« Grotesque », « pas convaincant », « mou », « sans relief », « navet à 65 millions d’euros »… La sauce sanglier de la superproduction gauloise Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu, a comme un goût amer. Alors qu’il est venu présenter à Cannes le long métrage de Just Philippot, Acide, un cauchemar écologique, Guillaume Canet a dû justifier les performances et commenter les critiques liées à son film. Alors que les entrées ne sont pas à la hauteur des espérances (et surtout du seuil de rentabilité avec 1,4 million d’entrées, soit en dessous des 6 millions nécessaires), le cinéaste estime que son interprétation du village d’irréductibles n’est en rien un échec.
« Non. Ce n’est absolument pas un échec. Il a été vendu dans le monde entier et a fait à ce jour plus de deux millions d’entrées à l’international, avec des cartons en Europe, en Pologne par exemple. On oublie qu’avant qu’Avatar ne lance en grand le mouvement au sortir de la pandémie, peu de films faisaient ces chiffres-là. Je suis très heureux des retours que j’ai des gens dans la rue, surtout des enfants », a défendu le réalisateur dans les colonnes du Journal du Dimanche hier.
« Canet bashing »
Le réalisateur a donc décidé de faire le dos rond face aux critiques. « Ce n’est jamais agréable mais je n’y peux rien. Moi, j’ai travaillé pendant cinq ans pour mener à bien ce que je voulais faire : un grand spectacle d’aventure. Ça plaît à certains, pas à d’autres. Les meilleures notes ou critiques ne vont pas toujours aux films qui attirent le plus de spectateurs », a-t-il lancé.
Et le « Canet bashing » dont il serait victime « fait partie du métier, on s’y fait avec le temps. J’espère que je ferai un autre film qui plaira davantage à mes détracteurs et les fera changer d’avis sur mon travail. » Acide, de Just Philippot avec Guillaume Canet et Lætitia Dosch, sortira le 23 septembre en salle.
« Grotesque », « pas convaincant », « mou », « sans relief », « navet à 65 millions d’euros »… La sauce sanglier de la superproduction gauloise Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu, a comme un goût amer. Alors qu’il est venu présenter à Cannes le long métrage de Just Philippot, Acide, un cauchemar écologique, Guillaume Canet a dû justifier les performances et commenter les critiques liées à son film. Alors que les entrées ne sont pas à la hauteur des espérances (et surtout du seuil de rentabilité avec 1,4 million d’entrées, soit en dessous des 6 millions nécessaires), le cinéaste estime que son interprétation du village d’irréductibles n’est en rien un échec.
« Non. Ce n’est absolument pas un échec. Il a été vendu dans le monde entier et a fait à ce jour plus de deux millions d’entrées à l’international, avec des cartons en Europe, en Pologne par exemple. On oublie qu’avant qu’Avatar ne lance en grand le mouvement au sortir de la pandémie, peu de films faisaient ces chiffres-là. Je suis très heureux des retours que j’ai des gens dans la rue, surtout des enfants », a défendu le réalisateur dans les colonnes du Journal du Dimanche hier.
« Canet bashing »
Le réalisateur a donc décidé de faire le dos rond face aux critiques. « Ce n’est jamais agréable mais je n’y peux rien. Moi, j’ai travaillé pendant cinq ans pour mener à bien ce que je voulais faire : un grand spectacle d’aventure. Ça plaît à certains, pas à d’autres. Les meilleures notes ou critiques ne vont pas toujours aux films qui attirent le plus de spectateurs », a-t-il lancé.
Et le « Canet bashing » dont il serait victime « fait partie du métier, on s’y fait avec le temps. J’espère que je ferai un autre film qui plaira davantage à mes détracteurs et les fera changer d’avis sur mon travail. » Acide, de Just Philippot avec Guillaume Canet et Lætitia Dosch, sortira le 23 septembre en salle.
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