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« Danse avec les stars » : Nico Capone victime de grossophobie, TF1 bloque les commentaires sur TikTok - Le Parisien

« Ça va trop loin, les amis ! S’il vous plaît, j’ai une famille, soyez indulgents et respectueux, au moins pour eux », implore Nico Capone, la star des réseaux sociaux sur ses comptes. À moins de 24 heures de la diffusion de la première soirée de la saison 13 de « Danse avec les Stars », ce vendredi soir sur TF1, le candidat suivi par 27,7 millions d’abonnés sur TikTok a dû déjà faire face à une vague de haine en ligne. En cause ? Sa carrure qui lui a valu de nombreuses insultes grossophobes. Des messages postés sous les différentes publications de la Une ou le compte de « Danse avec les Stars », notamment sur Instagram. Critiquant son poids, ironisant sur sa participation à un concours de danse mais aussi pointant du doigt sa présence illégitime selon eux dans ce challenge très physique, des centaines de posts se sont accumulées depuis l’annonce de son nom.

Dès la conférence de présentation de « Danse avec les Stars », le 25 janvier dernier, TF1 a dû faire face à un flot de messages contre Nico Capone, qui avait déjà participé à l’émission « Mask Singer ». Et la chaîne a décidé de bloquer les commentaires sur les stories et les publications de ses comptes officiels TikTok et ceux du programme. « Nous avons mis en place un système de veille qui s’appelle Bodyguard, pour éviter tous débordements sur tous les contenus depuis plusieurs années. Il nous permet de mettre en place des alertes et de la modération », explique-t-on du côté de la chaîne privée.

Certaines personnalités ont mouillé la chemise pour défendre aussi le youtubeur suisse de 33 ans. Inès Vandamme, sa partenaire dans l’émission, s’est même emportée sur Instagram. La danseuse a répondu sèchement à une internaute qui accuse le programme de prôner « la culture du vide et la mauvaise santé ». « Mais stoooop ! Quel est l’intérêt d’écrire ce commentaire ? La culture du vide ? Vous en savez quelque chose ? Vous lui avez déjà parlé ? Vous vous faites une image en fonction des réseaux sociaux. Prôner la mauvaise santé ? Je mange avec lui tous les midis, il a l’assiette la plus équilibrée de la table ! Ne grignote jamais ! Vous n’êtes ni dans la vie, ni dans le corps des gens. Alors, apprenez le respect », tacle-t-elle.

« Je vois trop de gens juger si fort dans les commentaires… hâte que Nico fasse fermer quelques clapets »

L’épouse de Nico Capone, avec qui il réalise ses sketchs sur les réseaux sociaux, fait aussi front avec sa moitié « Hâte de te voir mon cœur, je sais que tu vas tout donner. Peu importe le résultat, l’important c’est le message que tu veux faire passer », a commenté Daniella Pinto, maman d’un petit garçon né en 2019. Nico Capone a reçu également des soutiens de certains de ses concurrents dans le jeu. « Tu vas tout déchirer », prédit Cristina Cordula. « Le meilleur ! Go go go », enchaîne Diane Leyre, Miss France 2022, également en lice dans le concours de danse de salon. Il peut également compter sur le réconfort d’une autre personnalité 2.0 de choix. « Je vois trop de gens juger si fort dans les commentaires… hâte que Nico fasse fermer quelques clapets », prédit Juju Fitcats, suivie par 3,3 millions d’abonnés sur Instagram.

Juridiquement que risquent les internautes alimentant des « raids » numériques de haine ? « Théoriquement, le cyberharcèlement est puni dans la loi par le Code pénal comme du harcèlement tout court, décrypte l’avocate Violaine De Filippis Abate, engagée dans le droit contre ce fleau et porte parole d’ « Osez le féminisme ». Le fait d’être dans une meute de harceleurs n’exempte pas un individu qui aurait même envoyé un seul message. Mais malheureusement dans la pratique, les enquêtes restent rares ou peu fournies après les dépôts de plainte ». Et de rajouter : « les gens se lâchent sur les réseaux sociaux et malheureusement la grossophobie est massivement présente. Ils catalysent la haine des individus les uns sur les autres »

Ce n’est pas la première fois que TF1 doit faire face à de tels propos grossophobes. Dans la dernière saison de la « Star Academy », la jeune Clara, 22 ans, qui assumait ses formes, a dû faire face à des tombereaux d’injures. « J’adore mon corps, pour moi, je suis comme ça, je me sens très bien comme ça, pour rien au monde je ne changerais, avait-elle réagi. Encore aujourd’hui, je me bats tous les jours et c’est un peu aussi pour ça que je suis là. »

