INTERVIEW EXCLUSIVE - Avec onze nominations pour son film La Belle époque, il est l’un des favoris de cette cérémonie qui s’annonce pour le moins mouvementée. Pour Le Figaro, il commente cette séquence «à la fois formidable et particulièrement violente» que vit le cinéma français.
Avec onze nominations, La Belle Époque de Nicolas Bedos, 41 ans le 21 avril prochain, est l’un des favoris des César. Ce film romanesque avec Daniel Auteuil, Fanny Ardant, Doria Tillier et Guillaume Canet est l’un des grands succès critique et commercial de 2019.
Jeudi, à la veille des César, entre deux sessions de montage de son prochain film OSS 117, Alerte rouge en Afrique noire avec Jean Dujardin et Pierre Niney, le réalisateur se confie sur cette cérémonie qui s’annonce si particulière.
LE FIGARO. - À quoi vous attendez-vous pour cette 45e cérémonie des César?
Nicolas BEDOS. - À en croire les médias, il semblerait que la soirée se dirige davantage vers le forum politique, militant et sociétal que vers la fête du cinéma! Le cinéma ayant en soi une portée politique, on peut s’en réjouir. D’ailleurs, le chroniqueur que j’ai été trouve tout ça passionnant. Ce qui est un peu troublant, c’est que nous venons accompagner un film qui, pour le coup, est totalement romanesque, il parle d’amour,
INTERVIEW EXCLUSIVE - Avec onze nominations pour son film La Belle époque, il est l’un des favoris de cette cérémonie qui s’annonce pour le moins mouvementée. Pour Le Figaro, il commente cette séquence «à la fois formidable et particulièrement violente» que vit le cinéma français.
Avec onze nominations, La Belle Époque de Nicolas Bedos, 41 ans le 21 avril prochain, est l’un des favoris des César. Ce film romanesque avec Daniel Auteuil, Fanny Ardant, Doria Tillier et Guillaume Canet est l’un des grands succès critique et commercial de 2019.
Jeudi, à la veille des César, entre deux sessions de montage de son prochain film OSS 117, Alerte rouge en Afrique noire avec Jean Dujardin et Pierre Niney, le réalisateur se confie sur cette cérémonie qui s’annonce si particulière.
LE FIGARO. - À quoi vous attendez-vous pour cette 45e cérémonie des César?
Nicolas BEDOS. - À en croire les médias, il semblerait que la soirée se dirige davantage vers le forum politique, militant et sociétal que vers la fête du cinéma! Le cinéma ayant en soi une portée politique, on peut s’en réjouir. D’ailleurs, le chroniqueur que j’ai été trouve tout ça passionnant. Ce qui est un peu troublant, c’est que nous venons accompagner un film qui, pour le coup, est totalement romanesque, il parle d’amour,
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