
Comme un air de déjà-vu... En novembre 1995, la famille royale, effarée, découvrait les confessions de Lady Di sur la BBC où elle racontait sans fard son mariage « à trois », sa propre infidélité et sa dépression. Un séisme. Vingt-six ans plus tard, l'histoire serait-elle en train de bégayer? Ce dimanche soir, c'est le fils de la « princesse des cœurs », Harry et son épouse Meghan Markle qui répondront sur CBS aux questions de leur amie Oprah Winfrey, la papesse incontestée des talk-shows aux Etats-Unis. Deux heures d'entretien – le premier accordé par le couple depuis sa rupture avec Buckingham il y a un an – enregistré dans leur somptueuse villa de Santa Barbara en Californie qui seront ensuite diffusées lundi soir sur une chaîne britannique et en France sur TMC.
Les premiers extraits dévoilés par CBS (qui aurait déboursé selon le Wall Street Journal entre 7 et 9 millions de dollars pour cette exclusivité mondiale) laissent craindre le pire aux Windsor. Meghan Markle ne semble pas avoir l'intention d'épargner sa belle famille : « Je ne sais pas comment ils pourraient s'attendre, après tout ce temps, à ce que nous puissions garder le silence, alors que la Firme joue un rôle actif pour colporter des mensonges sur nous », assène-elle en faisant référence à ce surnom peu glorieux de la monarchie. Il est vrai qu'entre « la Firme » et l'ex-comédienne de 39 ans, la température n'a cessé de monter.
Mercredi, le Times révélait que la duchesse de Sussex aurait fait l'objet en octobre 2018 d'une plainte pour harcèlement contre des assistants. Toujours selon le journal britannique, Harry aurait fait pression pour étouffer l'affaire. Buckingham, pourtant habituellement très discret, se fendait dans la foulée d'un communiqué pour se déclarer « très préoccupé » et annoncer l'ouverture d'une enquête. Harry et Meghan ont alors envoyé leurs avocats au front. Et ces derniers d'affirmer que le quotidien était « utilisé par Buckingham Palace pour colporter un récit totalement faux » avant la diffusion de l'entretien. Ambiance...
«Aucun sujet ne sera écarté»
Entre les Windsor et les Sussex, la guerre serait-elle déclarée? L'interview donne en tout cas des sueurs froides à la famille royale. « Aucun sujet ne sera écarté », prévient Oprah Winfrey. La presse à scandale devrait aussi en prendre pour son grade. « Ma plus grande inquiétude était que l'histoire soit en train de se répéter », a ainsi expliqué Harry, 36 ans, au sujet de sa femme se référant apparemment à la mort de sa mère, tuée en 1997 dans un accident à Paris alors qu'elle tentait d'échapper aux paparazzis. Clin d'œil au passé, pour l'interview, Meghan porte à son poignet un bracelet de Lady Di.
Reste que le couple aurait pu mieux choisir son moment. Vendredi, le prince Philip, 99 ans, époux de la reine et grand-père de Harry, opéré du cœur il y a deux semaines, a été transféré dans un hôpital privé de Londres. De quoi choquer les commentateurs et nombre de Britanniques. Quant à la reine, elle fera comme si de rien n'était : ce soir, elle s'exprimera sur la BBC pour la journée du Commonwealth. Sans doute une façon de rappeler qu'elle reste plus que jamais attachée au mantra de la famille royale : « Ne jamais se plaindre, ne jamais s'expliquer. »

Comme un air de déjà-vu... En novembre 1995, la famille royale, effarée, découvrait les confessions de Lady Di sur la BBC où elle racontait sans fard son mariage « à trois », sa propre infidélité et sa dépression. Un séisme. Vingt-six ans plus tard, l'histoire serait-elle en train de bégayer? Ce dimanche soir, c'est le fils de la « princesse des cœurs », Harry et son épouse Meghan Markle qui répondront sur CBS aux questions de leur amie Oprah Winfrey, la papesse incontestée des talk-shows aux Etats-Unis. Deux heures d'entretien – le premier accordé par le couple depuis sa rupture avec Buckingham il y a un an – enregistré dans leur somptueuse villa de Santa Barbara en Californie qui seront ensuite diffusées lundi soir sur une chaîne britannique et en France sur TMC.
Les premiers extraits dévoilés par CBS (qui aurait déboursé selon le Wall Street Journal entre 7 et 9 millions de dollars pour cette exclusivité mondiale) laissent craindre le pire aux Windsor. Meghan Markle ne semble pas avoir l'intention d'épargner sa belle famille : « Je ne sais pas comment ils pourraient s'attendre, après tout ce temps, à ce que nous puissions garder le silence, alors que la Firme joue un rôle actif pour colporter des mensonges sur nous », assène-elle en faisant référence à ce surnom peu glorieux de la monarchie. Il est vrai qu'entre « la Firme » et l'ex-comédienne de 39 ans, la température n'a cessé de monter.
Mercredi, le Times révélait que la duchesse de Sussex aurait fait l'objet en octobre 2018 d'une plainte pour harcèlement contre des assistants. Toujours selon le journal britannique, Harry aurait fait pression pour étouffer l'affaire. Buckingham, pourtant habituellement très discret, se fendait dans la foulée d'un communiqué pour se déclarer « très préoccupé » et annoncer l'ouverture d'une enquête. Harry et Meghan ont alors envoyé leurs avocats au front. Et ces derniers d'affirmer que le quotidien était « utilisé par Buckingham Palace pour colporter un récit totalement faux » avant la diffusion de l'entretien. Ambiance...
«Aucun sujet ne sera écarté»
Entre les Windsor et les Sussex, la guerre serait-elle déclarée? L'interview donne en tout cas des sueurs froides à la famille royale. « Aucun sujet ne sera écarté », prévient Oprah Winfrey. La presse à scandale devrait aussi en prendre pour son grade. « Ma plus grande inquiétude était que l'histoire soit en train de se répéter », a ainsi expliqué Harry, 36 ans, au sujet de sa femme se référant apparemment à la mort de sa mère, tuée en 1997 dans un accident à Paris alors qu'elle tentait d'échapper aux paparazzis. Clin d'œil au passé, pour l'interview, Meghan porte à son poignet un bracelet de Lady Di.
Reste que le couple aurait pu mieux choisir son moment. Vendredi, le prince Philip, 99 ans, époux de la reine et grand-père de Harry, opéré du cœur il y a deux semaines, a été transféré dans un hôpital privé de Londres. De quoi choquer les commentateurs et nombre de Britanniques. Quant à la reine, elle fera comme si de rien n'était : ce soir, elle s'exprimera sur la BBC pour la journée du Commonwealth. Sans doute une façon de rappeler qu'elle reste plus que jamais attachée au mantra de la famille royale : « Ne jamais se plaindre, ne jamais s'expliquer. »
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