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Vanessa Paradis saisissante en productrice de films porno : son film ne laisse personne indifférent

Deux ans après avoir fait partie des membres du jury du festi­val de Cannes, Vanessa Para­dis était de retour sur la Croi­sette pour présen­ter son nouveau film Un couteau dans le coeur, dans lequel elle inter­prète une produc­trice de film porno gay dont les acteurs sont assas­si­nés un à un par un tueur en série. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce thril­ler érotique déchaîne les passions.

Ce jeudi 17 mai, Vanessa Para­dis a monté les marches du festi­val Cannes dans un total look Chanel pour venir défendre son nouveau film Un couteau dans le coeur, dans lequel son “person­nage riche et intense”, celui d’une produc­trice de film porno gay dans les années 1970, l’a immé­dia­te­ment “conquise”, comme elle l’a confessé en confé­rence de presse. Réalisé par Yann Gonza­lez, ce long métrage qui mêle tour à tour, horreur, érotisme mais aussi polar, était parti­cu­liè­re­ment attendu par les festi­va­liers. Pour­tant, à l’is­sue de la projec­tion, les avis étaient beau­coup plus parta­gés. Chef-d’oeuvre pour les uns, navet pour les autres, ce film divise la Croi­sette.

Le Holly­wood Repor­ter y a vu un “déli­cieux film gore théâ­tral” qui “explore le côté obscur du désir, de l'aban­don et de la répres­sion sexuelle”. Pour le maga­zine améri­cain,“Vanessa Para­dis livre une de ses perfor­mances les plus impres­sion­nantes”. Variety estime même que “tous les ingré­dients sont réunis pour un film culte”. Tandis que Les Inrocks parlent de “coup de coeur”, encen­sant Yan Gonzale qui, selon eux, “s'affirme comme un grand esthète de la marge”. Une avalanche de compli­ments toute­fois nuan­cée par des critiques très sévères.

Pour le Guar­dian, “Un couteau dans le cœur est une étrange histoire sans queue ni tête dans le milieu porno kitsch des Seven­ties. Mais ce fantasme sur pelli­cule n'est ni assez drôle, ni assez sérieux”. Au Figaro, on concède être sorti “malade” de la projec­tion. Tandis que The Wrap parle d’un “film d'horreur bordé­lique aussi fasci­nant que diffi­cile à regar­der”. Pour 20 minutes ce dernier s’ap­pa­rente à “un mauvais clip de Mylène Farmer”. Moins acerbe, Le Télé­rama évoque, lui, “des maladresses de réali­sa­tion”.

De quel côté se range­ront Cate Blan­chett et les membres du jury ? Réponse ce samedi 19 mai, lors de la très atten­due remise des prix de ce 71ème festi­val de Cannes.

Vous pouvez retrou­­ver l'inté­gra­lité des Gala Croi­sette sur Inter­net

Crédits photos : JACOVIDES-BORDE-MOREAU / BESTIMAGE

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Deux ans après avoir fait partie des membres du jury du festi­val de Cannes, Vanessa Para­dis était de retour sur la Croi­sette pour présen­ter son nouveau film Un couteau dans le coeur, dans lequel elle inter­prète une produc­trice de film porno gay dont les acteurs sont assas­si­nés un à un par un tueur en série. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce thril­ler érotique déchaîne les passions.

Ce jeudi 17 mai, Vanessa Para­dis a monté les marches du festi­val Cannes dans un total look Chanel pour venir défendre son nouveau film Un couteau dans le coeur, dans lequel son “person­nage riche et intense”, celui d’une produc­trice de film porno gay dans les années 1970, l’a immé­dia­te­ment “conquise”, comme elle l’a confessé en confé­rence de presse. Réalisé par Yann Gonza­lez, ce long métrage qui mêle tour à tour, horreur, érotisme mais aussi polar, était parti­cu­liè­re­ment attendu par les festi­va­liers. Pour­tant, à l’is­sue de la projec­tion, les avis étaient beau­coup plus parta­gés. Chef-d’oeuvre pour les uns, navet pour les autres, ce film divise la Croi­sette.

Le Holly­wood Repor­ter y a vu un “déli­cieux film gore théâ­tral” qui “explore le côté obscur du désir, de l'aban­don et de la répres­sion sexuelle”. Pour le maga­zine améri­cain,“Vanessa Para­dis livre une de ses perfor­mances les plus impres­sion­nantes”. Variety estime même que “tous les ingré­dients sont réunis pour un film culte”. Tandis que Les Inrocks parlent de “coup de coeur”, encen­sant Yan Gonzale qui, selon eux, “s'affirme comme un grand esthète de la marge”. Une avalanche de compli­ments toute­fois nuan­cée par des critiques très sévères.

Pour le Guar­dian, “Un couteau dans le cœur est une étrange histoire sans queue ni tête dans le milieu porno kitsch des Seven­ties. Mais ce fantasme sur pelli­cule n'est ni assez drôle, ni assez sérieux”. Au Figaro, on concède être sorti “malade” de la projec­tion. Tandis que The Wrap parle d’un “film d'horreur bordé­lique aussi fasci­nant que diffi­cile à regar­der”. Pour 20 minutes ce dernier s’ap­pa­rente à “un mauvais clip de Mylène Farmer”. Moins acerbe, Le Télé­rama évoque, lui, “des maladresses de réali­sa­tion”.

De quel côté se range­ront Cate Blan­chett et les membres du jury ? Réponse ce samedi 19 mai, lors de la très atten­due remise des prix de ce 71ème festi­val de Cannes.

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