Le pianiste américain Nicholas Angelich, qui excellait autant dans le répertoire romantique que contemporain, est mort lundi à l’âge de 51 ans, a annoncé son agent mardi 19 avril, provoquant une pluie d’hommages dans le monde de la musique classique.
« Américain de naissance, mais installé à Paris, Nicholas souffrait d’une maladie respiratoire », a expliqué dans un communiqué l’agence artistique Jacques Thelen, en rappelant que Nicholas Angelich ne s’était plus produit sur scène depuis juin 2021.
« Comme ta sonorité, tu étais lumineux et tendre à la fois (…) Je ne jouerai plus jamais une note de Brahms sans être près de toi », a réagi sur Twitter le violoniste français Renaud Capuçon, en saluant la mémoire d’un « pianiste hors norme » et d’un « ami sensible, fidèle, généreux ».
Nicholas, Comme ta sonorité,tu étais lumineux et tendre à la fois. Tu étais un pianiste hors norme,un ami sensible,… https://t.co/iaaQQYCfsJ
— RCapucon (@Renaud Capuçon)
Victoire du soliste instrumental de l’année en 2019
Angelich était un grand interprète des œuvres pour piano de Beethoven, Brahms et Liszt, mais aussi des compositeurs du XXe siècle, parmi lesquels Messiaen, Stockhausen, Boulez ou Bruno Mantovani. Il s’était produit avec de nombreux orchestres internationaux prestigieux, sous la direction de grands chefs, comme Charles Dutoit, sir Colin Davis, Kurt Masur ou Myung-whun Chung.
Sur disque, il avait notamment enregistré l’intégrale des Années de pèlerinage, de Liszt. Sa dernière parution date de septembre 2018, un enregistrement des concertos 4 & 5 de Beethoven avec l’Insula Orchestra et la cheffe d’orchestre Laurence Equilbey.
Aux Victoires de la musique classique, Nicholas Angelich avait reçu la Victoire du soliste instrumental de l’année en 2013 et en 2019. Né aux Etats-Unis en 1970, il avait donné son premier concert à 7 ans et était entré à 13 ans au Conservatoire national supérieur de Paris.
Le pianiste américain Nicholas Angelich, qui excellait autant dans le répertoire romantique que contemporain, est mort lundi à l’âge de 51 ans, a annoncé son agent mardi 19 avril, provoquant une pluie d’hommages dans le monde de la musique classique.
« Américain de naissance, mais installé à Paris, Nicholas souffrait d’une maladie respiratoire », a expliqué dans un communiqué l’agence artistique Jacques Thelen, en rappelant que Nicholas Angelich ne s’était plus produit sur scène depuis juin 2021.
« Comme ta sonorité, tu étais lumineux et tendre à la fois (…) Je ne jouerai plus jamais une note de Brahms sans être près de toi », a réagi sur Twitter le violoniste français Renaud Capuçon, en saluant la mémoire d’un « pianiste hors norme » et d’un « ami sensible, fidèle, généreux ».
Nicholas, Comme ta sonorité,tu étais lumineux et tendre à la fois. Tu étais un pianiste hors norme,un ami sensible,… https://t.co/iaaQQYCfsJ
— RCapucon (@Renaud Capuçon)
Victoire du soliste instrumental de l’année en 2019
Angelich était un grand interprète des œuvres pour piano de Beethoven, Brahms et Liszt, mais aussi des compositeurs du XXe siècle, parmi lesquels Messiaen, Stockhausen, Boulez ou Bruno Mantovani. Il s’était produit avec de nombreux orchestres internationaux prestigieux, sous la direction de grands chefs, comme Charles Dutoit, sir Colin Davis, Kurt Masur ou Myung-whun Chung.
Sur disque, il avait notamment enregistré l’intégrale des Années de pèlerinage, de Liszt. Sa dernière parution date de septembre 2018, un enregistrement des concertos 4 & 5 de Beethoven avec l’Insula Orchestra et la cheffe d’orchestre Laurence Equilbey.
Aux Victoires de la musique classique, Nicholas Angelich avait reçu la Victoire du soliste instrumental de l’année en 2013 et en 2019. Né aux Etats-Unis en 1970, il avait donné son premier concert à 7 ans et était entré à 13 ans au Conservatoire national supérieur de Paris.
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