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"Les personnes qui subissent un inceste ressentent de la honte", témoigne Christine Angot - France Inter

Christine Angot est déterminée. Dans son documentaire "Une famille", l’écrivaine veut obtenir des réponses, face caméra, de la part de sa famille, et notamment de la femme de son père. Ce documentaire, c’est une autre manière de raconter l’inceste dont elle a été victime enfant, après les romans et les interviews données dans les médias. A 13 ans, son père l’a embrassée pour la première fois sur la bouche. Il a continué à la violer jusqu’à ses 16 ans. "Les personnes qui subissent un inceste ressentent de la honte, du premier geste au dernier, et ça dure", explique Christine Angot. "Est-ce que l'agresseur, lui, en ressent ? Aucune", ajoute l’écrivaine.

L'invité de 8h20 : le grand entretien

21 min

Dans l’une des séquences du film, Christine Angot va à la rencontre de sa belle-mère, qui ne veut pas la laisser entrer chez elle avec une caméra, avant qu'elle parvienne à la convaincre. Elle confronte la femme de son père suite à l'inceste qu'elle a subi : "De quel droit est-ce qu'elle s'autorise à ne pas vouloir parler ? Ça ne repose pas uniquement sur la victime, cette affaire !"

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Christine Angot est depuis visée par une plainte pour atteinte à la vie privée après sa rencontre filmée avec sa belle-mère.

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Christine Angot est déterminée. Dans son documentaire "Une famille", l’écrivaine veut obtenir des réponses, face caméra, de la part de sa famille, et notamment de la femme de son père. Ce documentaire, c’est une autre manière de raconter l’inceste dont elle a été victime enfant, après les romans et les interviews données dans les médias. A 13 ans, son père l’a embrassée pour la première fois sur la bouche. Il a continué à la violer jusqu’à ses 16 ans. "Les personnes qui subissent un inceste ressentent de la honte, du premier geste au dernier, et ça dure", explique Christine Angot. "Est-ce que l'agresseur, lui, en ressent ? Aucune", ajoute l’écrivaine.

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