« Il n’y a pas eu de contrainte, de limite. Elle a répondu très directement aux questions », assure Audrey Crespo-Mara à 20 Minutes. Pamela Anderson, qui a publié ses mémoires, a accordé un entretien exclusif à Sept à Huit. Il fera l’objet, ce dimanche, du portrait de la semaine de l’émission de TF1 qui sera diffusé à 19h30. La journaliste revient pour nous sur le déroulement de cette interview.
Pamela Anderson vous a-t-elle surprise ?
Elle est très loin de l’image de bimbo superficielle et écervelée qu’on peut avoir d’elle. Elle est évidemment beaucoup plus complexe que cela. Elle est intelligente, intéressante, sa vie est pleine d’épreuves. A 55 ans, elle a à cœur de raconter qui elle est réellement. Sa vie est passionnante. L’image que l’on a d’elle, à ses débuts nue en couverture de Playboy ou courant au ralenti sur les plages de Malibu, lui a permis de devenir une star planétaire mais l’a aussi consumée.
A-t-elle imposé des conditions particulières ?
La seule condition était que j’aille la rejoindre à Los Angeles, où elle vit, puisqu’elle ne se déplaçait pas à Paris. Mais il n’y a eu aucune contrainte, aucune interrogation sur les questions que je pouvais lui poser.
Il n’y a donc pas eu de question interdite ?
Pas du tout. Elle sort ses mémoires, donc elle évoque tout. Elle parle des épreuves de sa vie. Elle est une enfant blessée. Son père était alcoolique et violent envers sa mère. A 5 ou 6 ans, sa babysitter a abusé d’elle, puis elle a subi un autre viol à l’âge de 12 ans par un homme qui en avait 25. Elle a voulu se libérer de ce corps abusé en l’exposant à la Une de Playboy, cela peut paraître paradoxal mais, pour elle, c’était une manière d’inverser les choses et de faire ce qu’elle voulait de son corps. Dans sa vie sentimentale, elle s’est éprise de bad boys, d’hommes qui ressemblaient à son père, sauf qu’elle, elle, est partie dès les premiers coups. Elle raconte une nuit très violente avec Tommy Lee, le père de ses enfants et premier grand amour. Elle l’a quitté, ils ont divorcé, il a été condamné à six mois de prison pour violences conjugales. Elle dit : « Ma mère a choisi mon père, moi, j’ai choisi mes enfants. »
Elle parle de son image de « bimbo » ?
Oui, elle s’est rendu compte qu’elle lui a échappé et en a eu marre. Elle a voulu utiliser cette image qui la desservait pour mettre en lumière la cause animale qui lui tient tant à cœur. De femme objet pour les hommes, elle est devenue femme engagée pour les animaux. Elle s’est servie de sa médiatisation pour faire avancer les choses. Elle est devenue la Brigitte Bardot d’outre-Atlantique et aujourd’hui, elle estime être davantage respectée. C’est ce chemin de vie qui était passionnant d’évoquer avec elle.
Elle a aussi répondu aux questions sur son ex-compagnon Adil Rami ?
Je ne lui ai pas posé de question à ce sujet. il y avait tant de choses à raconter qui ont eu beaucoup plus d’importance dans sa vie qu’on n’a pas évoqué ça.
« Il n’y a pas eu de contrainte, de limite. Elle a répondu très directement aux questions », assure Audrey Crespo-Mara à 20 Minutes. Pamela Anderson, qui a publié ses mémoires, a accordé un entretien exclusif à Sept à Huit. Il fera l’objet, ce dimanche, du portrait de la semaine de l’émission de TF1 qui sera diffusé à 19h30. La journaliste revient pour nous sur le déroulement de cette interview.
Pamela Anderson vous a-t-elle surprise ?
Elle est très loin de l’image de bimbo superficielle et écervelée qu’on peut avoir d’elle. Elle est évidemment beaucoup plus complexe que cela. Elle est intelligente, intéressante, sa vie est pleine d’épreuves. A 55 ans, elle a à cœur de raconter qui elle est réellement. Sa vie est passionnante. L’image que l’on a d’elle, à ses débuts nue en couverture de Playboy ou courant au ralenti sur les plages de Malibu, lui a permis de devenir une star planétaire mais l’a aussi consumée.
A-t-elle imposé des conditions particulières ?
La seule condition était que j’aille la rejoindre à Los Angeles, où elle vit, puisqu’elle ne se déplaçait pas à Paris. Mais il n’y a eu aucune contrainte, aucune interrogation sur les questions que je pouvais lui poser.
Il n’y a donc pas eu de question interdite ?
Pas du tout. Elle sort ses mémoires, donc elle évoque tout. Elle parle des épreuves de sa vie. Elle est une enfant blessée. Son père était alcoolique et violent envers sa mère. A 5 ou 6 ans, sa babysitter a abusé d’elle, puis elle a subi un autre viol à l’âge de 12 ans par un homme qui en avait 25. Elle a voulu se libérer de ce corps abusé en l’exposant à la Une de Playboy, cela peut paraître paradoxal mais, pour elle, c’était une manière d’inverser les choses et de faire ce qu’elle voulait de son corps. Dans sa vie sentimentale, elle s’est éprise de bad boys, d’hommes qui ressemblaient à son père, sauf qu’elle, elle, est partie dès les premiers coups. Elle raconte une nuit très violente avec Tommy Lee, le père de ses enfants et premier grand amour. Elle l’a quitté, ils ont divorcé, il a été condamné à six mois de prison pour violences conjugales. Elle dit : « Ma mère a choisi mon père, moi, j’ai choisi mes enfants. »
Elle parle de son image de « bimbo » ?
Oui, elle s’est rendu compte qu’elle lui a échappé et en a eu marre. Elle a voulu utiliser cette image qui la desservait pour mettre en lumière la cause animale qui lui tient tant à cœur. De femme objet pour les hommes, elle est devenue femme engagée pour les animaux. Elle s’est servie de sa médiatisation pour faire avancer les choses. Elle est devenue la Brigitte Bardot d’outre-Atlantique et aujourd’hui, elle estime être davantage respectée. C’est ce chemin de vie qui était passionnant d’évoquer avec elle.
Elle a aussi répondu aux questions sur son ex-compagnon Adil Rami ?
Je ne lui ai pas posé de question à ce sujet. il y avait tant de choses à raconter qui ont eu beaucoup plus d’importance dans sa vie qu’on n’a pas évoqué ça.
Bagikan Berita Ini
0 Response to "« Sept à Huit » : « Pamela Anderson n’a interdit aucune question », assure Audrey Crespo-Mara - 20 Minutes"
Post a Comment