le 11 décembre, la veuve de Johnny avait posé ses valises à la Villa Jade, où elle a entamé son proces­sus de deuil, prenant soin de la tombe de l'homme de sa vie. Là encore, la maison est le témoin incon­tes­table de la folie des gran­deurs du Taulier : sur les plus de 500 mètres carré de surface, on y trouve huit chambres, dont quatre sont dans des pavillons indé­pen­dants, un séjour modu­lable, une piscine à débor­de­ment, un jacuzzi, une salle de sport, une salle de ciné­ma… Un luxe que la famille Hally­day mettait en loca­tion durant son absence.

Los Angeles, Gstaad, Saint-Tropez

Laeti­cia Hally­day vivra désor­mais, avec ses filles Jade et Joy, à Los Angeles, à Paci­fic Pali­sades, là où le rockeur avait fait construire en 2010 une autre maison déme­su­rée, comme il les aimait tant. Dans cette villa de 650 mètres carré, sept chambres et dix salles de bains. En outre, on y trouve l'incroyable collec­tion de voitures et de motos de Johnny Hally­day.

Ce n'est pas fini : le rockeur avait fait l'acqui­si­tion en 2006 d'un chalet de 320 mètres carré dotées de neuf pièces et deux terrasses en Suisse, à Gstaad. La demeure servait surtout de domi­ci­lia­tion fiscale au rockeur, qui s'efforçait, par tous les moyens, d'échap­per au fisc… Enfin, la Lorada (contrac­tion de Laura et David, ses deux premiers enfants), son nid douillet de 710 mètres carré et deux hectares de terrain à Saint-Tropez avec vue sur les plages de Pampe­lonne, construite en 1989 et que Johnny Hally­day a vendu dans les années 2000. Cactus, fontaine, piscine avec lagons et îles surmon­tées de palmiers, sans comp­ter la salle de sport, le hammam et la piste d'atter­ris­sage pour héli­co­ptère.

Crédits photos : JLPPA / Bestimage

Let's block ads! (Why?)

Read Again

Johnny Hally­day était le roi des flam­beurs. Le rockeur n'était pas du genre à écono­mi­ser, un trait de carac­tère qui se mani­feste dans les splen­dides villas qu'il a habi­tées dans les quatre coins du monde, toutes aussi luxueuses les unes que les autres. La Savan­nah, à Marnes-la-Coquette, demeure dans laquelle il a poussé son dernier souffle le 6 décembre dernier, s'étale sur 900 mètres carré de surface habi­table, déco­­rés par l'archi­­tecte Philippe Puron. Pour occu­per la star durant son temps libre, il y a aménagé une salle de cinéma, qui peut rece­voir une ving­taine de personnes, mais aussi un court de tennis et une piscine sur le domaine de 5 500 mètres carré. De son vivant, Johnny Hally­day voulait pour­tant s'en sépa­rer, il avait mis en vente sa fantasque maison entre 15 et 18 millions d'euros, selon le Figaro, avant de se rési­gner à la garder, n'ayant pas trouvé d'ache­teurs. Aujourd'hui foyer de trop doulou­reux souve­nirs pour Laeti­cia Hally­day, la Savan­nah a été remise sur le marché.

Le rockeur chéris­sait parti­cu­liè­re­ment Saint-Barth, où il passait des vacances de rêve entouré de sa famille et où il a choisi de se faire inhu­mer. Après l'enter­re­ment le 11 décembre, la veuve de Johnny avait posé ses valises à la Villa Jade, où elle a entamé son proces­sus de deuil, prenant soin de la tombe de l'homme de sa vie. Là encore, la maison est le témoin incon­tes­table de la folie des gran­deurs du Taulier : sur les plus de 500 mètres carré de surface, on y trouve huit chambres, dont quatre sont dans des pavillons indé­pen­dants, un séjour modu­lable, une piscine à débor­de­ment, un jacuzzi, une salle de sport, une salle de ciné­ma… Un luxe que la famille Hally­day mettait en loca­tion durant son absence.

Los Angeles, Gstaad, Saint-Tropez

Laeti­cia Hally­day vivra désor­mais, avec ses filles Jade et Joy, à Los Angeles, à Paci­fic Pali­sades, là où le rockeur avait fait construire en 2010 une autre maison déme­su­rée, comme il les aimait tant. Dans cette villa de 650 mètres carré, sept chambres et dix salles de bains. En outre, on y trouve l'incroyable collec­tion de voitures et de motos de Johnny Hally­day.

Ce n'est pas fini : le rockeur avait fait l'acqui­si­tion en 2006 d'un chalet de 320 mètres carré dotées de neuf pièces et deux terrasses en Suisse, à Gstaad. La demeure servait surtout de domi­ci­lia­tion fiscale au rockeur, qui s'efforçait, par tous les moyens, d'échap­per au fisc… Enfin, la Lorada (contrac­tion de Laura et David, ses deux premiers enfants), son nid douillet de 710 mètres carré et deux hectares de terrain à Saint-Tropez avec vue sur les plages de Pampe­lonne, construite en 1989 et que Johnny Hally­day a vendu dans les années 2000. Cactus, fontaine, piscine avec lagons et îles surmon­tées de palmiers, sans comp­ter la salle de sport, le hammam et la piste d'atter­ris­sage pour héli­co­ptère.

Crédits photos : JLPPA / Bestimage

Let's block ads! (Why?)



Bagikan Berita Ini

Related Posts :

0 Response to "Johnny Hallyday : toute sa vie il a adoré les luxueuses villas"

Post a Comment

Powered by Blogger.