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La justice s’est saisie du dossier. Dans un article paru ce jeudi 3 août, le média actu.fr rapporte que Lomepal, rappeur à succès originaire du XIIIe arrondissement de Paris, fait l’objet d’une enquête ouverte. Une information confirmée auprès de Libération par le parquet de Paris. L’interprète de «Yeux disent», «Trop beau» ou encore «Decrescendo» est accusé de viol pour des faits survenus à l’étranger en 2017.
«Le parquet de Paris a confié une enquête en préliminaire du chef de viol au 3e district de la police judiciaire (DPJ) après une plainte déposée en 2020 pour des faits survenus en 2017 à l’étranger», indique le ministère public à actu.fr. Selon le Parisien, les faits dont le rappeur est accusé se seraient déroulés à New York et la plaignante serait une connaissance du rappeur. Les investigations sont en cours.
«Je sais ce que j’ai fait et ce que je n’ai pas fait»
L’intéressé a décidé de prendre la parole en fin d’après-midi sur Instagram, démentant les accusations «avec certitude» : «Est-ce que j’ai forcé qui que ce soit à faire quoi que ce soit ? Non. Est-ce qu’il y a eu des choses illégales ? Non.», énumère-t-il.
Pour sa défense, il évoque des «incompréhensions, des perceptions différentes» lors de ses «nombreuses relations» en début de carrière. Et assure : «Je répondrai à la justice lorsqu’elle m’interrogera, je suis serein […] parce que je sais ce que j’ai fait et ce que je n’ai pas fait.»
En juillet, déjà, Antoine Valentinelli, de son vrai nom, agitait les réseaux sociaux. Jenna Boulmedaïs, chanteuse, écrivait à son sujet sur les réseaux sociaux : «Cela fait maintenant deux ans que j’entends, dans le milieu de la musique, des témoignages de femmes ayant subi les gestes déplacés et non désirés d’Antoine Lomepal».
Indignée, la jeune femme insistait : «Toute l’industrie musicale est au courant. Ce silence n’est littéralement plus possible». Dénonçant la présence du rappeur en tête d’affiche de plusieurs festivals, elle affirmait : «C’est le cœur en miettes que j’entends les fans hurler ses paroles de chanson sans même savoir quel genre d’homme il est».
Lomepal, de son côté, évoque dans son communiqué des «histoires délirantes et inventées de toutes pièces qui circulent dans l’industrie musicale […]. Tout cela est absurde et faux. Ça n’a simplement jamais existé».
Mis à jour : à 18 h 17, avec la réponse de Lomepal.
La justice s’est saisie du dossier. Dans un article paru ce jeudi 3 août, le média actu.fr rapporte que Lomepal, rappeur à succès originaire du XIIIe arrondissement de Paris, fait l’objet d’une enquête ouverte. Une information confirmée auprès de Libération par le parquet de Paris. L’interprète de «Yeux disent», «Trop beau» ou encore «Decrescendo» est accusé de viol pour des faits survenus à l’étranger en 2017.
«Le parquet de Paris a confié une enquête en préliminaire du chef de viol au 3e district de la police judiciaire (DPJ) après une plainte déposée en 2020 pour des faits survenus en 2017 à l’étranger», indique le ministère public à actu.fr. Selon le Parisien, les faits dont le rappeur est accusé se seraient déroulés à New York et la plaignante serait une connaissance du rappeur. Les investigations sont en cours.
«Je sais ce que j’ai fait et ce que je n’ai pas fait»
L’intéressé a décidé de prendre la parole en fin d’après-midi sur Instagram, démentant les accusations «avec certitude» : «Est-ce que j’ai forcé qui que ce soit à faire quoi que ce soit ? Non. Est-ce qu’il y a eu des choses illégales ? Non.», énumère-t-il.
Pour sa défense, il évoque des «incompréhensions, des perceptions différentes» lors de ses «nombreuses relations» en début de carrière. Et assure : «Je répondrai à la justice lorsqu’elle m’interrogera, je suis serein […] parce que je sais ce que j’ai fait et ce que je n’ai pas fait.»
En juillet, déjà, Antoine Valentinelli, de son vrai nom, agitait les réseaux sociaux. Jenna Boulmedaïs, chanteuse, écrivait à son sujet sur les réseaux sociaux : «Cela fait maintenant deux ans que j’entends, dans le milieu de la musique, des témoignages de femmes ayant subi les gestes déplacés et non désirés d’Antoine Lomepal».
Indignée, la jeune femme insistait : «Toute l’industrie musicale est au courant. Ce silence n’est littéralement plus possible». Dénonçant la présence du rappeur en tête d’affiche de plusieurs festivals, elle affirmait : «C’est le cœur en miettes que j’entends les fans hurler ses paroles de chanson sans même savoir quel genre d’homme il est».
Lomepal, de son côté, évoque dans son communiqué des «histoires délirantes et inventées de toutes pièces qui circulent dans l’industrie musicale […]. Tout cela est absurde et faux. Ça n’a simplement jamais existé».
Mis à jour : à 18 h 17, avec la réponse de Lomepal.
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