Ce Tarbais de 28 ans, gamer professionnel, aura marqué l'histoire du programme de France 2, en battant plusieurs records. Battu ce jeudi soir, il revient sur cette expérience d'un mois et demi et sur cette "chance inouïe dans le monde actuel d'avoir pu gagner 358000€ grâce à des paroles de chanson". Entretien.
Six semaines après avoir fait ses premiers pas devant les caméras de France 2, Louis, Tarbais de 28 ans, battu par Charlotte, a quitté le plateau de N'Oubliez pas les paroles ce jeudi soir, après avoir signé sa 65e victoire (un record), décrochant sa 46e clochette (autre record) et finalisé sa cagnotte à 358000€.
A lire aussi : PORTRAIT. "N'oubliez pas les paroles" : gamer, diplômé d'orthophonie... Qui est Louis, le Tarbais maestro de l'émission ?
Louis, s'en aller après 65 victoires, pour le Bigourdan que vous êtes, c'est un joli clin d'œil...
Je n'ai pas fini d'en entendre parler... (rires) Pendant le parcours, les gens me disaient que ce serait bien d'arriver à ce chiffre-là pour mon département. Peut-être vont-ils être déçus que ça s'arrête là-dessus. mais je suis content. je n'ai pas grand-chose à regretter.
Est-ce simple de perdre après avoir enchaîné autant de succès?
Je suis assez bon joueur, même si j'aime gagner. Il n'y a pas de tristesse. j'ai perdu contre quelqu'un de très fort et qui mérite sa victoire. j'aurais signé tout de suite pour un tel parcours. Je ne vais pas faire la fine bouche et je souhaite à Charlotte d'en faire de même.
Au final, c'est une chanson de Nolwen Leroy qui vous perd...
Ce n'est pas l'artiste que je maîtrise le mieux. Mais comme je savais que mon adversaire était forte, j'ai essayé. Il m'a manqué un mot sur cette chanson que j'aurais dû réviser. À la sortie, je suis quand même content. Il fallait que ça arrive. Après il y a toujours des si... J'ai la chance inouïe d'être 8e dans l'histoire de ce programme. Il n'y a pas de regret.
C'est un truc de fou. J'ai du mal à me rendre compte à quel point c'est exceptionnel. Ça change tout, mon regard sur l'avenir. Je n'aurais jamais pensé rester là aussi longtemps.
Les émissions étant enregistrées, vous saviez que c'était la fin pour vous...
Oui mais j'ai toujours communiqué de manière à maintenir le suspense. C'était une situation assez spécifique, d'être encouragé par les gens à aller plus loin, alors que je savais que c'était fini...
À froid, quel regard portez-vous sur votre parcours?
C'est un truc de fou. J'ai du mal à me rendre compte à quel point c'est exceptionnel. Ça change tout, mon regard sur l'avenir. Je n'aurais jamais pensé rester là aussi longtemps. Là, je vais faire une petite pause car pendant mon parcours je continuais à réviser, en mode dernière minute. Mais je vais vite remettre le nez dedans pour essayer d'être compétitif et dur à battre pour la fin d'année et les Masters.
Avez-vous regardé les émissions?
Oui, avec curiosité et aussi parce que ma femme voulait les voir. J'étais soucieux de l'image que je pouvais renvoyer, de mes attitudes. Au final, c'est relativement sympa. Je me suis retrouvé dans ce que j'ai vu, assez naturel, pas trop stressé avec des tentatives d'humour plus ou moins réussies... (rires)
Au bout, il y a aussi un joli chèque...
Oui, c'est assez astronomique pour moi. Dans le monde actuel, c'est une chance totalement inouïe. Notre maison prend forme, sans même avoir besoin de prêt. Certes, je n'ai peut-être pas battu le record de gain mais j'ai un peu marqué l'histoire de ce programme, avec 11 clochettess de plus que le précédent record et une émission supplémentaire. Sur celle où je bats le record, je gagne 20000€. Puis tout s'arrête juste derrière. Ca a été beaucoup d'émotions... Ces records seront sans doute battus très vite, car le niveau monte mais c'est une vraie fierté.
Partagée par vos proches et la Bigorre...
Pour eux aussi, ça a été un peu les montagnes russes. mes parents sont fiers. Chaque soir, leur téléphone n'arrêtait pas de sonner. Ils seront sans doute heureux, aussi, de passer à autre chose... Je suis très fier de voir comment j'ai été porté par les Haut-Pyrénéens. Des anciens instituteurs, des professeurs m'ont contacté. Quelque part, la Bigorre s'est sentie représentée. J'ai même gagné 20.000€ sur une chanson de Boulevard des airs. C'était l'accord parfait, même si ça me mettait la pression. Derrière, les frères Dasque (membres du groupe) m'ont félicité... Je n'aurais jamais osé rêver à tout ça.