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« Ça va trop loin, les amis ! S’il vous plaît, j’ai une famille, soyez indulgents et respectueux, au moins pour eux », implore Nico Capone, la star des réseaux sociaux sur ses comptes. À moins de 24 heures de la diffusion de la première soirée de la saison 13 de « Danse avec les Stars », ce vendredi soir sur TF1, le candidat suivi par 27,7 millions d’abonnés sur TikTok a dû déjà faire face à une vague de haine en ligne. En cause ? Sa carrure qui lui a valu de nombreuses insultes grossophobes. Des messages postés sous les différentes publications de la Une ou le compte de « Danse avec les Stars », notamment sur Instagram. Critiquant son poids, ironisant sur sa participation à un concours de danse mais aussi pointant du doigt sa présence illégitime selon eux dans ce challenge très physique, des centaines de posts se sont accumulées depuis l’annonce de son nom.

Dès la conférence de présentation de « Danse avec les Stars », le 25 janvier dernier, TF1 a dû faire face à un flot de messages contre Nico Capone, qui avait déjà participé à l’émission « Mask Singer ». Et la chaîne a décidé de bloquer les commentaires sur les stories et les publications de ses comptes officiels TikTok et ceux du programme. « Nous avons mis en place un système de veille qui s’appelle Bodyguard, pour éviter tous débordements sur tous les contenus depuis plusieurs années. Il nous permet de mettre en place des alertes et de la modération », explique-t-on du côté de la chaîne privée.

Certaines personnalités ont mouillé la chemise pour défendre aussi le youtubeur suisse de 33 ans. Inès Vandamme, sa partenaire dans l’émission, s’est même emportée sur Instagram. La danseuse a répondu sèchement à une internaute qui accuse le programme de prôner « la culture du vide et la mauvaise santé ». « Mais stoooop ! Quel est l’intérêt d’écrire ce commentaire ? La culture du vide ? Vous en savez quelque chose ? Vous lui avez déjà parlé ? Vous vous faites une image en fonction des réseaux sociaux. Prôner la mauvaise santé ? Je mange avec lui tous les midis, il a l’assiette la plus équilibrée de la table ! Ne grignote jamais ! Vous n’êtes ni dans la vie, ni dans le corps des gens. Alors, apprenez le respect », tacle-t-elle.

« Je vois trop de gens juger si fort dans les commentaires… hâte que Nico fasse fermer quelques clapets »

L’épouse de Nico Capone, avec qui il réalise ses sketchs sur les réseaux sociaux, fait aussi front avec sa moitié « Hâte de te voir mon cœur, je sais que tu vas tout donner. Peu importe le résultat, l’important c’est le message que tu veux faire passer », a commenté Daniella Pinto, maman d’un petit garçon né en 2019. Nico Capone a reçu également des soutiens de certains de ses concurrents dans le jeu. « Tu vas tout déchirer », prédit Cristina Cordula. « Le meilleur ! Go go go », enchaîne Diane Leyre, Miss France 2022, également en lice dans le concours de danse de salon. Il peut également compter sur le réconfort d’une autre personnalité 2.0 de choix. « Je vois trop de gens juger si fort dans les commentaires… hâte que Nico fasse fermer quelques clapets », prédit Juju Fitcats, suivie par 3,3 millions d’abonnés sur Instagram.

Juridiquement que risquent les internautes alimentant des « raids » numériques de haine ? « Théoriquement, le cyberharcèlement est puni dans la loi par le Code pénal comme du harcèlement tout court, décrypte l’avocate Violaine De Filippis Abate, engagée dans le droit contre ce fleau et porte parole d’ « Osez le féminisme ». Le fait d’être dans une meute de harceleurs n’exempte pas un individu qui aurait même envoyé un seul message. Mais malheureusement dans la pratique, les enquêtes restent rares ou peu fournies après les dépôts de plainte ». Et de rajouter : « les gens se lâchent sur les réseaux sociaux et malheureusement la grossophobie est massivement présente. Ils catalysent la haine des individus les uns sur les autres »

Ce n’est pas la première fois que TF1 doit faire face à de tels propos grossophobes. Dans la dernière saison de la « Star Academy », la jeune Clara, 22 ans, qui assumait ses formes, a dû faire face à des tombereaux d’injures. « J’adore mon corps, pour moi, je suis comme ça, je me sens très bien comme ça, pour rien au monde je ne changerais, avait-elle réagi. Encore aujourd’hui, je me bats tous les jours et c’est un peu aussi pour ça que je suis là. »

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