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« C'est un signe alarmant » : Adélaïde de Clermont-Tonnerre réagit à la venue du prince Harry après l'annonce du cancer du roi Charles III - Le Figaro

Adélaïde de Clermont-Tonnerre, directrice de la rédaction du magazine Point de vue était l’invitée de « C à vous » Tschaen Eric/Pool/ABACA / Tschaen Eric / Mischa Schoemaker/ABACA / Mischa Schoemaker

La nouvelle est tombée hier soir. Le successeur de la reine Elizabeth II est atteint d’une maladie grave, sept mois seulement après son couronnement. Si les premières déclarations se veulent rassurantes, l’arrivée de son fils inquiète dans « C à vous » ce mardi 6 février.

C’est l’annonce qui a affolé les Britanniques (et pas que). Buckingham Palace a annoncé, dans un communiqué publié ce lundi 5 février, que le roi Charles III était atteint d’un cancer. Si la nature de cette maladie n’est pour l’heure pas encore dévoilée, la royauté britannique a fait preuve d’une «transparence inédite», comme l’affirme Adélaïde de Clermont-Tonnerre, invitée dans l’émission «C à vous» ce mardi soir.

À découvrir

La directrice de la rédaction du magazine Point de vue, spécialisé dans les familles royales, a tenu à souligner le caractère exceptionnel de ce communiqué. «C’est une rupture totale, on n’avait jamais vu ça. [...] C’est vraiment un changement et un changement important.» Qu’il s’agisse du cancer de la moelle osseuse de la reine Elizabeth II ou encore le cancer du poumon de son père le roi Georges VI, tous deux avaient été passés sous silence par le Palais de Buckingham.

Un roi maudit

Mais en l’occurrence, le sort semble s’acharner sur le roi Charles III. Après avoir attendu près de cinquante ans l’accession au trône, et seulement sept mois après son couronnement, il se retrouve atteint d’une maladie grave. «On dit que les “Charles” c'est un très mauvais nom pour un règne [...] on se dit qu'il est quand même un peu maudit. Il a une succession de difficultés.»

«Ce qui est très favorable c’est que tout l’entourage du roi dit qu’il est très combatif, optimiste et que le cancer a été pris tôt», affirme la spécialiste royauté face à Anne-Elisabeth Lemoine avant d’ajouter : «Pour le moment ils sont très rassurants, il n’y a pas de vacance du pouvoir. Il continue à recevoir ces fameuses boîtes rouges, à faire ses entretiens hebdomadaires avec le premier ministre.»

Pourtant, une donnée semble inquiéter Adélaïde de Clermont-Tonnerre : la venue en catastrophe de son fils, le prince Harry, depuis Los Angeles. «Je trouve que c’est un signe relativement alarmant. Il est venu très vite. Alors il l’a appris il y a un peu plus longtemps que nous puisque le roi a personnellement appelé ses enfants mais il vient très vite», insiste-t-elle en mentionnant le fait que le père et le fils ne s’étaient pas adressé la parole depuis très longtemps. «Ils se sont à peine vus le jour du couronnement. Harry n’a pas vu son père quand il est venu cet été en Angleterre pour les procès contre les tabloïds.»

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Adélaïde de Clermont-Tonnerre, directrice de la rédaction du magazine Point de vue était l’invitée de « C à vous » Tschaen Eric/Pool/ABACA / Tschaen Eric / Mischa Schoemaker/ABACA / Mischa Schoemaker

La nouvelle est tombée hier soir. Le successeur de la reine Elizabeth II est atteint d’une maladie grave, sept mois seulement après son couronnement. Si les premières déclarations se veulent rassurantes, l’arrivée de son fils inquiète dans « C à vous » ce mardi 6 février.

C’est l’annonce qui a affolé les Britanniques (et pas que). Buckingham Palace a annoncé, dans un communiqué publié ce lundi 5 février, que le roi Charles III était atteint d’un cancer. Si la nature de cette maladie n’est pour l’heure pas encore dévoilée, la royauté britannique a fait preuve d’une «transparence inédite», comme l’affirme Adélaïde de Clermont-Tonnerre, invitée dans l’émission «C à vous» ce mardi soir.

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Mais en l’occurrence, le sort semble s’acharner sur le roi Charles III. Après avoir attendu près de cinquante ans l’accession au trône, et seulement sept mois après son couronnement, il se retrouve atteint d’une maladie grave. «On dit que les “Charles” c'est un très mauvais nom pour un règne [...] on se dit qu'il est quand même un peu maudit. Il a une succession de difficultés.»

«Ce qui est très favorable c’est que tout l’entourage du roi dit qu’il est très combatif, optimiste et que le cancer a été pris tôt», affirme la spécialiste royauté face à Anne-Elisabeth Lemoine avant d’ajouter : «Pour le moment ils sont très rassurants, il n’y a pas de vacance du pouvoir. Il continue à recevoir ces fameuses boîtes rouges, à faire ses entretiens hebdomadaires avec le premier ministre.»

Pourtant, une donnée semble inquiéter Adélaïde de Clermont-Tonnerre : la venue en catastrophe de son fils, le prince Harry, depuis Los Angeles. «Je trouve que c’est un signe relativement alarmant. Il est venu très vite. Alors il l’a appris il y a un peu plus longtemps que nous puisque le roi a personnellement appelé ses enfants mais il vient très vite», insiste-t-elle en mentionnant le fait que le père et le fils ne s’étaient pas adressé la parole depuis très longtemps. «Ils se sont à peine vus le jour du couronnement. Harry n’a pas vu son père quand il est venu cet été en Angleterre pour les procès contre les tabloïds.»

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