Ce Tarbais de 28 ans, gamer professionnel, aura marqué l'histoire du programme de France 2, en battant plusieurs records. Battu ce jeudi soir, il revient sur cette expérience d'un mois et demi et sur cette "chance inouïe dans le monde actuel d'avoir pu gagner 358000€ grâce à des paroles de chanson". Entretien.
Six semaines après avoir fait ses premiers pas devant les caméras de France 2, Louis, Tarbais de 28 ans, battu par Charlotte, a quitté le plateau de N'Oubliez pas les paroles ce jeudi soir, après avoir signé sa 65e victoire (un record), décrochant sa 46e clochette (autre record) et finalisé sa cagnotte à 358000€.
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Louis, s'en aller après 65 victoires, pour le Bigourdan que vous êtes, c'est un joli clin d'œil...
Je n'ai pas fini d'en entendre parler... (rires) Pendant le parcours, les gens me disaient que ce serait bien d'arriver à ce chiffre-là pour mon département. Peut-être vont-ils être déçus que ça s'arrête là-dessus. mais je suis content. je n'ai pas grand-chose à regretter.
Est-ce simple de perdre après avoir enchaîné autant de succès?
Je suis assez bon joueur, même si j'aime gagner. Il n'y a pas de tristesse. j'ai perdu contre quelqu'un de très fort et qui mérite sa victoire. j'aurais signé tout de suite pour un tel parcours. Je ne vais pas faire la fine bouche et je souhaite à Charlotte d'en faire de même.
Au final, c'est une chanson de Nolwen Leroy qui vous perd...
Ce n'est pas l'artiste que je maîtrise le mieux. Mais comme je savais que mon adversaire était forte, j'ai essayé. Il m'a manqué un mot sur cette chanson que j'aurais dû réviser. À la sortie, je suis quand même content. Il fallait que ça arrive. Après il y a toujours des si... J'ai la chance inouïe d'être 8e dans l'histoire de ce programme. Il n'y a pas de regret.
C'est un truc de fou. J'ai du mal à me rendre compte à quel point c'est exceptionnel. Ça change tout, mon regard sur l'avenir. Je n'aurais jamais pensé rester là aussi longtemps.
Les émissions étant enregistrées, vous saviez que c'était la fin pour vous...
Oui mais j'ai toujours communiqué de manière à maintenir le suspense. C'était une situation assez spécifique, d'être encouragé par les gens à aller plus loin, alors que je savais que c'était fini...
À froid, quel regard portez-vous sur votre parcours?
C'est un truc de fou. J'ai du mal à me rendre compte à quel point c'est exceptionnel. Ça change tout, mon regard sur l'avenir. Je n'aurais jamais pensé rester là aussi longtemps. Là, je vais faire une petite pause car pendant mon parcours je continuais à réviser, en mode dernière minute. Mais je vais vite remettre le nez dedans pour essayer d'être compétitif et dur à battre pour la fin d'année et les Masters.
Avez-vous regardé les émissions?
Oui, avec curiosité et aussi parce que ma femme voulait les voir. J'étais soucieux de l'image que je pouvais renvoyer, de mes attitudes. Au final, c'est relativement sympa. Je me suis retrouvé dans ce que j'ai vu, assez naturel, pas trop stressé avec des tentatives d'humour plus ou moins réussies... (rires)
Au bout, il y a aussi un joli chèque...
Oui, c'est assez astronomique pour moi. Dans le monde actuel, c'est une chance totalement inouïe. Notre maison prend forme, sans même avoir besoin de prêt. Certes, je n'ai peut-être pas battu le record de gain mais j'ai un peu marqué l'histoire de ce programme, avec 11 clochettess de plus que le précédent record et une émission supplémentaire. Sur celle où je bats le record, je gagne 20000€. Puis tout s'arrête juste derrière. Ca a été beaucoup d'émotions... Ces records seront sans doute battus très vite, car le niveau monte mais c'est une vraie fierté.
Partagée par vos proches et la Bigorre...
Pour eux aussi, ça a été un peu les montagnes russes. mes parents sont fiers. Chaque soir, leur téléphone n'arrêtait pas de sonner. Ils seront sans doute heureux, aussi, de passer à autre chose... Je suis très fier de voir comment j'ai été porté par les Haut-Pyrénéens. Des anciens instituteurs, des professeurs m'ont contacté. Quelque part, la Bigorre s'est sentie représentée. J'ai même gagné 20.000€ sur une chanson de Boulevard des airs. C'était l'accord parfait, même si ça me mettait la pression. Derrière, les frères Dasque (membres du groupe) m'ont félicité... Je n'aurais jamais osé rêver à tout ça.
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