Après le soutien très commenté d'une soixantaine d'artistes au "dernier monstre sacré du cinéma", l'actrice Sophie Marceau a de nouveau déploré "la vulgarité et la provocation" de celui avec qui elle refuse de tourner depuis 1985.
Une "attitude" dénoncée depuis plus de 35 ans. Ce mercredi 27 décembre, l'actrice Sophie Marceau s'est exprimée sur la polémique politico-médiatique au cœur de laquelle se trouve Gérard Depardieu depuis la diffusion par Complément d'enquête d'images où il multiplie les propos misogynes et insultants envers des femmes et une fillette.
"La vulgarité et la provocation ont toujours été son fonds de commerce", a commenté l'actrice de 57 ans dans les colonnes de Paris-Match.
En 1985, Sophie Marceau et Gérard Depardieu ont partagé l'affiche de Police. À l'issue du tournage, l'actrice de 19 ans à l'époque avait déclaré publiquement - et l'avait répété dans Le Monde cet été - qu'elle "ne supportait pas son attitude, grossière et très déplacée". "Beaucoup de gens se sont alors retournés contre moi en me faisant passer pour la petite peste, s'est-elle rappelée bien des années plus tard. Et j’ai toujours refusé ensuite les films avec lui."
"Les femmes parlent"
Ce lundi, 56 personnalités du monde de la culture ont publié une tribune dans Le Figaro pour dénoncer le "lynchage" du "dernier monstre sacré du cinéma" - visé par trois plaintes pour viols et agressions sexuelles, mis en examen dans une des affaires et accusé d'agressions par 13 femmes dans une enquête de Mediapart.
"Aujourd'hui, on l'accuse de ce pour quoi on l'a encensé", a réagi Sophie Marceau, qui ne souhaite tout de même pas "lui tendre la perche ni l'enterrer".
Elle a ajouté: "Tout le monde riait avec lui, tout le monde l’aimait pour ça, tout le monde l’applaudissait pour ce qu’il était. Et tout le monde trouvait ça normal!"
La tribune a suscité l'indignation de bon nombre d'associations féministes et de personnalités politiques, y voyant par exemple "un crachat au visage des victimes de violences" qui peinent à faire entendre leur voix.
"Désormais, les femmes parlent", s'est félicitée Sophie Marceau. "Que tu sois Gérard Depardieu ou Maurice Pialat, tu ne traites pas les gens comme ça, point barre."
Après le soutien très commenté d'une soixantaine d'artistes au "dernier monstre sacré du cinéma", l'actrice Sophie Marceau a de nouveau déploré "la vulgarité et la provocation" de celui avec qui elle refuse de tourner depuis 1985.
Une "attitude" dénoncée depuis plus de 35 ans. Ce mercredi 27 décembre, l'actrice Sophie Marceau s'est exprimée sur la polémique politico-médiatique au cœur de laquelle se trouve Gérard Depardieu depuis la diffusion par Complément d'enquête d'images où il multiplie les propos misogynes et insultants envers des femmes et une fillette.
"La vulgarité et la provocation ont toujours été son fonds de commerce", a commenté l'actrice de 57 ans dans les colonnes de Paris-Match.
En 1985, Sophie Marceau et Gérard Depardieu ont partagé l'affiche de Police. À l'issue du tournage, l'actrice de 19 ans à l'époque avait déclaré publiquement - et l'avait répété dans Le Monde cet été - qu'elle "ne supportait pas son attitude, grossière et très déplacée". "Beaucoup de gens se sont alors retournés contre moi en me faisant passer pour la petite peste, s'est-elle rappelée bien des années plus tard. Et j’ai toujours refusé ensuite les films avec lui."
"Les femmes parlent"
Ce lundi, 56 personnalités du monde de la culture ont publié une tribune dans Le Figaro pour dénoncer le "lynchage" du "dernier monstre sacré du cinéma" - visé par trois plaintes pour viols et agressions sexuelles, mis en examen dans une des affaires et accusé d'agressions par 13 femmes dans une enquête de Mediapart.
"Aujourd'hui, on l'accuse de ce pour quoi on l'a encensé", a réagi Sophie Marceau, qui ne souhaite tout de même pas "lui tendre la perche ni l'enterrer".
Elle a ajouté: "Tout le monde riait avec lui, tout le monde l’aimait pour ça, tout le monde l’applaudissait pour ce qu’il était. Et tout le monde trouvait ça normal!"
La tribune a suscité l'indignation de bon nombre d'associations féministes et de personnalités politiques, y voyant par exemple "un crachat au visage des victimes de violences" qui peinent à faire entendre leur voix.
"Désormais, les femmes parlent", s'est félicitée Sophie Marceau. "Que tu sois Gérard Depardieu ou Maurice Pialat, tu ne traites pas les gens comme ça, point barre."
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