Durel, vainqueur de "The Voice Kids 2023" : "Je ne suis plus timide, c’est fini !" - TF1 INFO

Tu as remercié ta mère, "la 6e coach" de l’émission selon toi. C’est elle qui t'a transmis la passion du chant ?

C’est un peu tout le monde dans ma famille. Mon oncle chante à l’église, il aimait bien me faire chanter des chansons religieuses. J’ai commencé la danse et c’est ce qui m’a donné envie de me mettre au chant.

On ne t'a pas vu beaucoup danser dans l’émission…

J’aurais bien aimé, mais je pense que les chansons que j’ai interprétées m’ont permis de gagner.

Comme Lucie, Ilyana, Lou-Agathe, tu as réussi à t’approprier des textes profonds, très adultes, qui demandent un vécu qu’on n’a pas forcément à 14 ans. Comment expliques-tu ce pouvoir d’interprétation que tu as ?

Les jeunes ont beaucoup d’imagination. Avec la mienne, j’essaie de me mettre à la place du personnage, de comprendre comment il a vécu son histoire. Pour "La Bohème" de Charles Aznavour par exemple, j’ai imaginé les cafés voisins dont il parle. C’est ce que j’ai en tête quand je chante.

Edith Piaf, Charles Aznavour… Ce sont des chanteurs que tu écoutes quand tu vas au collège ?

Pas du tout ! Mais je n’écoute pas de musique en fait… Sauf si je dois l’apprendre, si je suis à une fête. Je regarde beaucoup de séries en revanche. J’adore tout ce qui est fantastique, avec des pouvoirs surnaturels, de l’action, du sang… En ce moment, je regarde Vampire Diaries et The Originals. Je n’accroche pas à The Walking Dead mais elle est quand même incroyable. Jouer dedans, c’est incroyable aussi (il est au générique du spin-off tourné à Paris, ndlr) !

Tu es le premier de la saison à avoir fait pleurer Slimane. Il dit qu’il s’est reconnu en toi. Tu parles d’un lien entre père et fils. Que retiens-tu de ta rencontre avec lui ?

Qu’il faut profiter du moment ! Il me répétait à chaque étape : "Si tu es éliminé, sache que je suis fier de toi".

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