Hommage à Johnny Hallyday : Michel Drucker se confie sur le dernier texto de son ami qui l'a fait fondre en larmes…

"Tu aurais pu vivre encore un peu Johnny. Je sais que nous nous reverrons un jour ou l'autre. Salut mon pote." Des millions de téléspectateurs se souviennent de l'émotion qui a submergé Michel Drucker, le 6 décembre dernier, à la fin de l'hommage à Johnny Hallyday qu'il présentait sur France 2. Face caméra, l'ami du Taulier, qui venait de décéder, fondait alors en larmes et déclarait : "Vous savez dans ma carrière, longue déjà, j'ai vu partir beaucoup de copains. Lui c'était spécial…"

⋙ Johnny Hallyday : Anne-Claire Coudray très marquée par son interview du rockeur quelques mois avant sa mort

Des images très fortes, sur lesquelles Michel Drucker est revenu, dans une interview publiée lundi 9 juillet par nos confrères de Télécâble Sat Hebdo. Il évoque l'absence de son ami et le deuil qu'il peine à faire : "Je pense à lui, j'ai du mal à en parler. Je lui rends hommage sur scène. Je lance au public : “J'ai un scoop. Le vrai héritage de Johnny est dans ma poche. Mais je le garde pour moi."” Cet héritage, c'est l'amitié que les deux hommes entretenaient. Il explique : "Il m'a envoyé un texto bouleversant trois jours avant sa mort." C'est à ce texto que Michel Drucker a pensé, au moment de clore son émission : "Je n'aurais pas dû y penser à la fin de l'hommage que je lui ai rendu sur France 2, je n'ai pas pu aller jusqu'au bout…"

⋙ Après avoir taclé Laurent Delahousse, Michel Drucker se fait recadrer par la direction de France Télévisions

Dans cet entretien, Michel Drucker évoque par ailleurs une nouvelle fois Laurent Delahousse, dont il a dit, il y a peu, que ce n'était "pas quelqu'un de bien". L'animateur de Vivement dimanche explique sa rancœur : "Honnêtement, je trouvais légitime qu'on veille à remplacer quelqu'un qui a 75 ans par un type qui en a 45. La seule chose qui m'a surpris, c'est que, par courtoisie, il ne m'appelle pas. Ça m'a blessé." Il ajoute : "Je ne me moquerai jamais d'un confrère qui n'a pas réussi son pari. Je sais combien la case de l'access prime-time est difficile. Mais je ne vous cache pas qu'on me demande, deux ans après, de revenir l'après-midi. Cela me fait plaisir."

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