
Wonder Wheel, chronique tchékhovienne autour du mal-être et des illusions perdues de personnages coincés à Coney Island, pédale à vide et suscite au mieux l'embarras, au pire l'ennui.
Ce n'est quand même pas de bol. Alors que la fille adoptive de Woody AllenDylan Farrow réitère ses accusations d'agression sexuelle contre son père, corroborées par son frère Ronan Farrow, qui avait révélé l'affaire Weinstein, mais minimisées par un autre fils, Moses Allen, le nouveau film du prolifique réalisateur n'a rien de rassurant. Ni d'amusant. Encore moins d'épatant.
Wonder Wheel, chronique tchékhovienne autour du mal-être et des illusions perdues de personnages coincés à Coney Island (péninsule dans le sud de New York), pédale à vide et suscite au mieux l'embarras, au pire l'ennui. Comme si Allen ne savait plus écrire, au point d'en oublier le b.a.- ba d'un bon scénario qui passe par un point de vue.
Quand les affres des uns et des autres prennent le dessus
Ici, il a le cul entre deux chaises, d'un côté un récit mené, et raconté, par un maître-nageur qui se rêve dramaturge (Justin Timberlake, pour une fois transparent), de l'autre les tourments existentiels d'une épouse malheureuse (Kate Winslet, une fois de plus époustouflante).
L'histoire se perd dans les affres des uns et des autres, exprimées à travers des répliques qui se voudraient profondes, mais qui, à les écouter attentivement, sonnent creux. Heureusement, la roue tourne. Le prochain Allen, déjà en boîte, devrait être mieux. Ce qui ne sera pas difficile.
WONDER WHEEL DE WOODY ALLEN. AVEC KATE WINSLET, JAMES BELUSHI... 1H41.
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Wonder Wheel, chronique tchékhovienne autour du mal-être et des illusions perdues de personnages coincés à Coney Island, pédale à vide et suscite au mieux l'embarras, au pire l'ennui.
Ce n'est quand même pas de bol. Alors que la fille adoptive de Woody AllenDylan Farrow réitère ses accusations d'agression sexuelle contre son père, corroborées par son frère Ronan Farrow, qui avait révélé l'affaire Weinstein, mais minimisées par un autre fils, Moses Allen, le nouveau film du prolifique réalisateur n'a rien de rassurant. Ni d'amusant. Encore moins d'épatant.
Wonder Wheel, chronique tchékhovienne autour du mal-être et des illusions perdues de personnages coincés à Coney Island (péninsule dans le sud de New York), pédale à vide et suscite au mieux l'embarras, au pire l'ennui. Comme si Allen ne savait plus écrire, au point d'en oublier le b.a.- ba d'un bon scénario qui passe par un point de vue.
Quand les affres des uns et des autres prennent le dessus
Ici, il a le cul entre deux chaises, d'un côté un récit mené, et raconté, par un maître-nageur qui se rêve dramaturge (Justin Timberlake, pour une fois transparent), de l'autre les tourments existentiels d'une épouse malheureuse (Kate Winslet, une fois de plus époustouflante).
L'histoire se perd dans les affres des uns et des autres, exprimées à travers des répliques qui se voudraient profondes, mais qui, à les écouter attentivement, sonnent creux. Heureusement, la roue tourne. Le prochain Allen, déjà en boîte, devrait être mieux. Ce qui ne sera pas difficile.
WONDER WHEEL DE WOODY ALLEN. AVEC KATE WINSLET, JAMES BELUSHI... 1H41.
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