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VIDEO : Le statut fiscal de Johnny Hallyday au centre du débat

La tota­lité de la fortune de Johnny Hally­day ira-t-elle à son épouse Laeti­cia ou sera-t-elle divi­sée entre les diffé­rents membres de la famille? Une ques­tion centrale que pour­rait aider à résoudre le statut fiscal du défunt rockeur.

L'infor­ma­tion fait la une à travers le pays: en rédi­geant son troi­sième et dernier testa­ment, Johnny Hally­day aurait veillé à ce qu'aucun de ses deux premiers enfants, Laura et David, ne touchent un centime de sa fortune person­nelle. Surprise et choquée par cette nouvelle inat­ten­due, Laura Smet a décidé de contes­ter le testa­ment. David Hally­day, son demi-frère, la soutient dans ce combat loin d'être perdu à en croire l'un des rédac­teurs en chef du maga­zine Marianne.

Invité à débattre jeudi 15 février 2018 sur le plateau des Voix de l'info, sur C News, Périco Legasse a en effet expliqué à Laurence Ferrari et à ses invi­tés que le problème de succes­sion qui frappe actuel­le­ment le clan Hally­day se règlera en fonc­tion de critères de droit. « Est-ce que Johnny Hally­day était sous régime fiscal améri­cain ou est-ce qu'il était sous régime fiscal et social français? », se demande ainsi le jour­na­liste. Dans le premier cas de figure, celui où Johnny Hally­day se trou­vait sous le système améri­cain, « tous les testa­ments qu'il a pu produire sont valides ». Laeti­cia Hally­day héri­te­rait alors d'une fortune de près de 100 millions d'euros (dont plus d'un tiers en proprié­tés immo­bi­lières). L'autre cas de figure, celui selon lequel Johnny Hally­day dépen­drait en réalité du système français, cham­bou­le­rait quant à lui la succes­sion. « Si c'est sous régime français, estime l'invité de Laurence Ferrari, il n'y pas à dire 'j'avais déjà lais­sé…' les enfants Laura et David auront droit à la part exacte que la loi française prévoit. »

A cette heure, Laura Smet et David Hally­day peuvent espé­rer obte­nir gain de cause s'il est démon­tré que leur père dépen­dait fisca­le­ment de la France. La quan­tité d'argent versé aux deux enfants par le passé n'entre­rait alors pas en compte. Les 100 millions légués par Johnny Hally­day seraient alors distri­bués entre la femme du rockeur et ses quatre enfants. Le rédac­teur en chef à Marianne note au passage que pour dépendre léga­le­ment du statut fiscal améri­cain, une personne doit passer un mini­mum annuel de six mois et un jour aux Etats-Unis. Ces derniers temps, Johnny Hally­day avait pour­tant semblé passer une plus grande partie de son temps sur le terri­toire français, concerts et santé obligent. « Il est peut-être mort sous régime fiscal et social français, conclut ainsi Périco Legasse, au quel cas les testa­ments améri­cains n'ont pas de valeur et c'est la loi française qui s'applique ».

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La tota­lité de la fortune de Johnny Hally­day ira-t-elle à son épouse Laeti­cia ou sera-t-elle divi­sée entre les diffé­rents membres de la famille? Une ques­tion centrale que pour­rait aider à résoudre le statut fiscal du défunt rockeur.

L'infor­ma­tion fait la une à travers le pays: en rédi­geant son troi­sième et dernier testa­ment, Johnny Hally­day aurait veillé à ce qu'aucun de ses deux premiers enfants, Laura et David, ne touchent un centime de sa fortune person­nelle. Surprise et choquée par cette nouvelle inat­ten­due, Laura Smet a décidé de contes­ter le testa­ment. David Hally­day, son demi-frère, la soutient dans ce combat loin d'être perdu à en croire l'un des rédac­teurs en chef du maga­zine Marianne.

Invité à débattre jeudi 15 février 2018 sur le plateau des Voix de l'info, sur C News, Périco Legasse a en effet expliqué à Laurence Ferrari et à ses invi­tés que le problème de succes­sion qui frappe actuel­le­ment le clan Hally­day se règlera en fonc­tion de critères de droit. « Est-ce que Johnny Hally­day était sous régime fiscal améri­cain ou est-ce qu'il était sous régime fiscal et social français? », se demande ainsi le jour­na­liste. Dans le premier cas de figure, celui où Johnny Hally­day se trou­vait sous le système améri­cain, « tous les testa­ments qu'il a pu produire sont valides ». Laeti­cia Hally­day héri­te­rait alors d'une fortune de près de 100 millions d'euros (dont plus d'un tiers en proprié­tés immo­bi­lières). L'autre cas de figure, celui selon lequel Johnny Hally­day dépen­drait en réalité du système français, cham­bou­le­rait quant à lui la succes­sion. « Si c'est sous régime français, estime l'invité de Laurence Ferrari, il n'y pas à dire 'j'avais déjà lais­sé…' les enfants Laura et David auront droit à la part exacte que la loi française prévoit. »

A cette heure, Laura Smet et David Hally­day peuvent espé­rer obte­nir gain de cause s'il est démon­tré que leur père dépen­dait fisca­le­ment de la France. La quan­tité d'argent versé aux deux enfants par le passé n'entre­rait alors pas en compte. Les 100 millions légués par Johnny Hally­day seraient alors distri­bués entre la femme du rockeur et ses quatre enfants. Le rédac­teur en chef à Marianne note au passage que pour dépendre léga­le­ment du statut fiscal améri­cain, une personne doit passer un mini­mum annuel de six mois et un jour aux Etats-Unis. Ces derniers temps, Johnny Hally­day avait pour­tant semblé passer une plus grande partie de son temps sur le terri­toire français, concerts et santé obligent. « Il est peut-être mort sous régime fiscal et social français, conclut ainsi Périco Legasse, au quel cas les testa­ments améri­cains n'ont pas de valeur et c'est la loi française qui s'applique ».

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