L’humoriste Gad Elmaleh, épinglé par la chaîne YouTube CopyComic qui traque les éventuels emprunts entre artistes, s’est défendu mardi sur Europe 1 en estimant que les sketchs étaient basés sur des "observations qui n’appartiennent à personne".
"J’ai commencé ma carrière en 1995 avec un sketch qui s’appelait "La chèvre de monsieur Seguin", c’était l’idée de la parodie, je ne sais plus qui l’a écrit (rires) mais c’était mon regard", a raconté l’humoriste.
"Avec un ami, on parlait d’observations populaires qui sont présentes dans nos vies, par exemple, c’est les prémices d’un bout comique en stand up, quand vous faites chauffer un plat au micro-ondes, au bout de quatre minutes vous le ressortez, le plat est brûlant et l’intérieur est froid. Ce n’est pas une invention. C’est un point de départ pour écrire un petit sketch", a-t-il détaillé.
.@gadelmaleh se défend de tout plagiat : "Une observation appartient à tout le monde."
\ud83d\udd3b\ud83d\udd3b Interview complète avec @nikosaliagas \ud83d\udd3b\ud83d\udd3b #europe1 pic.twitter.com/v9UZWDkXaP
— Europe 1 \ud83d\udcfb (@Europe1) 9 avril 2019
"Il faut continuer à bosser, à écrire"
"Dans notre entourage proche, on a compté 14 ou 15 humoristes, entre des Français, des Anglais, des Écossais qui avaient la même observation. C’est pas la même vanne, c’est une observation qui n’appartient à personne", a martelé l’humoriste, épinglé dans une vidéo montrant des similitudes importantes entre certains de ses sketches et ceux d’autres humoristes souvent anglo-saxons comme Louis CK et son idole, Jerry Seinfeld.
"Un mec bourré qui titube ça t’appartient pas, ça m’appartient pas, sinon on déposerait la vie, personne ne parlerait plus d’amour, de sexualité, d’être bourré, de voyager…"
Reconnaissant toutefois "un changement" dans le métier, il a estimé qu’il fallait "l’accompagner, il faut continuer à bosser, à écrire et à se moquer de ça aussi".
Read AgainL’humoriste Gad Elmaleh, épinglé par la chaîne YouTube CopyComic qui traque les éventuels emprunts entre artistes, s’est défendu mardi sur Europe 1 en estimant que les sketchs étaient basés sur des "observations qui n’appartiennent à personne".
"J’ai commencé ma carrière en 1995 avec un sketch qui s’appelait "La chèvre de monsieur Seguin", c’était l’idée de la parodie, je ne sais plus qui l’a écrit (rires) mais c’était mon regard", a raconté l’humoriste.
"Avec un ami, on parlait d’observations populaires qui sont présentes dans nos vies, par exemple, c’est les prémices d’un bout comique en stand up, quand vous faites chauffer un plat au micro-ondes, au bout de quatre minutes vous le ressortez, le plat est brûlant et l’intérieur est froid. Ce n’est pas une invention. C’est un point de départ pour écrire un petit sketch", a-t-il détaillé.
.@gadelmaleh se défend de tout plagiat : "Une observation appartient à tout le monde."
\ud83d\udd3b\ud83d\udd3b Interview complète avec @nikosaliagas \ud83d\udd3b\ud83d\udd3b #europe1 pic.twitter.com/v9UZWDkXaP
— Europe 1 \ud83d\udcfb (@Europe1) 9 avril 2019
"Il faut continuer à bosser, à écrire"
"Dans notre entourage proche, on a compté 14 ou 15 humoristes, entre des Français, des Anglais, des Écossais qui avaient la même observation. C’est pas la même vanne, c’est une observation qui n’appartient à personne", a martelé l’humoriste, épinglé dans une vidéo montrant des similitudes importantes entre certains de ses sketches et ceux d’autres humoristes souvent anglo-saxons comme Louis CK et son idole, Jerry Seinfeld.
"Un mec bourré qui titube ça t’appartient pas, ça m’appartient pas, sinon on déposerait la vie, personne ne parlerait plus d’amour, de sexualité, d’être bourré, de voyager…"
Reconnaissant toutefois "un changement" dans le métier, il a estimé qu’il fallait "l’accompagner, il faut continuer à bosser, à écrire et à se moquer de ça aussi".
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