Search

Kenzo Takada, la fête infinie - Culture / Next - Next

Search Direct User 100 Zoom Quiz ? Libération Diamond clock xml netvibes live anciens-numeros data desintox diapo edito election-2017 election essentiel generique idee jo next portrait radio son alerte top-100 star une video podcast scroll politiques food sciences Facebook Whatsapp Twitter insta vine later glass Mail print Facebook Instagram Twitter Calendar download cross zoom-in zoom-out previous next truck visa mastercard user-libe user-doc user-doc-list user-mail user-security user-settings user-shop user-star Ruban abo Losange orange List check Most read Ptit Libé sport blog voyage

Disparition

Abonnés

Le créateur de mode japonais, installé à Paris depuis cinquante-six ans, est mort ce dimanche des suites du Covid.

Kenzo Takada, chez lui en 1978.
Kenzo Takada, chez lui en 1978. Photo Jean-Régis Roustan. Roger-Viollet

On avait appris qu’il avait été hospitalisé pour cause de Covid. Mais quelques jours plus tard, les nouvelles étaient meilleures, optimistes. Voilà qui confirmait son «éternelle jeunesse» légendaire. Las, Kenzo Takada, 81 ans (mais il en paraissait quinze de moins), est mort ce dimanche à l’hôpital américain de Neuilly-sur-Seine des suites du Covid-19. De quoi jeter un froid sur la fashion week parisienne qui s’échine depuis une semaine à relever avec panache le gant de la créativité malgré l’époque plombée.

A lire aussiAu Japonais absent

Créatif, Kenzo Takada l’a été, beaucoup et avec joie. L’entrain, l’exubérance, c’était même sa signature. S’il s’était évidemment calmé avec l’âge, il était connu pour avoir été un redoutable fêtard, qui adorait danser, se déguiser (ou se mettre à poil), pilier des nuits parisiennes pendant les années 70 et 80, au Pimm’s, au Sept et au Palace, avec Grace Jones ou Loulou de la Falaise pour alter egos. Sa mode l’était tout autant, flamboyante, multiethn

Libération réserve cet article à ses abonnés
Pour poursuivre votre lecture, abonnez-vous

devices-picture

1€ le 1er mois

Soutenez notre indépendance

  • Tous nos articles en illimité
  • Le journal en version numérique le jour de sa parution
  • Nos newsletters exclusives
  • CheckNews, notre service de fact checking
Sabrina Champenois

Un mot à ajouter ?

Let's block ads! (Why?)

Read Again Search Direct User 100 Zoom Quiz ? Libération Diamond clock xml netvibes live anciens-numeros data desintox diapo edito election-2017 election essentiel generique idee jo next portrait radio son alerte top-100 star une video podcast scroll politiques food sciences Facebook Whatsapp Twitter insta vine later glass Mail print Facebook Instagram Twitter Calendar download cross zoom-in zoom-out previous next truck visa mastercard user-libe user-doc user-doc-list user-mail user-security user-settings user-shop user-star Ruban abo Losange orange List check Most read Ptit Libé sport blog voyage

Disparition

Abonnés

Le créateur de mode japonais, installé à Paris depuis cinquante-six ans, est mort ce dimanche des suites du Covid.

Kenzo Takada, chez lui en 1978.
Kenzo Takada, chez lui en 1978. Photo Jean-Régis Roustan. Roger-Viollet

On avait appris qu’il avait été hospitalisé pour cause de Covid. Mais quelques jours plus tard, les nouvelles étaient meilleures, optimistes. Voilà qui confirmait son «éternelle jeunesse» légendaire. Las, Kenzo Takada, 81 ans (mais il en paraissait quinze de moins), est mort ce dimanche à l’hôpital américain de Neuilly-sur-Seine des suites du Covid-19. De quoi jeter un froid sur la fashion week parisienne qui s’échine depuis une semaine à relever avec panache le gant de la créativité malgré l’époque plombée.

A lire aussiAu Japonais absent

Créatif, Kenzo Takada l’a été, beaucoup et avec joie. L’entrain, l’exubérance, c’était même sa signature. S’il s’était évidemment calmé avec l’âge, il était connu pour avoir été un redoutable fêtard, qui adorait danser, se déguiser (ou se mettre à poil), pilier des nuits parisiennes pendant les années 70 et 80, au Pimm’s, au Sept et au Palace, avec Grace Jones ou Loulou de la Falaise pour alter egos. Sa mode l’était tout autant, flamboyante, multiethn

Libération réserve cet article à ses abonnés
Pour poursuivre votre lecture, abonnez-vous

devices-picture

1€ le 1er mois

Soutenez notre indépendance

  • Tous nos articles en illimité
  • Le journal en version numérique le jour de sa parution
  • Nos newsletters exclusives
  • CheckNews, notre service de fact checking
Sabrina Champenois

Un mot à ajouter ?

Let's block ads! (Why?)



Bagikan Berita Ini

0 Response to "Kenzo Takada, la fête infinie - Culture / Next - Next"

Post a Comment

Powered by Blogger.