Depuis lundi 22 avril, les gendarmes de la Section de recherches de Pau et les militaires de Parentis-en-Born enquêtent sur une tentative d’homicide sur la personne de Kendji Girac. Le chanteur de 27 ans a expliqué depuis le début être à l’origine du tir, qu’il aurait lui-même provoqué accidentellement.
Philippe Salvat/SO
Dès lors, les techniciens en identification criminelle cherchaient à retrouver la balle qui a traversé le corps du père de famille et la carlingue de sa caravane avant de partir dans la nature.
Mardi et mercredi, l’ogive - la partie antérieure de la balle - n’était plus au cœur des recherches. Pourtant, ce jeudi 25 avril, changement d’avis, les militaires sont de nouveau sur le terrain pour tenter de trouver cette balle.
11 militaires sur place
S’il se refuse à donner plus d’informations, le lieutenant-colonel Henri Vial, commandant la Section de recherches de Pau, confirme : « 11 militaires sont sur place : des gendarmes de la Section de recherches, de la Brigade, mais aussi des militaires d’un régiment spécialisé dans la recherche d’indices. »
Selon nos informations, cette recherche de l’ogive et de tous les autres indices était prévue. Les caravanes de l’aire de grand passage de Biscarrosse ont libéré les lieux, permettant par là même aux enquêteurs de pouvoir travailler plus sereinement.
Read AgainDepuis lundi 22 avril, les gendarmes de la Section de recherches de Pau et les militaires de Parentis-en-Born enquêtent sur une tentative d’homicide sur la personne de Kendji Girac. Le chanteur de 27 ans a expliqué depuis le début être à l’origine du tir, qu’il aurait lui-même provoqué accidentellement.
Philippe Salvat/SO
Dès lors, les techniciens en identification criminelle cherchaient à retrouver la balle qui a traversé le corps du père de famille et la carlingue de sa caravane avant de partir dans la nature.
Mardi et mercredi, l’ogive - la partie antérieure de la balle - n’était plus au cœur des recherches. Pourtant, ce jeudi 25 avril, changement d’avis, les militaires sont de nouveau sur le terrain pour tenter de trouver cette balle.
11 militaires sur place
S’il se refuse à donner plus d’informations, le lieutenant-colonel Henri Vial, commandant la Section de recherches de Pau, confirme : « 11 militaires sont sur place : des gendarmes de la Section de recherches, de la Brigade, mais aussi des militaires d’un régiment spécialisé dans la recherche d’indices. »
Selon nos informations, cette recherche de l’ogive et de tous les autres indices était prévue. Les caravanes de l’aire de grand passage de Biscarrosse ont libéré les lieux, permettant par là même aux enquêteurs de pouvoir travailler plus sereinement.
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